Comment apprendre à s'aimer = Jibun wo suki ni naru houhou : roman [texte imprimé] / Yukiko Motoya (1979-....), Auteur ; Myriam Dartois-Ako, Traducteur . - Arles : Éditions Philippe Picquier, DL 2016 . - 1 vol. (151 p.) ; 21 cm. ISBN : 978-2-8097-1188-2 : 16,50 Née en 1979, Motoya Yukiko fonde en 2000 une troupe de théâtre pour laquelle elle écrit et met en scène. La pièce Sônan (Naufrage), jouée en 2006, fait d’elle la plus jeune lauréate du Prix Tsuruya Nanboku. Elle reçoit le Prix Noma pour les jeunes auteurs pour le roman Nurui doku(Poison tiède) en 2011, et en 2013, le Prix Kenzaburô Ôe pour Arashi no pikunikku (Pique-nique dans la tempête). Elle est l’auteur de nombreux ouvrages.
Source : Picquier
Langues : Français ( fre) Langues originales : Japonais ( jpn)
| Mots-clés : |
adolescence vieillesse portraits introspection rentrée littéraire 2016 tranches de vie communication relations solitude psychologique relations amoureuses japon |
| Index. décimale : |
895.6 Littérature Japonaise |
| Résumé : |
Le livre est une série de plans fixes qui, telles les images d'un film, s'enchaînent entre eux pour dessiner le portrait de Linde. Elle a 16 ans, puis 28, 34, 47, 3 et enfin 63 ans, et découvre au fil de ses apprentissages, de ses déceptions et de ses joies, les sources invisibles du bonheur. Linde évolue sous le regard des autres, trop sage, presque invisible, pleine d'anticipation immobile, elle attend que la vraie vie commence. Elle se heurte au fossé qui nous sépare irrémédiablement d'autrui, et aux succédanés d'un bonheur idéal. A 63 ans, elle attend encore de la vie et des autres ce qu'ils ne peuvent lui donner. Mais, un jour, en attendant le facteur, elle finira par remarquer : « pour quelqu'un qui avait raté sa vie, il lui semblait qu'elle ne s'en sortait pas trop mal. » Le portrait de Linde à 16 ans, puis à 28, 34, 47 et 63 ans. Une série de moments qui évoquent ses apprentissages, ses déceptions et ses joies. Attendant toujours de la vie et des autres ce que personne ne peut lui donner, elle prend conscience à 63 ans que, pour quelqu'un qui a raté sa vie, elle ne s'en sort pas trop mal. |
| Note de contenu : |
rentrée littéraire 2016 |
| Sections : |
Roman |
| Public : |
Adulte |
| Titre : |
Comment apprendre à s'aimer : roman |
| Titre original : |
Jibun wo suki ni naru houhou |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Yukiko Motoya (1979-....), Auteur ; Myriam Dartois-Ako, Traducteur |
| Editeur : |
Arles : Éditions Philippe Picquier |
| Année de publication : |
DL 2016 |
| Importance : |
1 vol. (151 p.) |
| Format : |
21 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-8097-1188-2 |
| Prix : |
16,50 |
| Note générale : |
Née en 1979, Motoya Yukiko fonde en 2000 une troupe de théâtre pour laquelle elle écrit et met en scène. La pièce Sônan (Naufrage), jouée en 2006, fait d’elle la plus jeune lauréate du Prix Tsuruya Nanboku. Elle reçoit le Prix Noma pour les jeunes auteurs pour le roman Nurui doku(Poison tiède) en 2011, et en 2013, le Prix Kenzaburô Ôe pour Arashi no pikunikku (Pique-nique dans la tempête). Elle est l’auteur de nombreux ouvrages.
Source : Picquier
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| Langues : |
Français (fre) Langues originales : Japonais (jpn) |
| Mots-clés : |
adolescence vieillesse portraits introspection rentrée littéraire 2016 tranches de vie communication relations solitude psychologique relations amoureuses japon |
| Index. décimale : |
895.6 Littérature Japonaise |
| Résumé : |
Le livre est une série de plans fixes qui, telles les images d'un film, s'enchaînent entre eux pour dessiner le portrait de Linde. Elle a 16 ans, puis 28, 34, 47, 3 et enfin 63 ans, et découvre au fil de ses apprentissages, de ses déceptions et de ses joies, les sources invisibles du bonheur. Linde évolue sous le regard des autres, trop sage, presque invisible, pleine d'anticipation immobile, elle attend que la vraie vie commence. Elle se heurte au fossé qui nous sépare irrémédiablement d'autrui, et aux succédanés d'un bonheur idéal. A 63 ans, elle attend encore de la vie et des autres ce qu'ils ne peuvent lui donner. Mais, un jour, en attendant le facteur, elle finira par remarquer : « pour quelqu'un qui avait raté sa vie, il lui semblait qu'elle ne s'en sortait pas trop mal. » Le portrait de Linde à 16 ans, puis à 28, 34, 47 et 63 ans. Une série de moments qui évoquent ses apprentissages, ses déceptions et ses joies. Attendant toujours de la vie et des autres ce que personne ne peut lui donner, elle prend conscience à 63 ans que, pour quelqu'un qui a raté sa vie, elle ne s'en sort pas trop mal. |
| Note de contenu : |
rentrée littéraire 2016 |
| Sections : |
Roman |
| Public : |
Adulte |
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