Détail de l'auteur
Auteur Stefan Zweig (1881-1942) |
Documents disponibles écrits par cet auteur (9)
Affiner la recherche Interroger des sources externes
Brûlant secret [texte imprimé] / Stefan Zweig (1881-1942), Auteur ; Alzir Hella (1881-1953), Traducteur . - Paris : Librairie générale française, 2002 . - 219 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - (Le Livre de poche, ISSN 0248-3653; 15353) .
ISBN : 978-2-253-15353-5 : 4,55
De nationalité autrichiennes, né à Vienne , le 28/11/1881 et mort à Pétropolis, Brésil , le 23/02/1942, Stefan Zweig est un écrivain, dramaturge, journaliste et biographe autrichien. Issu d'un père juif (sa famille est croyante mais modérée) riche tisserand et d'une mère issue d'une famille de banquiers italiens, il étudie la philosophie et l'histoire de la littérature, l'aisance financière de la bourgeoisie israélite lui permettant de suivre ses goûts. Avant la première guerre mondiale il voyage beaucoup en Europe, à la découverte des littératures étrangères. Il sera notamment le traducteur en allemand de Verhaeren. Il se rend ensuite puis en Inde et aux États-Unis. Il s'engage dans l'armée autrichienne en 1914 mais reste un pacifiste convaincu. Durant la guerre il s'unit avec d'autres intellectuels, Sigmund Freud, Emile Verhaeren et Romain Rolland dans un pacifisme actif. Face à la montée du nazisme en Allemagne, il prône l'unification de l'Europe.
Sa vie est bouleversée par l'arrivée d'Hitler au pouvoir. Dès les premières persécutions, il quitte l'Autriche pour l'Angleterre (Bath puis Londres. Il sera naturalisé en 1940. L'année suivante, il part pour le Brésil et s'installe à Rio. Effondré par l'anéantissement de ses rêves pacifistes et humanistes d'union des peuples, il se donne la mort s'empoisonnant au Véronal avec de son épouse.
Stefan Zweig l'Autrichien et Sandor Maraï l'Hongrois ont été étiquetés, comme Les Chroniqueurs de la Mitteleuropa. Ils se sont tous les deux suicidés dans une immense solitude. Cela nous invite à réfléchir sur un point commun : leur nostalgie.
Source : ACADEMIA
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)
Mots-clés : roman nouvelles bourgeoisie pauvreté séduction adolescence jalousie passion mère enfance psychologie amour adultère littérature germanique Index. décimale : 830 Littérature de langue allemande Résumé : Comment le désir et la passion, enracinés au fond de chaque être, peuvent le révéler à lui-même et bouleverser son destin : tel est le secret que tentent de percer les quatre récits qui composent ce volume. L'éveil de la jalousie chez un garçon de douze ans, qui a innocemment rapproché sa mère et le jeune vacancier oisif dont l'amitié l'emplissait de fierté ; la dérive nocturne d'un homme qui découvre au contact des voyous et des prostituées une part inconnue de lui-même ; le mystère d'une jeune femme qui se donne sans vouloir révéler son identité; la rivalité de deux sœurs, l'une religieuse et l'autre courtisane : dans des situations très diverses, l'auteur de Vingt-quatre heures de la vie d'une femme explore avec audace des sentiments troubles et fascinants, témoignant d'une absolue maîtrise de son art de romancier.
Sections : Roman Public : Adulte
Titre : Brûlant secret Type de document : texte imprimé Auteurs : Stefan Zweig (1881-1942), Auteur ; Alzir Hella (1881-1953), Traducteur Editeur : Paris : Librairie générale française Année de publication : 2002 Collection : Le Livre de poche, ISSN 0248-3653 num. 15353 Importance : 219 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-253-15353-5 Prix : 4,55 Note générale : De nationalité autrichiennes, né à Vienne , le 28/11/1881 et mort à Pétropolis, Brésil , le 23/02/1942, Stefan Zweig est un écrivain, dramaturge, journaliste et biographe autrichien. Issu d'un père juif (sa famille est croyante mais modérée) riche tisserand et d'une mère issue d'une famille de banquiers italiens, il étudie la philosophie et l'histoire de la littérature, l'aisance financière de la bourgeoisie israélite lui permettant de suivre ses goûts. Avant la première guerre mondiale il voyage beaucoup en Europe, à la découverte des littératures étrangères. Il sera notamment le traducteur en allemand de Verhaeren. Il se rend ensuite puis en Inde et aux États-Unis. Il s'engage dans l'armée autrichienne en 1914 mais reste un pacifiste convaincu. Durant la guerre il s'unit avec d'autres intellectuels, Sigmund Freud, Emile Verhaeren et Romain Rolland dans un pacifisme actif. Face à la montée du nazisme en Allemagne, il prône l'unification de l'Europe.
Sa vie est bouleversée par l'arrivée d'Hitler au pouvoir. Dès les premières persécutions, il quitte l'Autriche pour l'Angleterre (Bath puis Londres. Il sera naturalisé en 1940. L'année suivante, il part pour le Brésil et s'installe à Rio. Effondré par l'anéantissement de ses rêves pacifistes et humanistes d'union des peuples, il se donne la mort s'empoisonnant au Véronal avec de son épouse.
Stefan Zweig l'Autrichien et Sandor Maraï l'Hongrois ont été étiquetés, comme Les Chroniqueurs de la Mitteleuropa. Ils se sont tous les deux suicidés dans une immense solitude. Cela nous invite à réfléchir sur un point commun : leur nostalgie.
Source : ACADEMIA
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Mots-clés : roman nouvelles bourgeoisie pauvreté séduction adolescence jalousie passion mère enfance psychologie amour adultère littérature germanique Index. décimale : 830 Littérature de langue allemande Résumé : Comment le désir et la passion, enracinés au fond de chaque être, peuvent le révéler à lui-même et bouleverser son destin : tel est le secret que tentent de percer les quatre récits qui composent ce volume. L'éveil de la jalousie chez un garçon de douze ans, qui a innocemment rapproché sa mère et le jeune vacancier oisif dont l'amitié l'emplissait de fierté ; la dérive nocturne d'un homme qui découvre au contact des voyous et des prostituées une part inconnue de lui-même ; le mystère d'une jeune femme qui se donne sans vouloir révéler son identité; la rivalité de deux sœurs, l'une religieuse et l'autre courtisane : dans des situations très diverses, l'auteur de Vingt-quatre heures de la vie d'une femme explore avec audace des sentiments troubles et fascinants, témoignant d'une absolue maîtrise de son art de romancier.
Sections : Roman Public : Adulte Réservation
Réserver ce document
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité DOC-89240-01293 R ZWE Livre Bibliothèque de POURRAIN ROMAN Disponible
La confusion des sentiments : notes intimes du professeur R. de D. ; roman [texte imprimé] / Stefan Zweig (1881-1942), Auteur ; Olivier Bournac (1885-1931), Traducteur ; Alzir Hella (1881-1953), Traducteur . - Paris : Librairie générale française, 1997 . - 126 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - (Le Livre de poche, ISSN 0248-3653; 9521) .
ISSN : 2-253-06143-4 : 3.50
De nationalité autrichiennes, né à Vienne , le 28/11/1881 et mort à Pétropolis, Brésil , le 23/02/1942, Stefan Zweig est un écrivain, dramaturge, journaliste et biographe autrichien. Issu d'un père juif (sa famille est croyante mais modérée) riche tisserand et d'une mère issue d'une famille de banquiers italiens, il étudie la philosophie et l'histoire de la littérature, l'aisance financière de la bourgeoisie israélite lui permettant de suivre ses goûts. Avant la première guerre mondiale il voyage beaucoup en Europe, à la découverte des littératures étrangères. Il sera notamment le traducteur en allemand de Verhaeren. Il se rend ensuite puis en Inde et aux États-Unis. Il s'engage dans l'armée autrichienne en 1914 mais reste un pacifiste convaincu. Durant la guerre il s'unit avec d'autres intellectuels, Sigmund Freud, Emile Verhaeren et Romain Rolland dans un pacifisme actif. Face à la montée du nazisme en Allemagne, il prône l'unification de l'Europe.
Sa vie est bouleversée par l'arrivée d'Hitler au pouvoir. Dès les premières persécutions, il quitte l'Autriche pour l'Angleterre (Bath puis Londres. Il sera naturalisé en 1940. L'année suivante, il part pour le Brésil et s'installe à Rio. Effondré par l'anéantissement de ses rêves pacifistes et humanistes d'union des peuples, il se donne la mort s'empoisonnant au Véronal avec de son épouse.
Stefan Zweig l'Autrichien et Sandor Maraï l'Hongrois ont été étiquetés, comme Les Chroniqueurs de la Mitteleuropa. Ils se sont tous les deux suicidés dans une immense solitude. Cela nous invite à réfléchir sur un point commun : leur nostalgie.
Source : ACADEMIA
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)
Mots-clés : roman nouvelles passion amitié sentiments université psychologie homosexualité littérature germanique Index. décimale : 830 Littérature de langue allemande Résumé : À l'occasion de son soixantième anniversaire, R. de D., professeur de philologie, reçoit de la part de ses élèves et collègues un livre d'hommage, relation a priori exhaustive de l'intégralité de ses œuvres, articles et discours. Il y manque pourtant la clé de voûte de son parcours intellectuel, l'événement de sa jeunesse qu'il garde secrètement enfoui au plus profond de lui-même : la rencontre décisive d'un homme, un professeur, qui a naguère suscité en lui enthousiasme et admiration. Il entreprend alors de rédiger des "notes intimes", dans lesquelles il retrace sa vie de jeune étudiant, de ses années de libertinage à son attachement exalté pour son maître, avec lequel il noue une relation faite de souffrances et de confusion. À l'époque, il ne s'aperçut pas du glissement insensible que prirent leurs rencontres, jusqu'au jour où le vieux pédagogue lui livra un brûlant secret…
Sections : Roman Public : Adulte
Titre : La confusion des sentiments : notes intimes du professeur R. de D. ; roman Type de document : texte imprimé Auteurs : Stefan Zweig (1881-1942), Auteur ; Olivier Bournac (1885-1931), Traducteur ; Alzir Hella (1881-1953), Traducteur Editeur : Paris : Librairie générale française Année de publication : 1997 Collection : Le Livre de poche, ISSN 0248-3653 num. 9521 Importance : 126 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-253-06143-4 Prix : 3.50 Note générale : De nationalité autrichiennes, né à Vienne , le 28/11/1881 et mort à Pétropolis, Brésil , le 23/02/1942, Stefan Zweig est un écrivain, dramaturge, journaliste et biographe autrichien. Issu d'un père juif (sa famille est croyante mais modérée) riche tisserand et d'une mère issue d'une famille de banquiers italiens, il étudie la philosophie et l'histoire de la littérature, l'aisance financière de la bourgeoisie israélite lui permettant de suivre ses goûts. Avant la première guerre mondiale il voyage beaucoup en Europe, à la découverte des littératures étrangères. Il sera notamment le traducteur en allemand de Verhaeren. Il se rend ensuite puis en Inde et aux États-Unis. Il s'engage dans l'armée autrichienne en 1914 mais reste un pacifiste convaincu. Durant la guerre il s'unit avec d'autres intellectuels, Sigmund Freud, Emile Verhaeren et Romain Rolland dans un pacifisme actif. Face à la montée du nazisme en Allemagne, il prône l'unification de l'Europe.
Sa vie est bouleversée par l'arrivée d'Hitler au pouvoir. Dès les premières persécutions, il quitte l'Autriche pour l'Angleterre (Bath puis Londres. Il sera naturalisé en 1940. L'année suivante, il part pour le Brésil et s'installe à Rio. Effondré par l'anéantissement de ses rêves pacifistes et humanistes d'union des peuples, il se donne la mort s'empoisonnant au Véronal avec de son épouse.
Stefan Zweig l'Autrichien et Sandor Maraï l'Hongrois ont été étiquetés, comme Les Chroniqueurs de la Mitteleuropa. Ils se sont tous les deux suicidés dans une immense solitude. Cela nous invite à réfléchir sur un point commun : leur nostalgie.
Source : ACADEMIA
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Mots-clés : roman nouvelles passion amitié sentiments université psychologie homosexualité littérature germanique Index. décimale : 830 Littérature de langue allemande Résumé : À l'occasion de son soixantième anniversaire, R. de D., professeur de philologie, reçoit de la part de ses élèves et collègues un livre d'hommage, relation a priori exhaustive de l'intégralité de ses œuvres, articles et discours. Il y manque pourtant la clé de voûte de son parcours intellectuel, l'événement de sa jeunesse qu'il garde secrètement enfoui au plus profond de lui-même : la rencontre décisive d'un homme, un professeur, qui a naguère suscité en lui enthousiasme et admiration. Il entreprend alors de rédiger des "notes intimes", dans lesquelles il retrace sa vie de jeune étudiant, de ses années de libertinage à son attachement exalté pour son maître, avec lequel il noue une relation faite de souffrances et de confusion. À l'époque, il ne s'aperçut pas du glissement insensible que prirent leurs rencontres, jusqu'au jour où le vieux pédagogue lui livra un brûlant secret…
Sections : Roman Public : Adulte Réservation
Réserver ce document
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité DOC-89240-01296 R ZWE Livre Bibliothèque de POURRAIN ROMAN Disponible
Correspondance / Stefan Zweig., 1897-1919. Correspondance [texte imprimé] / Stefan Zweig (1881-1942), Auteur ; Isabelle Kalinowski (1969-....), Traducteur ; Isabelle Kalinowski (1969-....), Préfacier, etc. . - Paris : B. Grasset, 2000 . - 380 p. : couv. ill. ; 24 cm.
ISBN : 978-2-246-55811-8 : 22.10
De nationalité autrichienne, né à Vienne le 28/11/1881 et mort à Pétropolis au Brésil le 23/02/1942, Stefan Zweig est un écrivain, dramaturge, journaliste et biographe autrichien. Issu d'un père juif (sa famille est croyante mais modérée) riche tisserand et d'une mère issue d'une famille de banquiers italiens, il étudie la philosophie et l'histoire de la littérature, l'aisance financière de la bourgeoisie israélite lui permettant de suivre ses goûts. Avant la première guerre mondiale il voyage beaucoup en Europe, à la découverte des littératures étrangères. Il sera notamment le traducteur en allemand de Verhaeren. Il se rend ensuite puis en Inde et aux États-Unis. Il s'engage dans l'armée autrichienne en 1914 mais reste un pacifiste convaincu. Durant la guerre il s'unit avec d'autres intellectuels, Sigmund Freud, Emile Verhaeren et Romain Rolland dans un pacifisme actif. Face à la montée du nazisme en Allemagne, il prône l'unification de l'Europe.
Sa vie est bouleversée par l'arrivée d'Hitler au pouvoir. Dès les premières persécutions, il quitte l'Autriche pour l'Angleterre (Bath puis Londres. Il sera naturalisé en 1940. L'année suivante, il part pour le Brésil et s'installe à Rio. Effondré par l'anéantissement de ses rêves pacifistes et humanistes d'union des peuples, il se donne la mort s'empoisonnant au Véronal avec de son épouse.
Stefan Zweig, l'Autrichien et Sandor Maraï, l'Hongrois ont été étiquetés, comme Les Chroniqueurs de la Mitteleuropa. Ils se sont tous les deux suicidés dans une immense solitude. Cela nous invite à réfléchir sur un point commun : leur nostalgie.
Source : ACADEMIA
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)
Mots-clés : chroniques témoignage correspondance recueil bourgeoisie juive première guerre mondiale philosophie littérature autrichienne autriche littérature allemande Index. décimale : 836.912 Genre épistolaire de langue allemande - 1900-1945 Résumé : A peine sa thèse de philosophie achevée, il échappe aux devoirs de sociabilité que lui impose sa famille pour se vouer à l’écriture et voyager, de Vienne à Paris, de Londres à la Belgique, du Tyrol aux États-Unis, de l’Italie à l’Inde. Il rencontre de grands contemporains tels Rilke, Hesse, Schnitzler, Buber, Hofmannsthal ou Romain Rolland, auxquels il écrira les lettres rassemblées dans ce volume.
Il parvient à faire jouer son théâtre sur les plus grandes scènes, publie des chroniques littéraires dans des revues prestigieuses et met à profit sa familiarité presque instinctive avec les rouages du monde éditorial afin d’imposer en Allemagne le succès de son «cher maître» Emile Verhaeren.Il faut l’expérience de la guerre pour que Zweig découvre le lien qui le rattache à l’Autriche et comprenne les contradictions qui opposent son identité juive et son patriotisme.
Il mesure aussi les limites de ses amitiés d’écrivain cosmopolite.Ces lettres passionnantes, dont certaines furent écrites en français, dévoilent au jour le jour les mondes de Stefan Zweig : la bourgeoisie juive viennoise, les réseaux lettrés européens, les revues et maisons d’édition autrichiennes et allemandes, les itinéraires de l’errance distinguée et les terribles «années d’apprentissage» de la guerre.
Ce choix de lettres constitue le témoignage d’un des auteurs majeurs de la littérature mondiale sur une période essentielle de l’histoire européenne.Note de contenu : Index Sections : Ecrits Divers Genres : Témoignage Public : Adulte
Titre de série : Correspondance / Stefan Zweig., 1897-1919 Titre : Correspondance Type de document : texte imprimé Auteurs : Stefan Zweig (1881-1942), Auteur ; Isabelle Kalinowski (1969-....), Traducteur ; Isabelle Kalinowski (1969-....), Préfacier, etc. Editeur : Paris : B. Grasset Année de publication : 2000 Importance : 380 p. Présentation : couv. ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-246-55811-8 Prix : 22.10 Note générale : De nationalité autrichienne, né à Vienne le 28/11/1881 et mort à Pétropolis au Brésil le 23/02/1942, Stefan Zweig est un écrivain, dramaturge, journaliste et biographe autrichien. Issu d'un père juif (sa famille est croyante mais modérée) riche tisserand et d'une mère issue d'une famille de banquiers italiens, il étudie la philosophie et l'histoire de la littérature, l'aisance financière de la bourgeoisie israélite lui permettant de suivre ses goûts. Avant la première guerre mondiale il voyage beaucoup en Europe, à la découverte des littératures étrangères. Il sera notamment le traducteur en allemand de Verhaeren. Il se rend ensuite puis en Inde et aux États-Unis. Il s'engage dans l'armée autrichienne en 1914 mais reste un pacifiste convaincu. Durant la guerre il s'unit avec d'autres intellectuels, Sigmund Freud, Emile Verhaeren et Romain Rolland dans un pacifisme actif. Face à la montée du nazisme en Allemagne, il prône l'unification de l'Europe.
Sa vie est bouleversée par l'arrivée d'Hitler au pouvoir. Dès les premières persécutions, il quitte l'Autriche pour l'Angleterre (Bath puis Londres. Il sera naturalisé en 1940. L'année suivante, il part pour le Brésil et s'installe à Rio. Effondré par l'anéantissement de ses rêves pacifistes et humanistes d'union des peuples, il se donne la mort s'empoisonnant au Véronal avec de son épouse.
Stefan Zweig, l'Autrichien et Sandor Maraï, l'Hongrois ont été étiquetés, comme Les Chroniqueurs de la Mitteleuropa. Ils se sont tous les deux suicidés dans une immense solitude. Cela nous invite à réfléchir sur un point commun : leur nostalgie.
Source : ACADEMIALangues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Mots-clés : chroniques témoignage correspondance recueil bourgeoisie juive première guerre mondiale philosophie littérature autrichienne autriche littérature allemande Index. décimale : 836.912 Genre épistolaire de langue allemande - 1900-1945 Résumé : A peine sa thèse de philosophie achevée, il échappe aux devoirs de sociabilité que lui impose sa famille pour se vouer à l’écriture et voyager, de Vienne à Paris, de Londres à la Belgique, du Tyrol aux États-Unis, de l’Italie à l’Inde. Il rencontre de grands contemporains tels Rilke, Hesse, Schnitzler, Buber, Hofmannsthal ou Romain Rolland, auxquels il écrira les lettres rassemblées dans ce volume.
Il parvient à faire jouer son théâtre sur les plus grandes scènes, publie des chroniques littéraires dans des revues prestigieuses et met à profit sa familiarité presque instinctive avec les rouages du monde éditorial afin d’imposer en Allemagne le succès de son «cher maître» Emile Verhaeren.Il faut l’expérience de la guerre pour que Zweig découvre le lien qui le rattache à l’Autriche et comprenne les contradictions qui opposent son identité juive et son patriotisme.
Il mesure aussi les limites de ses amitiés d’écrivain cosmopolite.Ces lettres passionnantes, dont certaines furent écrites en français, dévoilent au jour le jour les mondes de Stefan Zweig : la bourgeoisie juive viennoise, les réseaux lettrés européens, les revues et maisons d’édition autrichiennes et allemandes, les itinéraires de l’errance distinguée et les terribles «années d’apprentissage» de la guerre.
Ce choix de lettres constitue le témoignage d’un des auteurs majeurs de la littérature mondiale sur une période essentielle de l’histoire européenne.Note de contenu : Index Sections : Ecrits Divers Genres : Témoignage Public : Adulte Réservation
Réserver ce document
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité DOC-89240-02633 ED ZWE Livre Bibliothèque de POURRAIN ECRITS DIVERS Disponible
Destruction d'un coeur = Untergang eines Herzens [texte imprimé] / Stefan Zweig (1881-1942), Auteur ; Olivier Bournac (1885-1931), Traducteur ; Alzir Hella (1881-1953), Traducteur . - Paris : Librairie générale française, 2001 . - 116 p. : couv. ill. en coul. ; 18cm. - (Le Livre de poche, ISSN 0248-3653) .
ISBN : 978-2-253-09525-5 : 2.74
De nationalité autrichienne, né à Vienne en 1881 et mort à Pétropolis au Brésil en 1942, Stefan Zweig est un écrivain, dramaturge, journaliste et biographe. Issu d'un père juif (sa famille est croyante mais modérée), riche tisserand, et d'une mère issue d'une famille de banquiers italiens, il étudie la philosophie et l'histoire de la littérature. Avant la première guerre mondiale il voyage beaucoup en Europe, à la découverte des littératures étrangères. Il sera notamment le traducteur en allemand de Verhaeren. Il se rend ensuite en Inde puis aux États-Unis. Il s'engage dans l'armée autrichienne en 1914, mais reste un pacifiste convaincu. Durant la guerre, il s'unit avec d'autres intellectuels, Sigmund Freud, Emile Verhaeren et Romain Rolland, dans un pacifisme actif. Face à la montée du nazisme en Allemagne, il prône l'unification de l'Europe. Sa vie est dès lors, bouleversée par l'arrivée d'Hitler au pouvoir. Dès les premières persécutions, il quitte l'Autriche pour l'Angleterre (Londres). ll sera naturalisé en 1940. L'année suivante, il part pour le Brésil et s'installe à Rio. Effondré par l'anéantissement de ses rêves pacifistes et humanistes d'union des peuples, il se donne la mort en s'empoisonnant au Véronal avec de son épouse.
Source : ACADEMIA
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)
Mots-clés : indépendance jalousie drame innocence réalisme cruauté famille compassion pères et filles vieillesse enfance Index. décimale : 830 Littérature de langue allemande Résumé : Avec Maupassant pour modèle, Stefan Zweig s'est attaché, selon ses propres mots, à donner à chacune de ces trois nouvelles toute la substance d'un livre. Dans "Destruction d'un cœur", un vieil homme ne se résout pas à admettre que sa fille devienne adulte. Il se laisse consumer par une jalousie qui, peu à peu, l'isole de ses semblables. Romain Rolland voyait là l'une des «plus lucides tragédies de la vie moderne, de l'éternelle humanité.» Dans "La gouvernante" et "Le jeu dangereux", c'est encore la cruauté des rapports entre générations, mais aussi l'intelligence immédiate des enfants face aux choses de la vie ou le refus de vieillir que Stefan Zweig met en scène.
Sections : Nouvelles Public : Adulte
Titre : Destruction d'un coeur Titre original : Untergang eines Herzens Type de document : texte imprimé Auteurs : Stefan Zweig (1881-1942), Auteur ; Olivier Bournac (1885-1931), Traducteur ; Alzir Hella (1881-1953), Traducteur Editeur : Paris : Librairie générale française Année de publication : 2001 Collection : Le Livre de poche, ISSN 0248-3653 Importance : 116 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 18cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-253-09525-5 Prix : 2.74 Note générale : De nationalité autrichienne, né à Vienne en 1881 et mort à Pétropolis au Brésil en 1942, Stefan Zweig est un écrivain, dramaturge, journaliste et biographe. Issu d'un père juif (sa famille est croyante mais modérée), riche tisserand, et d'une mère issue d'une famille de banquiers italiens, il étudie la philosophie et l'histoire de la littérature. Avant la première guerre mondiale il voyage beaucoup en Europe, à la découverte des littératures étrangères. Il sera notamment le traducteur en allemand de Verhaeren. Il se rend ensuite en Inde puis aux États-Unis. Il s'engage dans l'armée autrichienne en 1914, mais reste un pacifiste convaincu. Durant la guerre, il s'unit avec d'autres intellectuels, Sigmund Freud, Emile Verhaeren et Romain Rolland, dans un pacifisme actif. Face à la montée du nazisme en Allemagne, il prône l'unification de l'Europe. Sa vie est dès lors, bouleversée par l'arrivée d'Hitler au pouvoir. Dès les premières persécutions, il quitte l'Autriche pour l'Angleterre (Londres). ll sera naturalisé en 1940. L'année suivante, il part pour le Brésil et s'installe à Rio. Effondré par l'anéantissement de ses rêves pacifistes et humanistes d'union des peuples, il se donne la mort en s'empoisonnant au Véronal avec de son épouse.
Source : ACADEMIA
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Mots-clés : indépendance jalousie drame innocence réalisme cruauté famille compassion pères et filles vieillesse enfance Index. décimale : 830 Littérature de langue allemande Résumé : Avec Maupassant pour modèle, Stefan Zweig s'est attaché, selon ses propres mots, à donner à chacune de ces trois nouvelles toute la substance d'un livre. Dans "Destruction d'un cœur", un vieil homme ne se résout pas à admettre que sa fille devienne adulte. Il se laisse consumer par une jalousie qui, peu à peu, l'isole de ses semblables. Romain Rolland voyait là l'une des «plus lucides tragédies de la vie moderne, de l'éternelle humanité.» Dans "La gouvernante" et "Le jeu dangereux", c'est encore la cruauté des rapports entre générations, mais aussi l'intelligence immédiate des enfants face aux choses de la vie ou le refus de vieillir que Stefan Zweig met en scène.
Sections : Nouvelles Public : Adulte Réservation
Réserver ce document
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité DOC-89240-01290 RN ZWE Livre Bibliothèque de POURRAIN NOUVELLES Disponible
Hommes et destins [texte imprimé] / Stefan Zweig (1881-1942), Auteur ; Hélène Denis-Jeanroy (1954-....), Traducteur ; Raymond Jeanroy, Préfacier, etc. . - Paris : Librairie générale française : Paris : Belfond, 2000 . - 214 p. : couv. ill. ; 18 cm. - (Le Livre de poche, ISSN 0248-3653; 14918) .
ISBN : 978-2-253-14918-7 : 4.87
De nationalité autrichiennes, né à Vienne , le 28/11/1881 et mort à Pétropolis, Brésil , le 23/02/1942, Stefan Zweig est un écrivain, dramaturge, journaliste et biographe autrichien. Issu d'un père juif (sa famille est croyante mais modérée) riche tisserand et d'une mère issue d'une famille de banquiers italiens, il étudie la philosophie et l'histoire de la littérature, l'aisance financière de la bourgeoisie israélite lui permettant de suivre ses goûts. Avant la première guerre mondiale il voyage beaucoup en Europe, à la découverte des littératures étrangères. Il sera notamment le traducteur en allemand de Verhaeren. Il se rend ensuite puis en Inde et aux États-Unis. Il s'engage dans l'armée autrichienne en 1914 mais reste un pacifiste convaincu. Durant la guerre il s'unit avec d'autres intellectuels, Sigmund Freud, Emile Verhaeren et Romain Rolland dans un pacifisme actif. Face à la montée du nazisme en Allemagne, il prône l'unification de l'Europe.
Sa vie est bouleversée par l'arrivée d'Hitler au pouvoir. Dès les premières persécutions, il quitte l'Autriche pour l'Angleterre (Bath puis Londres. Il sera naturalisé en 1940. L'année suivante, il part pour le Brésil et s'installe à Rio. Effondré par l'anéantissement de ses rêves pacifistes et humanistes d'union des peuples, il se donne la mort s'empoisonnant au Véronal avec de son épouse.
Stefan Zweig l'Autrichien et Sandor Maraï l'Hongrois ont été étiquetés, comme Les Chroniqueurs de la Mitteleuropa. Ils se sont tous les deux suicidés dans une immense solitude. Cela nous invite à réfléchir sur un point commun : leur nostalgie.
Source : ACADEMIA
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)
Mots-clés : Vie intellectuelle essai biographie témoignage histoire intime portraits création artistique célébrité politique littérature germanique Index. décimale : 848 Ecrits Divers : correspondance, journaux intimes, mémoires, citations, discours, essais, entretiens... Résumé : Saisir les traits essentiels d'une personnalité, concentrer en quelques pages le sens d'une destinée : c'est en quoi excelle Stefan Zweig, dans les brefs portraits rassemblés ici, articles de journaux, préfaces, textes écrits à l'occasion d'un décès ou d'un anniversaire. Lui-même a connu certains des personnages évoqués : ainsi Romain Rolland, Joseph Roth, Rainer Maria Rilke, Rabindranath Tagore, qu'il côtoya ou qui furent des amis. Sur d'autres, rencontrés ponctuellement - Albert Schweitzer, Théodor Herzl-, il livre un témoignage précieux. Mais qu'il s'agisse d'écrivains, Proust, Ramuz, du musicien Mahler, de l'homme politique Jaurès ou de Freud, Zweig portraitiste cherche avant tout la compréhension intime et chaleureuse, la proximité humaine, l'empathie. Et c'est finalement, à travers vingt-deux visages, un autoportrait qui nous est donné du grand écrivain autrichien, avec ses questions, ses doutes, ses hantises.
Sections : Ecrits Divers Genres : Biographie Public : Adulte
Titre : Hommes et destins Type de document : texte imprimé Auteurs : Stefan Zweig (1881-1942), Auteur ; Hélène Denis-Jeanroy (1954-....), Traducteur ; Raymond Jeanroy, Préfacier, etc. Editeur : Paris : Librairie générale française Année de publication : 2000 Autre Editeur : Paris : Belfond Collection : Le Livre de poche, ISSN 0248-3653 num. 14918 Importance : 214 p. Présentation : couv. ill. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-253-14918-7 Prix : 4.87 Note générale : De nationalité autrichiennes, né à Vienne , le 28/11/1881 et mort à Pétropolis, Brésil , le 23/02/1942, Stefan Zweig est un écrivain, dramaturge, journaliste et biographe autrichien. Issu d'un père juif (sa famille est croyante mais modérée) riche tisserand et d'une mère issue d'une famille de banquiers italiens, il étudie la philosophie et l'histoire de la littérature, l'aisance financière de la bourgeoisie israélite lui permettant de suivre ses goûts. Avant la première guerre mondiale il voyage beaucoup en Europe, à la découverte des littératures étrangères. Il sera notamment le traducteur en allemand de Verhaeren. Il se rend ensuite puis en Inde et aux États-Unis. Il s'engage dans l'armée autrichienne en 1914 mais reste un pacifiste convaincu. Durant la guerre il s'unit avec d'autres intellectuels, Sigmund Freud, Emile Verhaeren et Romain Rolland dans un pacifisme actif. Face à la montée du nazisme en Allemagne, il prône l'unification de l'Europe.
Sa vie est bouleversée par l'arrivée d'Hitler au pouvoir. Dès les premières persécutions, il quitte l'Autriche pour l'Angleterre (Bath puis Londres. Il sera naturalisé en 1940. L'année suivante, il part pour le Brésil et s'installe à Rio. Effondré par l'anéantissement de ses rêves pacifistes et humanistes d'union des peuples, il se donne la mort s'empoisonnant au Véronal avec de son épouse.
Stefan Zweig l'Autrichien et Sandor Maraï l'Hongrois ont été étiquetés, comme Les Chroniqueurs de la Mitteleuropa. Ils se sont tous les deux suicidés dans une immense solitude. Cela nous invite à réfléchir sur un point commun : leur nostalgie.
Source : ACADEMIA
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Mots-clés : Vie intellectuelle essai biographie témoignage histoire intime portraits création artistique célébrité politique littérature germanique Index. décimale : 848 Ecrits Divers : correspondance, journaux intimes, mémoires, citations, discours, essais, entretiens... Résumé : Saisir les traits essentiels d'une personnalité, concentrer en quelques pages le sens d'une destinée : c'est en quoi excelle Stefan Zweig, dans les brefs portraits rassemblés ici, articles de journaux, préfaces, textes écrits à l'occasion d'un décès ou d'un anniversaire. Lui-même a connu certains des personnages évoqués : ainsi Romain Rolland, Joseph Roth, Rainer Maria Rilke, Rabindranath Tagore, qu'il côtoya ou qui furent des amis. Sur d'autres, rencontrés ponctuellement - Albert Schweitzer, Théodor Herzl-, il livre un témoignage précieux. Mais qu'il s'agisse d'écrivains, Proust, Ramuz, du musicien Mahler, de l'homme politique Jaurès ou de Freud, Zweig portraitiste cherche avant tout la compréhension intime et chaleureuse, la proximité humaine, l'empathie. Et c'est finalement, à travers vingt-deux visages, un autoportrait qui nous est donné du grand écrivain autrichien, avec ses questions, ses doutes, ses hantises.
Sections : Ecrits Divers Genres : Biographie Public : Adulte Réservation
Réserver ce document
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité DOC-89240-01294 ED ZWE Livre Bibliothèque de POURRAIN ECRITS DIVERS Disponible PermalinkPermalinkPermalinkPermalink


