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Lettres portugaises - La princesse de Clèves [texte imprimé] / Gabriel Joseph de Lavergne Guilleragues (1628-1685), Auteur présumé ; Françoise Chandernagor (1945-....), Préfacier, etc. ; Madame de la Fayette, Auteur présumé . - Paris : Éd. France loisirs, 2000 . - 196 p. : jaquette ill. en coul. ; 21 cm.
ISBN : 978-2-7441-3562-0 : 15
Gabriel Joseph de Lavergne, comte de Guilleragues, est un journaliste, diplomate et écrivain français, né à Bordeaux le 18/11/1628; mort à Constantinople le 15/03/1685.
Guilleragues était premier président de la cour des aides de Bordeaux, lorsqu’il s’attacha au prince de Conti. Après avoir successivement rempli les fonctions de secrétaire des commandements de ce prince, puis celles de secrétaire de la chambre et du cabinet du roi, il fut nommé, en 1677, ambassadeur à la cour ottomane.
Par sa tenue fière, sans outrecuidance, et sa patience qui ne se lassa pas, Guilleragues parvint à rétablir les bons rapports entre les deux pays et les deux cours. Cependant, à peine avait-il remporté cette victoire d’amour-propre diplomatique que Guilleragues mourut à Constantinople d’apoplexie.
Écrivant avec facilité, Guilleragues dirigea pendant quelque temps la Gazette de France. En 1669, Guilleragues publia les célèbres Lettres portugaises en les présentant comme la traduction de cinq lettres d’une religieuse portugaise à un officier français entrées en sa possession et dont l’original « portugais » s’était soi-disant perdu.
Mais il fut définitivement établi vers 1950 que les lettres avaient bien été écrites par Guilleragues.
Source : Wikipédia
Marie-Madeleine Pioche de La Vergne, comtesse de La Fayette (ou Lafayette), née le 18 mars 1634 à Paris, morte le 25 mai 1693 Marie-Madeleine Pioche de La Vergne est la fille aînée de Marc Pioche (-1649), écuyer, sieur de La Vergne et gouverneur du neveu de Richelieu, Jean-Armand de Maillé-Brézé, et d’Isabelle Pena (-1656), fille de François Pena, médecin ordinaire du Roi, et de son épouse, Michelle Coupe. Mlle de La Vergne épousa le 15 février 1655 François Motier, comte de La Fayette (frère de Louise de La Fayette) (1616-1683). Celui-ci détenait plusieurs terres en Auvergne dont les terres de La Fayette, de Goutenoutouse, de Médat et de Forest3.
La Princesse de Clèves témoigne également du rôle important joué par les femmes en littérature et dans la vie culturelle du XVIIe siècle marquée par le courant de la préciosité. Madame de La Fayette avait fréquenté avant son mariage le salon de la marquise de Rambouillet1 et, comme son amie Madame de Sévigné, faisait partie du cercle littéraire de Madeleine de Scudéry, dont elle admirait les œuvres.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : amour préciosité henri3 jalousie Index. décimale : 843.4 Œuvres de fiction françaises (1600-1715 : période classique)
Résumé :
Les lettres portugaises En 1669, l'histoire d'une jeune religieuse portugaise, séduite puis abandonnée par un officier français, et livrant en cinq lettres exaltées toute la palette de ses sentiments, rencontre un énorme succès. On s'est depuis, beaucoup interrogé sur la véritable identité de l'auteur de ces lettres. Mais peu importe au fond la solution de l'énigme. Il y a dans ces lignes une vérité qui se moque du temps, des lieux, des êtres mêmes, et qui explique que trois siècles après sa parution, ce recueil suscite toujours autant d'intérêt. Cri d'amour sans écho mais aussi, et surtout, autopsie lucide de la fin d'une passion, Les Lettres révèlent, dans un style qui épouse à merveille les tourments d'une âme, leur indéfectible modernité. Le travail de Stéphanie Devaux, jouant à la fois sur une calligraphie classique et une utilisation très contemporaine de superpositions de matières, accompagne au plus près ce déchirant monologue.
La Princesse de Clèves est un roman de Marie-Madeleine de La Fayette, d'abord publié anonymement en 1678. Le roman prend pour cadre la vie à la Cour des Valois « dans les dernières années du règne de Henri Second », comme l'indique le narrateur dans les premières lignes du récit. Il peut donc être défini comme un roman historique, même s'il inaugure, par bien des aspects (souci de vraisemblance, ’actionse déroule, en 1558, à la cour du roi Henri II.Mademoiselle de Chartres, jeune fille de seize ans élevée par sa mère selon de rigoureuses règles de morale, paraît pour la première fois au Louvre. Le prince de Clèves, ébloui par sa beauté, la demande en mariage. Mademoiselle de Chartres accepte ce mariage de raison. Trop tard, la Princesse de Clèves rencontre le duc de Nemours, un coureur de jupons. Naît entre eux une passion immédiate et partagée, à laquelle sa mère, Madame de Chartres la conjure de renoncer : « ne craignez point de prendre des partis trop rudes et trop difficiles, quelque affreux qu’ils vous paraissent d’abord : ils seront plus doux dans les suites que les malheurs d’une galanterie ».Le roman décrit avec beaucoup de minutie les étapes du sentiment amoureux chez les trois personnages, ses effets sur leur comportement et la lutte de la princesse pour ne pas trahir les préceptes maternels.construction rigoureuse, introspection des personnages) la tradition du roman d'analyse dont se réclamera une partie de la modernité.
Sections : Roman Genres : Classique Public : Adulte
Titre : Lettres portugaises - La princesse de Clèves Type de document : texte imprimé Auteurs : Gabriel Joseph de Lavergne Guilleragues (1628-1685), Auteur présumé ; Françoise Chandernagor (1945-....), Préfacier, etc. ; Madame de la Fayette, Auteur présumé Editeur : Paris : Éd. France loisirs Année de publication : 2000 Importance : 196 p. Présentation : jaquette ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7441-3562-0 Prix : 15 Note générale : Gabriel Joseph de Lavergne, comte de Guilleragues, est un journaliste, diplomate et écrivain français, né à Bordeaux le 18/11/1628; mort à Constantinople le 15/03/1685.
Guilleragues était premier président de la cour des aides de Bordeaux, lorsqu’il s’attacha au prince de Conti. Après avoir successivement rempli les fonctions de secrétaire des commandements de ce prince, puis celles de secrétaire de la chambre et du cabinet du roi, il fut nommé, en 1677, ambassadeur à la cour ottomane.
Par sa tenue fière, sans outrecuidance, et sa patience qui ne se lassa pas, Guilleragues parvint à rétablir les bons rapports entre les deux pays et les deux cours. Cependant, à peine avait-il remporté cette victoire d’amour-propre diplomatique que Guilleragues mourut à Constantinople d’apoplexie.
Écrivant avec facilité, Guilleragues dirigea pendant quelque temps la Gazette de France. En 1669, Guilleragues publia les célèbres Lettres portugaises en les présentant comme la traduction de cinq lettres d’une religieuse portugaise à un officier français entrées en sa possession et dont l’original « portugais » s’était soi-disant perdu.
Mais il fut définitivement établi vers 1950 que les lettres avaient bien été écrites par Guilleragues.
Source : Wikipédia
Marie-Madeleine Pioche de La Vergne, comtesse de La Fayette (ou Lafayette), née le 18 mars 1634 à Paris, morte le 25 mai 1693 Marie-Madeleine Pioche de La Vergne est la fille aînée de Marc Pioche (-1649), écuyer, sieur de La Vergne et gouverneur du neveu de Richelieu, Jean-Armand de Maillé-Brézé, et d’Isabelle Pena (-1656), fille de François Pena, médecin ordinaire du Roi, et de son épouse, Michelle Coupe. Mlle de La Vergne épousa le 15 février 1655 François Motier, comte de La Fayette (frère de Louise de La Fayette) (1616-1683). Celui-ci détenait plusieurs terres en Auvergne dont les terres de La Fayette, de Goutenoutouse, de Médat et de Forest3.
La Princesse de Clèves témoigne également du rôle important joué par les femmes en littérature et dans la vie culturelle du XVIIe siècle marquée par le courant de la préciosité. Madame de La Fayette avait fréquenté avant son mariage le salon de la marquise de Rambouillet1 et, comme son amie Madame de Sévigné, faisait partie du cercle littéraire de Madeleine de Scudéry, dont elle admirait les œuvres.Langues : Français (fre) Mots-clés : amour préciosité henri3 jalousie Index. décimale : 843.4 Œuvres de fiction françaises (1600-1715 : période classique)
Résumé :
Les lettres portugaises En 1669, l'histoire d'une jeune religieuse portugaise, séduite puis abandonnée par un officier français, et livrant en cinq lettres exaltées toute la palette de ses sentiments, rencontre un énorme succès. On s'est depuis, beaucoup interrogé sur la véritable identité de l'auteur de ces lettres. Mais peu importe au fond la solution de l'énigme. Il y a dans ces lignes une vérité qui se moque du temps, des lieux, des êtres mêmes, et qui explique que trois siècles après sa parution, ce recueil suscite toujours autant d'intérêt. Cri d'amour sans écho mais aussi, et surtout, autopsie lucide de la fin d'une passion, Les Lettres révèlent, dans un style qui épouse à merveille les tourments d'une âme, leur indéfectible modernité. Le travail de Stéphanie Devaux, jouant à la fois sur une calligraphie classique et une utilisation très contemporaine de superpositions de matières, accompagne au plus près ce déchirant monologue.
La Princesse de Clèves est un roman de Marie-Madeleine de La Fayette, d'abord publié anonymement en 1678. Le roman prend pour cadre la vie à la Cour des Valois « dans les dernières années du règne de Henri Second », comme l'indique le narrateur dans les premières lignes du récit. Il peut donc être défini comme un roman historique, même s'il inaugure, par bien des aspects (souci de vraisemblance, ’actionse déroule, en 1558, à la cour du roi Henri II.Mademoiselle de Chartres, jeune fille de seize ans élevée par sa mère selon de rigoureuses règles de morale, paraît pour la première fois au Louvre. Le prince de Clèves, ébloui par sa beauté, la demande en mariage. Mademoiselle de Chartres accepte ce mariage de raison. Trop tard, la Princesse de Clèves rencontre le duc de Nemours, un coureur de jupons. Naît entre eux une passion immédiate et partagée, à laquelle sa mère, Madame de Chartres la conjure de renoncer : « ne craignez point de prendre des partis trop rudes et trop difficiles, quelque affreux qu’ils vous paraissent d’abord : ils seront plus doux dans les suites que les malheurs d’une galanterie ».Le roman décrit avec beaucoup de minutie les étapes du sentiment amoureux chez les trois personnages, ses effets sur leur comportement et la lutte de la princesse pour ne pas trahir les préceptes maternels.construction rigoureuse, introspection des personnages) la tradition du roman d'analyse dont se réclamera une partie de la modernité.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité DOC-89240-02425 R GUI Livre Bibliothèque de POURRAIN ROMAN Disponible
843 Fiction française et francophone : Romans et Nouvelles

