La grande vie [texte imprimé] / Jean-Pierre Martinet (1944-1993), Auteur ; Denis Lavant (1961-....), Préfacier, etc. ; Éric Dussert (1967-....), Auteur de la postface, du colophon, etc. . - Talence : l'Arbre vengeur, 2017 . - 76 p. : couverture illustrée en couleurs ; 17 cm. - ( Collection L'Alambic, ISSN 1284-7313) . ISBN : 979-10-91504-59-1 : 9 Jean-Pierre Martinet est né en 1944 à Libourne où il revint mourir en 1993.
Dès 1975, son premier roman, La Somnolence, lui avait attiré la reconnaissance de certains critiques qui ont salué sa virtuosité; mais Martinet est loin de faire l’unanimité tant ses récits sont d’un pessimisme sans bornes. C’est d’ailleurs cette noirceur que l’on reprochera encore à son second livre, considéré comme son chef-d’œuvre, Jérôme (1978).
En 1986 paraissent deux romans, L’ombre des forêts et Ceux qui n’en mènent pas large, puis Martinet cesse d’écrire. Comme le héros de Jérôme, il revient vivre, à plus de 40 ans, chez sa mère, à Libourne, et sombre définitivement dans l’alcool qui, depuis longtemps déjà, l’accompagne. Il meurt, hémiplégique, en 1993. Il a seulement 49 ans.
À noter en même temps la réédition de Jérôme chez Finitude et de L’Ombre des forêts à la « Petite Vermillon» de La Table Ronde.
Langues : Français ( fre)
| Mots-clés : |
drame folie dépression fantômes humour noir ironie |
| Index. décimale : |
843 Fiction française et francophone : Romans et Nouvelles |
| Résumé : |
Adolphe Marlaud habite un appartement avec vue sur le cimetière qui domine la rue Froidevaux, une de ces rues où " on meurt lentement, à petit feu, à petits pas, de chagrin et d'ennui. " N'ayant réussi à n'être ni fantôme, ni homme invisible, en exil, cet étrange voyageur d'hiver s'est fixé une ligne de conduite : " vivre le moins possible pour souffrir le moins possible. " C'est sans compter sur Madame C., sa concierge, qui guette amoureusement son passage du haut de ses deux mètres pour le contraindre à des actes qu'une quatrième de couverture doit taire. Jean-Pierre Martinet, l'auteur de cette longue nouvelle parue en 1979 dans " Subjectif ", est mort en 1993 : il a marqué les lecteurs, trop rares, qui ont croisé son œuvre. En attendant de redécouvrir ses textes les plus denses, cette " Grande vie " signalera aux intrépides son talent halluciné et les noirs excès de son humour désespéré.
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| Note de contenu : |
La grande vie a reçu le grand prix de l'humour noir du spectacle pour son adaptation au théâtre par Denis Lavant, préfacier de cette édition |
| Sections : |
Roman |
| Genres : |
Humour noir |
| Public : |
Adulte |
| Titre : |
La grande vie |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Jean-Pierre Martinet (1944-1993), Auteur ; Denis Lavant (1961-....), Préfacier, etc. ; Éric Dussert (1967-....), Auteur de la postface, du colophon, etc. |
| Editeur : |
Talence : l'Arbre vengeur |
| Année de publication : |
2017 |
| Collection : |
Collection L'Alambic, ISSN 1284-7313 |
| Importance : |
76 p. |
| Présentation : |
couverture illustrée en couleurs |
| Format : |
17 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
979-10-91504-59-1 |
| Prix : |
9 |
| Note générale : |
Jean-Pierre Martinet est né en 1944 à Libourne où il revint mourir en 1993.
Dès 1975, son premier roman, La Somnolence, lui avait attiré la reconnaissance de certains critiques qui ont salué sa virtuosité; mais Martinet est loin de faire l’unanimité tant ses récits sont d’un pessimisme sans bornes. C’est d’ailleurs cette noirceur que l’on reprochera encore à son second livre, considéré comme son chef-d’œuvre, Jérôme (1978).
En 1986 paraissent deux romans, L’ombre des forêts et Ceux qui n’en mènent pas large, puis Martinet cesse d’écrire. Comme le héros de Jérôme, il revient vivre, à plus de 40 ans, chez sa mère, à Libourne, et sombre définitivement dans l’alcool qui, depuis longtemps déjà, l’accompagne. Il meurt, hémiplégique, en 1993. Il a seulement 49 ans.
À noter en même temps la réédition de Jérôme chez Finitude et de L’Ombre des forêts à la « Petite Vermillon» de La Table Ronde.
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| Langues : |
Français (fre) |
| Mots-clés : |
drame folie dépression fantômes humour noir ironie |
| Index. décimale : |
843 Fiction française et francophone : Romans et Nouvelles |
| Résumé : |
Adolphe Marlaud habite un appartement avec vue sur le cimetière qui domine la rue Froidevaux, une de ces rues où " on meurt lentement, à petit feu, à petits pas, de chagrin et d'ennui. " N'ayant réussi à n'être ni fantôme, ni homme invisible, en exil, cet étrange voyageur d'hiver s'est fixé une ligne de conduite : " vivre le moins possible pour souffrir le moins possible. " C'est sans compter sur Madame C., sa concierge, qui guette amoureusement son passage du haut de ses deux mètres pour le contraindre à des actes qu'une quatrième de couverture doit taire. Jean-Pierre Martinet, l'auteur de cette longue nouvelle parue en 1979 dans " Subjectif ", est mort en 1993 : il a marqué les lecteurs, trop rares, qui ont croisé son œuvre. En attendant de redécouvrir ses textes les plus denses, cette " Grande vie " signalera aux intrépides son talent halluciné et les noirs excès de son humour désespéré.
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| Note de contenu : |
La grande vie a reçu le grand prix de l'humour noir du spectacle pour son adaptation au théâtre par Denis Lavant, préfacier de cette édition |
| Sections : |
Roman |
| Genres : |
Humour noir |
| Public : |
Adulte |
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