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Auteur Jean-Luc Coatalem (1959-....) |
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Le gouverneur d'Antipodia : roman [texte imprimé] / Jean-Luc Coatalem (1959-....), Auteur . - Paris : J'ai lu, impr. 2012 . - 1 vol. (156 p.) : couv. ill. ; 18 cm. - (J'ai lu; 10185) .
ISBN : 978-2-290-05674-5 : 5,60
Né) à Paris, le 13/09/1959 ,d’origine bretonne, Jean-Luc Coatalem est écrivain et journaliste pour différents magazines de voyage comme Grands Reportages et Géo.
Dans les bagages d’un père officier, il a connu, au gré des diverses affectations, une enfance en Polynésie et une adolescence à Madagascar, longs séjours qui lui ont donné le goût de l’ailleurs et, plus tard, une boulimie de voyages et de reportages.
Romancier, nouvelliste et essayiste, cet écrivain-voyageur a par la suite publié des récits bourlingueurs, comme "Mission au Paraguay" (Payot/Voyageurs, 1993) et "Suite indochinoise" (Le Dilettante, 1999, La Table Ronde, Petite Vermillon,2008), des romans drolatiques comme "Capitaine" (Flammarion, 1991) ou "Le Fils du fakir" (Grasset, 1998, Livre de Poche, 2001), et a co-signé deux albums avec le dessinateur Loustal chez Casterman.
Il a été en 1992 l'un des neuf signataires du Manifeste pour une littérature voyageuse publié sous l'égide de Michel Le Bris, avec notamment Nicolas Bouvier et Gilles Lapouge.
Mais Jean-Luc Coatalem s’est fait surtout connaître par son essai très personnel sur Paul Gauguin, "Je suis dans les mers du Sud" (Grasset, 2001, Livre de Poche, 2003), primé et traduit en plusieurs langues, et son ode à la géographie et à l’errance, La consolation des voyages (Grasset, 2004, Livre de Poche, 2006).
Il a signé dernièrement "Il faut se quitter déjà", un récit mélancolique qui se déroule en Argentine et Uruguay (Grasset, 2008, Livre de Poche, 2009), ainsi que "Le dernier roi d'Angkor" (2010).
Il reçoit le Prix Roger Minier en 2012 pour "le Gouverneur d’Antipodia" (la Dilettante)..
Source : Wikipédia
Langues : Français (fre)
Mots-clés : voyage dictature délire politique totalitarisme voyages Index. décimale : 803 Résumé : Jean-Luc Coatalem, tous ses livres en témoignent, est du club de ceux qui aiment à « tâter de la rondeur » de la planète. Il aime également à goûter les retombées poétiques de l’élan voyageur: étiquettes jaunies et guêtres en cuir de buffle, lunettes de visée et ombrelles de lin, boussoles de cuivre et carabines allemandes, toute la brocante de l’errance aventureuse. Ce goût tout à la fois poétique et forcené s’incarne cependant dans des figures rares. Tel celui qui nous parle debout sur la grève d’Antipodia, parcelle antarctique, « une île perdue, cernée de vagues puissantes, devant, derrière, partout », François Lejodic, mécanicien et amoureux déçu. Depuis il fait fonction de vigie de la République tricolore sur cette miette granitique, poncée par la marée, abrasée par les vents, piquetée de chèvres voraces. Lui sert de compagnon et de supérieur un rejeton des Paulmier de Franville, famille amirale, diplomate en disgrâce qui vit l’endroit comme une Sainte-Hélène à la nudité vertigineuse : " En mon royaume vide, comptable des nuages, prince des nuées, je suis le négus du Grand Rien.» Chacun arbitre son quotidien à sa façon: songes érotiques et maintenance du matériel, rêves de pouvoir et taquineries érudites. Une revue d’inspection épicée d’une foulure au pied, la visite à une base météo, l’arrachage d’une molaire prennent stature de dates majeures. Puis le temps joue son rôle d’acide, attaque, délite, excite : la rêverie tourne à l’obsession, le songe exotique à la vision homicide, les tensions s’exacerbent, les violences surgissent entre Antipodiens, un délire épais que rien ne parvient à réduire.
Note de contenu : prix Roger Nimier 2012 Sections : Roman Public : Adulte
Titre : Le gouverneur d'Antipodia : roman Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Luc Coatalem (1959-....), Auteur Editeur : Paris : J'ai lu Année de publication : impr. 2012 Collection : J'ai lu num. 10185 Importance : 1 vol. (156 p.) Présentation : couv. ill. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-290-05674-5 Prix : 5,60 Note générale : Né) à Paris, le 13/09/1959 ,d’origine bretonne, Jean-Luc Coatalem est écrivain et journaliste pour différents magazines de voyage comme Grands Reportages et Géo.
Dans les bagages d’un père officier, il a connu, au gré des diverses affectations, une enfance en Polynésie et une adolescence à Madagascar, longs séjours qui lui ont donné le goût de l’ailleurs et, plus tard, une boulimie de voyages et de reportages.
Romancier, nouvelliste et essayiste, cet écrivain-voyageur a par la suite publié des récits bourlingueurs, comme "Mission au Paraguay" (Payot/Voyageurs, 1993) et "Suite indochinoise" (Le Dilettante, 1999, La Table Ronde, Petite Vermillon,2008), des romans drolatiques comme "Capitaine" (Flammarion, 1991) ou "Le Fils du fakir" (Grasset, 1998, Livre de Poche, 2001), et a co-signé deux albums avec le dessinateur Loustal chez Casterman.
Il a été en 1992 l'un des neuf signataires du Manifeste pour une littérature voyageuse publié sous l'égide de Michel Le Bris, avec notamment Nicolas Bouvier et Gilles Lapouge.
Mais Jean-Luc Coatalem s’est fait surtout connaître par son essai très personnel sur Paul Gauguin, "Je suis dans les mers du Sud" (Grasset, 2001, Livre de Poche, 2003), primé et traduit en plusieurs langues, et son ode à la géographie et à l’errance, La consolation des voyages (Grasset, 2004, Livre de Poche, 2006).
Il a signé dernièrement "Il faut se quitter déjà", un récit mélancolique qui se déroule en Argentine et Uruguay (Grasset, 2008, Livre de Poche, 2009), ainsi que "Le dernier roi d'Angkor" (2010).
Il reçoit le Prix Roger Minier en 2012 pour "le Gouverneur d’Antipodia" (la Dilettante)..
Source : WikipédiaLangues : Français (fre) Mots-clés : voyage dictature délire politique totalitarisme voyages Index. décimale : 803 Résumé : Jean-Luc Coatalem, tous ses livres en témoignent, est du club de ceux qui aiment à « tâter de la rondeur » de la planète. Il aime également à goûter les retombées poétiques de l’élan voyageur: étiquettes jaunies et guêtres en cuir de buffle, lunettes de visée et ombrelles de lin, boussoles de cuivre et carabines allemandes, toute la brocante de l’errance aventureuse. Ce goût tout à la fois poétique et forcené s’incarne cependant dans des figures rares. Tel celui qui nous parle debout sur la grève d’Antipodia, parcelle antarctique, « une île perdue, cernée de vagues puissantes, devant, derrière, partout », François Lejodic, mécanicien et amoureux déçu. Depuis il fait fonction de vigie de la République tricolore sur cette miette granitique, poncée par la marée, abrasée par les vents, piquetée de chèvres voraces. Lui sert de compagnon et de supérieur un rejeton des Paulmier de Franville, famille amirale, diplomate en disgrâce qui vit l’endroit comme une Sainte-Hélène à la nudité vertigineuse : " En mon royaume vide, comptable des nuages, prince des nuées, je suis le négus du Grand Rien.» Chacun arbitre son quotidien à sa façon: songes érotiques et maintenance du matériel, rêves de pouvoir et taquineries érudites. Une revue d’inspection épicée d’une foulure au pied, la visite à une base météo, l’arrachage d’une molaire prennent stature de dates majeures. Puis le temps joue son rôle d’acide, attaque, délite, excite : la rêverie tourne à l’obsession, le songe exotique à la vision homicide, les tensions s’exacerbent, les violences surgissent entre Antipodiens, un délire épais que rien ne parvient à réduire.
Note de contenu : prix Roger Nimier 2012 Sections : Roman Public : Adulte Réservation
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Mes pas vont ailleurs [texte imprimé] / Jean-Luc Coatalem (1959-....), Auteur . - Paris : Stock, DL 2017 . - 1 vol. (280 p.) ; 22 cm.
ISBN : 978-2-234-08117-8 : 19,50
Né à Paris , le 13/09/1959 , d’origine bretonne, Jean-Luc Coatalem est écrivain et journaliste pour différents magazines de voyage comme Grands Reportages et Géo.
Dans les bagages d’un père officier, il a connu, au gré des diverses affectations, une enfance en Polynésie et une adolescence à Madagascar, longs séjours qui lui ont donné le goût de l’ailleurs et, plus tard, une boulimie de voyages et de reportages.
Romancier, nouvelliste et essayiste, cet écrivain-voyageur a par la suite publié des récits bourlingueurs, comme "Mission au Paraguay" (Payot/Voyageurs, 1993) et "Suite indochinoise" (Le Dilettante, 1999, La Table Ronde, Petite Vermillon,2008), des romans drolatiques comme "Capitaine" (Flammarion, 1991) ou "Le Fils du fakir" (Grasset, 1998, Livre de Poche, 2001), et a co-signé deux albums avec le dessinateur Loustal chez Casterman.
Il a été en 1992 l'un des neuf signataires du Manifeste pour une littérature voyageuse publié sous l'égide de Michel Le Bris, avec notamment Nicolas Bouvier et Gilles Lapouge.
Mais Jean-Luc Coatalem s’est fait surtout connaître par son essai très personnel sur Paul Gauguin, "Je suis dans les mers du Sud" (Grasset, 2001, Livre de Poche, 2003), primé et traduit en plusieurs langues, et son ode à la géographie et à l’errance, La consolation des voyages (Grasset, 2004, Livre de Poche, 2006).
Il a signé dernièrement "Il faut se quitter déjà", un récit mélancolique qui se déroule en Argentine et Uruguay (Grasset, 2008, Livre de Poche, 2009), ainsi que "Le dernier roi d'Angkor" (2010).
Il reçoit le Prix Roger Minier en 2012 pour "le Gouverneur d’Antipodia" (la Dilettante)..
Source : Wikipédia
Langues : Français (fre)
Mots-clés : essai biographie romancée amitié espion légendes résistance imperatrice amour militaire voyages marins bretagne Index. décimale : 848 Ecrits Divers : correspondance, journaux intimes, mémoires, citations, discours, essais, entretiens... Résumé : Mai 1919. Victor Segalen est retrouvé mort, couché dans un petit bois, au c?ur du Finistère. Partant du mystère qui entoure la mort de Segalen, suicide ? accident ?, Jean-Luc Coatalem suit les empreintes de l'écrivain-voyageur, breton, comme lui, Brestois, aussi. Militaire, marin et poète, auteur d'une ?uvre labyrinthique que, de son vivant, personne n'aura soupçonnée.En 1903, Segalen pélerine sur les traces de Gauguin, aux îles Marquises. En 1905, à Djibouti, sur celles de Rimbaud. En 1909, il traverse la Chine, en jonque, en train et à cheval, et il recommencera. En 1910, il se risque dans le dédale de la Cité interdite de Pékin, derrière un séduisant jeune homme, espion et amant de l'impératrice. Puis il réside seul à Hanoi, rêve au Tibet, et achète son opium. Il meurt à quarante et un ans, dans la forêt légendaire du Huelgoat, un Shakespeare à la main, la jambe entaillée, au-dessus d'un Gouffre, loin de son épouse et de cette autre femme qu'il aime.Revisitant l'?uvre de Segalen, les lettres à ses deux amours, ses nombreux voyages, Coatalem fait apparaître les résonances, nombreuses, la complicité littéraire et l'écrivain compagnon, composant par ces prismes mêlés, le roman de sa vie, au plus près d'un Segalen vivant et vibrant. Note de contenu : Prix Femina essai 2017 Sections : Ecrits Divers Genres : Biographie Public : Adulte
Titre : Mes pas vont ailleurs Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Luc Coatalem (1959-....), Auteur Editeur : Paris : Stock Année de publication : DL 2017 Importance : 1 vol. (280 p.) Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-234-08117-8 Prix : 19,50 Note générale : Né à Paris , le 13/09/1959 , d’origine bretonne, Jean-Luc Coatalem est écrivain et journaliste pour différents magazines de voyage comme Grands Reportages et Géo.
Dans les bagages d’un père officier, il a connu, au gré des diverses affectations, une enfance en Polynésie et une adolescence à Madagascar, longs séjours qui lui ont donné le goût de l’ailleurs et, plus tard, une boulimie de voyages et de reportages.
Romancier, nouvelliste et essayiste, cet écrivain-voyageur a par la suite publié des récits bourlingueurs, comme "Mission au Paraguay" (Payot/Voyageurs, 1993) et "Suite indochinoise" (Le Dilettante, 1999, La Table Ronde, Petite Vermillon,2008), des romans drolatiques comme "Capitaine" (Flammarion, 1991) ou "Le Fils du fakir" (Grasset, 1998, Livre de Poche, 2001), et a co-signé deux albums avec le dessinateur Loustal chez Casterman.
Il a été en 1992 l'un des neuf signataires du Manifeste pour une littérature voyageuse publié sous l'égide de Michel Le Bris, avec notamment Nicolas Bouvier et Gilles Lapouge.
Mais Jean-Luc Coatalem s’est fait surtout connaître par son essai très personnel sur Paul Gauguin, "Je suis dans les mers du Sud" (Grasset, 2001, Livre de Poche, 2003), primé et traduit en plusieurs langues, et son ode à la géographie et à l’errance, La consolation des voyages (Grasset, 2004, Livre de Poche, 2006).
Il a signé dernièrement "Il faut se quitter déjà", un récit mélancolique qui se déroule en Argentine et Uruguay (Grasset, 2008, Livre de Poche, 2009), ainsi que "Le dernier roi d'Angkor" (2010).
Il reçoit le Prix Roger Minier en 2012 pour "le Gouverneur d’Antipodia" (la Dilettante)..
Source : WikipédiaLangues : Français (fre) Mots-clés : essai biographie romancée amitié espion légendes résistance imperatrice amour militaire voyages marins bretagne Index. décimale : 848 Ecrits Divers : correspondance, journaux intimes, mémoires, citations, discours, essais, entretiens... Résumé : Mai 1919. Victor Segalen est retrouvé mort, couché dans un petit bois, au c?ur du Finistère. Partant du mystère qui entoure la mort de Segalen, suicide ? accident ?, Jean-Luc Coatalem suit les empreintes de l'écrivain-voyageur, breton, comme lui, Brestois, aussi. Militaire, marin et poète, auteur d'une ?uvre labyrinthique que, de son vivant, personne n'aura soupçonnée.En 1903, Segalen pélerine sur les traces de Gauguin, aux îles Marquises. En 1905, à Djibouti, sur celles de Rimbaud. En 1909, il traverse la Chine, en jonque, en train et à cheval, et il recommencera. En 1910, il se risque dans le dédale de la Cité interdite de Pékin, derrière un séduisant jeune homme, espion et amant de l'impératrice. Puis il réside seul à Hanoi, rêve au Tibet, et achète son opium. Il meurt à quarante et un ans, dans la forêt légendaire du Huelgoat, un Shakespeare à la main, la jambe entaillée, au-dessus d'un Gouffre, loin de son épouse et de cette autre femme qu'il aime.Revisitant l'?uvre de Segalen, les lettres à ses deux amours, ses nombreux voyages, Coatalem fait apparaître les résonances, nombreuses, la complicité littéraire et l'écrivain compagnon, composant par ces prismes mêlés, le roman de sa vie, au plus près d'un Segalen vivant et vibrant. Note de contenu : Prix Femina essai 2017 Sections : Ecrits Divers Genres : Biographie Public : Adulte Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité DOC-89240-05866 ED COA Livre Bibliothèque de POURRAIN ECRITS DIVERS Disponible
La part du fils : roman [texte imprimé] / Jean-Luc Coatalem (1959-....), Auteur . - Paris : Stock, DL 2019 . - 1 vol. (261 p.) : couv. ill. en coul. ; 22 cm.
ISBN : 978-2-234-07719-5 : 19
Jean-Luc Coatalem est écrivain et journaliste français , né à Paris , le 13/09/1959.
Dans les bagages d’un père officier, il a connu, au gré des diverses affectations, une enfance en Polynésie et une adolescence à Madagascar, longs séjours qui lui ont donné le goût de l’ailleurs et, plus tard, une boulimie de voyages et de reportages.
Romancier, nouvelliste et essayiste, cet écrivain-voyageur a par la suite publié des récits bourlingueurs, comme "Mission au Paraguay" (Payot/Voyageurs, 1993) et "Suite indochinoise" (Le Dilettante, 1999), des romans drolatiques comme "Capitaine" (Flammarion, 1991) ou "Le Fils du fakir" (Grasset, 1998), et a co-signé deux albums avec le dessinateur Loustal chez Casterman.
Mais Jean-Luc Coatalem s’est fait surtout connaître par son essai très personnel sur Paul Gauguin, "Je suis dans les mers du Sud" (Grasset, 2001), qui a obtenu le Prix Amerigo Vespucci 2001, le prix des Deux Magots 2002 et a été traduit en plusieurs langues.
Il confirme sa notoriété par une ode à la géographie et à l’errance, "La consolation des voyages" (Grasset, 2004).
Il a signé également "Il faut se quitter déjà", un récit mélancolique qui se déroule en Argentine et Uruguay (Grasset, 2008), ainsi que "Le dernier roi d'Angkor" (Grasset, 2010).
Il reçoit le Prix Roger Minier en 2012 pour "Le Gouverneur d’Antipodia" (Le Dilettante). Avec "Mes pas vont ailleurs" (Stock, 2017), essai voyageur consacré à l’écrivain Victor Segalen, mort dans des circonstances étranges en forêt du Huelgoat, il a obtenu le Prix de la Langue française et le Prix Femina essais.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : histoire vraie roman historique biographie témoignage deuil résistance dénonciation seconde guerre mondiale Index. décimale : 843 Fiction française et francophone : Romans et Nouvelles Résumé : Longtemps, je ne sus quasiment rien de Paol hormis ces quelques bribes arrachées.
« Sous le régime de Vichy, une lettre de dénonciation aura suffi. Début septembre 1943, Paol, un ex-officier colonial, est arrêté par la Gestapo dans un village du Finistère. Motif : “inconnu”. Il sera conduit à la prison de Brest, incarcéré avec les “terroristes”, interrogé. Puis ce sera l’engrenage des camps nazis, en France et en Allemagne. Rien ne pourra l’en faire revenir. Un silence pèsera longtemps sur la famille. Dans ce pays de vents et de landes, on ne parle pas du malheur. Des années après, j’irai, moi, à la recherche de cet homme qui fut mon grand-père. Comme à sa rencontre. Et ce que je ne trouverai pas, de la bouche des derniers témoins ou dans les registres des archives, je l’inventerai. Pour qu’il revive. » J.-L.C.
Le grand livre que Jean-Luc Coatalem portait en lui.
Sections : Roman Genres : Historique/Récit Public : Adulte
Titre : La part du fils : roman Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Luc Coatalem (1959-....), Auteur Editeur : Paris : Stock Année de publication : DL 2019 Importance : 1 vol. (261 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-234-07719-5 Prix : 19 Note générale : Jean-Luc Coatalem est écrivain et journaliste français , né à Paris , le 13/09/1959.
Dans les bagages d’un père officier, il a connu, au gré des diverses affectations, une enfance en Polynésie et une adolescence à Madagascar, longs séjours qui lui ont donné le goût de l’ailleurs et, plus tard, une boulimie de voyages et de reportages.
Romancier, nouvelliste et essayiste, cet écrivain-voyageur a par la suite publié des récits bourlingueurs, comme "Mission au Paraguay" (Payot/Voyageurs, 1993) et "Suite indochinoise" (Le Dilettante, 1999), des romans drolatiques comme "Capitaine" (Flammarion, 1991) ou "Le Fils du fakir" (Grasset, 1998), et a co-signé deux albums avec le dessinateur Loustal chez Casterman.
Mais Jean-Luc Coatalem s’est fait surtout connaître par son essai très personnel sur Paul Gauguin, "Je suis dans les mers du Sud" (Grasset, 2001), qui a obtenu le Prix Amerigo Vespucci 2001, le prix des Deux Magots 2002 et a été traduit en plusieurs langues.
Il confirme sa notoriété par une ode à la géographie et à l’errance, "La consolation des voyages" (Grasset, 2004).
Il a signé également "Il faut se quitter déjà", un récit mélancolique qui se déroule en Argentine et Uruguay (Grasset, 2008), ainsi que "Le dernier roi d'Angkor" (Grasset, 2010).
Il reçoit le Prix Roger Minier en 2012 pour "Le Gouverneur d’Antipodia" (Le Dilettante). Avec "Mes pas vont ailleurs" (Stock, 2017), essai voyageur consacré à l’écrivain Victor Segalen, mort dans des circonstances étranges en forêt du Huelgoat, il a obtenu le Prix de la Langue française et le Prix Femina essais.
Langues : Français (fre) Mots-clés : histoire vraie roman historique biographie témoignage deuil résistance dénonciation seconde guerre mondiale Index. décimale : 843 Fiction française et francophone : Romans et Nouvelles Résumé : Longtemps, je ne sus quasiment rien de Paol hormis ces quelques bribes arrachées.
« Sous le régime de Vichy, une lettre de dénonciation aura suffi. Début septembre 1943, Paol, un ex-officier colonial, est arrêté par la Gestapo dans un village du Finistère. Motif : “inconnu”. Il sera conduit à la prison de Brest, incarcéré avec les “terroristes”, interrogé. Puis ce sera l’engrenage des camps nazis, en France et en Allemagne. Rien ne pourra l’en faire revenir. Un silence pèsera longtemps sur la famille. Dans ce pays de vents et de landes, on ne parle pas du malheur. Des années après, j’irai, moi, à la recherche de cet homme qui fut mon grand-père. Comme à sa rencontre. Et ce que je ne trouverai pas, de la bouche des derniers témoins ou dans les registres des archives, je l’inventerai. Pour qu’il revive. » J.-L.C.
Le grand livre que Jean-Luc Coatalem portait en lui.
Sections : Roman Genres : Historique/Récit Public : Adulte Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité DOC-89240-06272 R COA Livre Bibliothèque de POURRAIN ROMAN Disponible


