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Le carnaval des innocents = La carroza de Bolívar [texte imprimé] / Evelio Rosero Diago (1958-....), Auteur ; François Gaudry, Traducteur . - Paris : Éditions Métailié, 2016 . - 1 vol. (302 p.) ; 22 cm. - (Bibliothèque hispano-américaine, ISSN 0295-0154) .
ISBN : 979-10-226-0170-2 : 21 ,00
Evelio José Rosero Diago, né le 20 mars 1958 (57 ans) à Bogota, est un écrivain colombien. Auteur de nombreux romsans, il a reçu le prix Tusquets en 2007 et le Foreign Fiction Prize [UK] en 2009.
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Evelio_Rosero
Langues : Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa)
Mots-clés : carnaval gynécologue violence mensonges bataille scandales colombie Index. décimale : 860 Littérature de langue Espagnole Résumé : Le docteur Justo Pastor Proceso a tout pour être heureux. Il est gynécologue dans une petite ville du sud de la Colombie, il a une résidence secondaire, une femme coquette, deux filles et un hobby : enquêter sur la véritable histoire de Simón Bolívar. Pour le carnaval de décembre 1966, il décide de frapper un grand coup en faisant construire un char burlesque qui révélera la face cachée de Simón Bolívar : le Libérateur s'est attribué des victoires sur des champs de bataille où il n'a jamais mis les pieds, a trahi ses amis, menti sans pudeur, enlevé et violé des petites filles à peine nubiles. Pareille offense au héros national ne passe pas inaperçue : on crie au scandale, les notables se liguent contre lui, on attaque l'atelier à l'arme à feu. Pour couronner le tout, en pleine folie carnavalesque, il découvre que sa femme le trompe (avec un général et quelques autres), ses filles le méprisent et ses amis se servent de lui. On quitte le vaudeville pour la farce, mais le drame n'est jamais loin. Dans la Colombie de la fin des années 60 on préfère vivre dans le mensonge plutôt que de remettre les mythes en question. Dans ce roman à la fois ironique et totalement tragique, Evelio Rosero confirme son très grand talent de styliste et de raconteur d'histoires.
Note de contenu : Rentrée hiver 2016
Prix national du meilleur roman colombien 2014Sections : Roman Genres : Biographie/Humour/Politique Public : Adulte
Titre : Le carnaval des innocents Titre original : La carroza de Bolívar Type de document : texte imprimé Auteurs : Evelio Rosero Diago (1958-....), Auteur ; François Gaudry, Traducteur Editeur : Paris : Éditions Métailié Année de publication : 2016 Collection : Bibliothèque hispano-américaine, ISSN 0295-0154 Importance : 1 vol. (302 p.) Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-226-0170-2 Prix : 21 ,00 Note générale : Evelio José Rosero Diago, né le 20 mars 1958 (57 ans) à Bogota, est un écrivain colombien. Auteur de nombreux romsans, il a reçu le prix Tusquets en 2007 et le Foreign Fiction Prize [UK] en 2009.
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Evelio_RoseroLangues : Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa) Mots-clés : carnaval gynécologue violence mensonges bataille scandales colombie Index. décimale : 860 Littérature de langue Espagnole Résumé : Le docteur Justo Pastor Proceso a tout pour être heureux. Il est gynécologue dans une petite ville du sud de la Colombie, il a une résidence secondaire, une femme coquette, deux filles et un hobby : enquêter sur la véritable histoire de Simón Bolívar. Pour le carnaval de décembre 1966, il décide de frapper un grand coup en faisant construire un char burlesque qui révélera la face cachée de Simón Bolívar : le Libérateur s'est attribué des victoires sur des champs de bataille où il n'a jamais mis les pieds, a trahi ses amis, menti sans pudeur, enlevé et violé des petites filles à peine nubiles. Pareille offense au héros national ne passe pas inaperçue : on crie au scandale, les notables se liguent contre lui, on attaque l'atelier à l'arme à feu. Pour couronner le tout, en pleine folie carnavalesque, il découvre que sa femme le trompe (avec un général et quelques autres), ses filles le méprisent et ses amis se servent de lui. On quitte le vaudeville pour la farce, mais le drame n'est jamais loin. Dans la Colombie de la fin des années 60 on préfère vivre dans le mensonge plutôt que de remettre les mythes en question. Dans ce roman à la fois ironique et totalement tragique, Evelio Rosero confirme son très grand talent de styliste et de raconteur d'histoires.
Note de contenu : Rentrée hiver 2016
Prix national du meilleur roman colombien 2014Sections : Roman Genres : Biographie/Humour/Politique Public : Adulte Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité DOC-89240-01845 R ROS Livre Bibliothèque de POURRAIN ROMAN Disponible
Ce qui désirait arriver = Aquello estaba deseando ocurrir [texte imprimé] / Leonardo Padura Fuentes (1955-....), Auteur ; Elena Zayas, Traducteur . - Paris : Éditions Métailié, 2016 . - 1 vol. (234 p.) : ill ; 22 cm. - (Bibliothèque hispano-américaine, ISSN 0295-0154) .
ISBN : 979-10-226-0495-6 : 18
Leonardo Padura Fuentes est un journaliste, scénariste et écrivain cubain, né à La Havane , le 09/10/1955.
Diplômé de littérature hispano-américaine, il a été journaliste et critique de romans policiers, avant de se consacrer à l'écriture d'essais littéraires ("Con la espada y con la pluma", 1984 ; "Un camino de medio siglo : Alejo Carpentier y la narrativa de lo real maravilloso", 1993), de romans ("Fiebre de caballos", 1988 ; "L'Homme qui aimait les chiens", 2009), de nouvelles ("Según pasan los años", 1989) et de scénarios pour le cinéma ("Yo soy, del son a la Salsa",1996).
Il est auteur de romans policiers dont le héros est le lieutenant Mario Conde ("Électre à La Havane", "L'Automne à Cuba", "Adiós Hemingway", "Mort d'un chinois à La Havane", "Hérétiques").
En 2011, il reçoit le Prix Carbet de la Caraibe pour "L'homme qui aimait les chiens", et le prix Roger-Caillois. La même année, il obtient la nationalité espagnole. En 2015, il obtient le Prix Princesse des Asturies.
Langues : Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa)
Mots-clés : nouvelles roman art cycle temps qui passe nostalgie obsessions Cuba Index. décimale : 860 Littérature de langue Espagnole Résumé : En quelques mots, on y est. Cuba, La Havane, comme un regret sans fond, comme la musique d’un vieux boléro. Un doigt de rhum Carta Blanca (quand il en reste), soleil de plomb, solitude. Magie des décors qui n’ont pas besoin de description, ou si peu.
Les héros de Padura sont des tendres ; ils se heurtent à la société, au destin, au temps qui passe ; à ce désir qu’ont les choses, souvent, d’arriver contre notre gré, sans nous consulter. Ainsi, les toits qui s’effondrent, les pénuries de rhum, le départ intempestif d’êtres aimés.
On trouve de tout dans ce recueil de nouvelles, amours bêtement gâchées, soldat en fin de mission à Luanda, archange noir, nuits torrides, jeunes gens désœuvrés, fonctionnaires désabusés, souvenirs cuisants… On trouve surtout le sel des romans de Leonardo Padura, sa marque de fabrique : l’humanité qui irradie à chaque ligne, la nostalgie des vies qu’on ne vit pas, et l’art suprême de nous plonger dans une île qu’on emporte toujours avec soi.
« La prose élastique et élégante de Padura nous entraîne à sa suite comme sur une piste de patinage. » Carlos Zanón, El PaísNote de contenu : 13 nouvelles composent ce recueil :
La Porte d'Alcalà, Neuf nuits avec Violeta del Rio, Adélaida et la poète, Sonatine pour Rafaela, Au fil du temps, Les limites de l'amour, La mort heureuse d'Alborada Almanza, Destin[ation]: Milan-Venise -via Vérone-, Le mur, Le soleil dans les yeux, La mort pendulaire de Raimundo Manzanero, De la neige à Noël, Le chasseur.
Sections : Nouvelles Public : Adulte
Titre : Ce qui désirait arriver Titre original : Aquello estaba deseando ocurrir Type de document : texte imprimé Auteurs : Leonardo Padura Fuentes (1955-....), Auteur ; Elena Zayas, Traducteur Editeur : Paris : Éditions Métailié Année de publication : 2016 Collection : Bibliothèque hispano-américaine, ISSN 0295-0154 Importance : 1 vol. (234 p.) Présentation : ill Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-226-0495-6 Prix : 18 Note générale : Leonardo Padura Fuentes est un journaliste, scénariste et écrivain cubain, né à La Havane , le 09/10/1955.
Diplômé de littérature hispano-américaine, il a été journaliste et critique de romans policiers, avant de se consacrer à l'écriture d'essais littéraires ("Con la espada y con la pluma", 1984 ; "Un camino de medio siglo : Alejo Carpentier y la narrativa de lo real maravilloso", 1993), de romans ("Fiebre de caballos", 1988 ; "L'Homme qui aimait les chiens", 2009), de nouvelles ("Según pasan los años", 1989) et de scénarios pour le cinéma ("Yo soy, del son a la Salsa",1996).
Il est auteur de romans policiers dont le héros est le lieutenant Mario Conde ("Électre à La Havane", "L'Automne à Cuba", "Adiós Hemingway", "Mort d'un chinois à La Havane", "Hérétiques").
En 2011, il reçoit le Prix Carbet de la Caraibe pour "L'homme qui aimait les chiens", et le prix Roger-Caillois. La même année, il obtient la nationalité espagnole. En 2015, il obtient le Prix Princesse des Asturies.Langues : Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa) Mots-clés : nouvelles roman art cycle temps qui passe nostalgie obsessions Cuba Index. décimale : 860 Littérature de langue Espagnole Résumé : En quelques mots, on y est. Cuba, La Havane, comme un regret sans fond, comme la musique d’un vieux boléro. Un doigt de rhum Carta Blanca (quand il en reste), soleil de plomb, solitude. Magie des décors qui n’ont pas besoin de description, ou si peu.
Les héros de Padura sont des tendres ; ils se heurtent à la société, au destin, au temps qui passe ; à ce désir qu’ont les choses, souvent, d’arriver contre notre gré, sans nous consulter. Ainsi, les toits qui s’effondrent, les pénuries de rhum, le départ intempestif d’êtres aimés.
On trouve de tout dans ce recueil de nouvelles, amours bêtement gâchées, soldat en fin de mission à Luanda, archange noir, nuits torrides, jeunes gens désœuvrés, fonctionnaires désabusés, souvenirs cuisants… On trouve surtout le sel des romans de Leonardo Padura, sa marque de fabrique : l’humanité qui irradie à chaque ligne, la nostalgie des vies qu’on ne vit pas, et l’art suprême de nous plonger dans une île qu’on emporte toujours avec soi.
« La prose élastique et élégante de Padura nous entraîne à sa suite comme sur une piste de patinage. » Carlos Zanón, El PaísNote de contenu : 13 nouvelles composent ce recueil :
La Porte d'Alcalà, Neuf nuits avec Violeta del Rio, Adélaida et la poète, Sonatine pour Rafaela, Au fil du temps, Les limites de l'amour, La mort heureuse d'Alborada Almanza, Destin[ation]: Milan-Venise -via Vérone-, Le mur, Le soleil dans les yeux, La mort pendulaire de Raimundo Manzanero, De la neige à Noël, Le chasseur.
Sections : Nouvelles Public : Adulte Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité DOC-89240-01955 RN PAD Livre Bibliothèque de POURRAIN NOUVELLES Disponible
Défriche coupe brûle = Roza tumba quema [texte imprimé] / Claudia Hernández (1975- ....), Auteur ; René Solis, Traducteur . - Paris : Éditions Métailié, 2017 . - 1 vol. (302 p.) : couv. ill. coul. ; 22 cm. - (Bibliothèque hispano-américaine, ISSN 0295-0154) .
ISBN : 979-10-226-1117-6 : 21,50
Claudia HERNÁNDEZ est née au Salvador en 1975. Elle a écrit six recueils de nouvelles qui ont remporté, entre autres, le prix Juan Rulfo-RFI et le prix Anna Seghers.
Langues : Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa)
Mots-clés : femmes combat guerre civile Salvador condition de la femme pauvreté Index. décimale : 860 Littérature de langue Espagnole Résumé : Trois générations de femmes, une guérilla populaire, des forêts reculées. Elle a survécu à la guerre, abandonné les armes, mais conservé le vertige, maintenant que sa lutte est de protéger ses filles dans une après-guerre où la paix, la justice et la dignité sont plus que relatives.
Pas de noms propres, on est la mère ou la fille, de la première à la cinquième, ou la mère de la mère, ou la tante, ou celle qui… À travers ces femmes sans nom, avec une écriture brute, précise et élégante, c’est le point de vue de celles qu’on entend rarement, femmes du peuple qui se sont retrouvées propulsées dans l’Histoire et doivent ensuite retrouver la vie « normale » : le patriarcat, le harcèlement, le ménage. Des destins précis, une portée universelle. Défricher, couper, brûler : une manière de survivre quand tout est à reconstruire.Note de contenu : Défriche coupe brûle est un premier roman. Sections : Roman Genres : Sociétal Public : Adulte
Titre : Défriche coupe brûle Titre original : Roza tumba quema Type de document : texte imprimé Auteurs : Claudia Hernández (1975- ....), Auteur ; René Solis, Traducteur Editeur : Paris : Éditions Métailié Année de publication : 2017 Collection : Bibliothèque hispano-américaine, ISSN 0295-0154 Importance : 1 vol. (302 p.) Présentation : couv. ill. coul. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-226-1117-6 Prix : 21,50 Note générale : Claudia HERNÁNDEZ est née au Salvador en 1975. Elle a écrit six recueils de nouvelles qui ont remporté, entre autres, le prix Juan Rulfo-RFI et le prix Anna Seghers. Langues : Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa) Mots-clés : femmes combat guerre civile Salvador condition de la femme pauvreté Index. décimale : 860 Littérature de langue Espagnole Résumé : Trois générations de femmes, une guérilla populaire, des forêts reculées. Elle a survécu à la guerre, abandonné les armes, mais conservé le vertige, maintenant que sa lutte est de protéger ses filles dans une après-guerre où la paix, la justice et la dignité sont plus que relatives.
Pas de noms propres, on est la mère ou la fille, de la première à la cinquième, ou la mère de la mère, ou la tante, ou celle qui… À travers ces femmes sans nom, avec une écriture brute, précise et élégante, c’est le point de vue de celles qu’on entend rarement, femmes du peuple qui se sont retrouvées propulsées dans l’Histoire et doivent ensuite retrouver la vie « normale » : le patriarcat, le harcèlement, le ménage. Des destins précis, une portée universelle. Défricher, couper, brûler : une manière de survivre quand tout est à reconstruire.Note de contenu : Défriche coupe brûle est un premier roman. Sections : Roman Genres : Sociétal Public : Adulte Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité DOC-89240-07570 R HER Livre Bibliothèque de POURRAIN ROMAN Disponible
La double vie de Jesús = La doble vida de Jesús [texte imprimé] / Enrique Serna (1959-....), Auteur ; François Gaudry, Traducteur . - Paris : Éditions Métailié, 2016 . - 1 vol. (365 p.) ; 22 cm. - (Bibliothèque hispano-américaine, ISSN 0295-0154) .
ISBN : 979-10-226-0456-7 : 21
Né à Mexico City , le 11/01/1959 , Enrique Serna a reçu le prix Mazatlán de littérature. Gabriel Garcia Marquez dit de lui qu’il est un des plus grands écrivains mexicains contemporains. C'est avec le recueil Amours d’occasion qu'il se fait connaître en France. Dans ses histoires, il décrit une ville de Mexico remplie d'êtres marginaux et désespérés, sans jamais se départir cependant de son humour et de sa verve satirique.
Dans son roman noir, La peur des bêtes, Serna dénonce le monde politique et les pratiques de la police, mais aussi la servilité de certains écrivains. Paru en 1995, ce livre a fait scandale au Mexique.
Le roman Quand je serai roi relève de la même férocité que ses ouvrages précédents : on y voit défiler des malotrus, fous, hypocrites dans une sorte d'atroce carnaval.
Enrique Serna est invité en 2009 par le salon du livre qui met la littérature mexicaine à l'honneur.
Source : livres.fluctuat.net, Wikipédia
Langues : Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa)
Mots-clés : roman noir drogue sexe alcool justice traditions rentrée littéraire 2016 corruption pornographie mexique Index. décimale : 860 Littérature de langue Espagnole Résumé : La ville de Cuernavaca est une poudrière dont tous les niveaux ont été infiltrés par les narcotrafiquants. La vie quotidienne est ponctuée par les échanges de coups de feu, la découverte de cadavres décapités, les cartels se disputent la place. Comment un homme disposé à défendre ses convictions jusqu'au bout, à mettre en pratique ses idéaux de légalité et de justice, peut-il se battre sur ce terrain miné ? Jesús a su, malgré la corruption ambiante, se tenir à l'écart des factions qui utilisent le pouvoir à des fins personnelles. Et il pense qu'il peut accéder à la mairie. Il va se retrouver dos au mur, pris entre les pouvoirs institutionnels et le crime organisé : menaces de mort, tentatives de corruption, scandales médiatiques, enlèvements, vengeances sanglantes? Mais dans le même temps il découvre l'amour de sa vie, un amour interdit et scandaleux, fatal pour la réputation d'un homme politique. Avec un humour ravageur, cruel comme la réalité qu'il décrit avec un incroyable sens du suspense, Enrique Serna écrit un roman d'amour fou où la morale des apparences s'effondre devant l'ouragan de la passion.
Note de contenu : ISSN exact : 0295-0154
rentrée littéraire 2016Sections : Roman Genres : Policier/Roman noir/Sociétal Public : Adulte
Titre : La double vie de Jesús Titre original : La doble vida de Jesús Type de document : texte imprimé Auteurs : Enrique Serna (1959-....), Auteur ; François Gaudry, Traducteur Editeur : Paris : Éditions Métailié Année de publication : 2016 Collection : Bibliothèque hispano-américaine, ISSN 0295-0154 Importance : 1 vol. (365 p.) Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-226-0456-7 Prix : 21 Note générale : Né à Mexico City , le 11/01/1959 , Enrique Serna a reçu le prix Mazatlán de littérature. Gabriel Garcia Marquez dit de lui qu’il est un des plus grands écrivains mexicains contemporains. C'est avec le recueil Amours d’occasion qu'il se fait connaître en France. Dans ses histoires, il décrit une ville de Mexico remplie d'êtres marginaux et désespérés, sans jamais se départir cependant de son humour et de sa verve satirique.
Dans son roman noir, La peur des bêtes, Serna dénonce le monde politique et les pratiques de la police, mais aussi la servilité de certains écrivains. Paru en 1995, ce livre a fait scandale au Mexique.
Le roman Quand je serai roi relève de la même férocité que ses ouvrages précédents : on y voit défiler des malotrus, fous, hypocrites dans une sorte d'atroce carnaval.
Enrique Serna est invité en 2009 par le salon du livre qui met la littérature mexicaine à l'honneur.
Source : livres.fluctuat.net, WikipédiaLangues : Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa) Mots-clés : roman noir drogue sexe alcool justice traditions rentrée littéraire 2016 corruption pornographie mexique Index. décimale : 860 Littérature de langue Espagnole Résumé : La ville de Cuernavaca est une poudrière dont tous les niveaux ont été infiltrés par les narcotrafiquants. La vie quotidienne est ponctuée par les échanges de coups de feu, la découverte de cadavres décapités, les cartels se disputent la place. Comment un homme disposé à défendre ses convictions jusqu'au bout, à mettre en pratique ses idéaux de légalité et de justice, peut-il se battre sur ce terrain miné ? Jesús a su, malgré la corruption ambiante, se tenir à l'écart des factions qui utilisent le pouvoir à des fins personnelles. Et il pense qu'il peut accéder à la mairie. Il va se retrouver dos au mur, pris entre les pouvoirs institutionnels et le crime organisé : menaces de mort, tentatives de corruption, scandales médiatiques, enlèvements, vengeances sanglantes? Mais dans le même temps il découvre l'amour de sa vie, un amour interdit et scandaleux, fatal pour la réputation d'un homme politique. Avec un humour ravageur, cruel comme la réalité qu'il décrit avec un incroyable sens du suspense, Enrique Serna écrit un roman d'amour fou où la morale des apparences s'effondre devant l'ouragan de la passion.
Note de contenu : ISSN exact : 0295-0154
rentrée littéraire 2016Sections : Roman Genres : Policier/Roman noir/Sociétal Public : Adulte Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité DOC-89240-03071 R SER Livre Bibliothèque de POURRAIN ROMAN Disponible
L'échange = La tensión del umbral [texte imprimé] / Almeida, Eugenia (1972-....), Auteur ; François Gaudry, Traducteur . - Paris : Éditions Métailié, 2016 . - 1 vol. (248 p.) ; 22 cm. - (Bibliothèque hispano-américaine, ISSN 0295-0154) .
ISBN : 979-10-226-0141-2 : 18
Eugenia Almeida est née à Cordoba , 1972 . Après une maîtrise en communication sociale, elle enseigne la littérature et la communication et participe à un groupe de recherche sur l'humour à l'université de Philosophie et de Sciences Humaines de Unquillo, où elle vit. Almeida est également correctrice et donne des conseils sur l'édition. En tant que journaliste, elle travaille pour la presse écrite, la radio et la télé. Lors du concours Provincial de Poésie pour Auteurs Inédits, en 1997, elle décroche un prix pour ses poèmes. Pendant un an, elle parcourt en tant que chanteuse la France et l'Italie, guitare à la main. Son premier roman 'El Colectivo' paraît en 2004 (' L' Autobus', 2007) et obtient le prix Littérature ainsi que le prix Las Dos Orillas. Ce dernier a permis à son roman d'être publié simultanément en France, en Espagne, en Italie, au Portugal et en Grèce.
Source : Evene
Langues : Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa)
Mots-clés : roman étranger romans policiers et polars dictature fuite méchanceté fuyard couple illicite politique militaire meurtre Index. décimale : 860 Littérature de langue Espagnole Résumé : À la sortie d’un bar, une jeune femme menace un inconnu puis retourne son revolver contre elle-même et se suicide, ça ne regarde pas la police. “Tout au plus un épisode confus. Sans danger pour les tiers.”
Mais Guyot, le journaliste, s’obstine. Il veut comprendre. Il consulte des archives. Il lit les cahiers de la victime. Il cherche. Il ne voit pas les signaux d’alarme.
Parfois, il vaut mieux laisser tomber. L’importance du passé est surestimée. Si les gens restaient tranquilles, tout irait mieux.
Les voix se multiplient. Beaucoup de coups de fil. Entre les mots, du silence. Des menaces avérées. Des crimes. L’atmosphère est opaque, l’air raréfié.
La mécanique de la violence est encore bien huilée ; les anciens maîtres du pouvoir policier des années 80 ont du mal à prendre leur retraite et veulent aussi parler de leurs sentiments.
Dans une prose concise et d’une densité extraordinaire, l’auteur de L’Autobus écrit un roman politique et métaphysique très noir, et montre les remous des âmes perverses et les alliances troubles des pouvoirs institués. Magnifique et glaçant.Note de contenu : ISSN exact : 0295-0154
rentrée littéraire 2016Sections : Roman Policier Genres : Policier/Politique Public : Adulte
Titre : L'échange Titre original : La tensión del umbral Type de document : texte imprimé Auteurs : Almeida, Eugenia (1972-....), Auteur ; François Gaudry, Traducteur Editeur : Paris : Éditions Métailié Année de publication : 2016 Collection : Bibliothèque hispano-américaine, ISSN 0295-0154 Importance : 1 vol. (248 p.) Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-226-0141-2 Prix : 18 Note générale : Eugenia Almeida est née à Cordoba , 1972 . Après une maîtrise en communication sociale, elle enseigne la littérature et la communication et participe à un groupe de recherche sur l'humour à l'université de Philosophie et de Sciences Humaines de Unquillo, où elle vit. Almeida est également correctrice et donne des conseils sur l'édition. En tant que journaliste, elle travaille pour la presse écrite, la radio et la télé. Lors du concours Provincial de Poésie pour Auteurs Inédits, en 1997, elle décroche un prix pour ses poèmes. Pendant un an, elle parcourt en tant que chanteuse la France et l'Italie, guitare à la main. Son premier roman 'El Colectivo' paraît en 2004 (' L' Autobus', 2007) et obtient le prix Littérature ainsi que le prix Las Dos Orillas. Ce dernier a permis à son roman d'être publié simultanément en France, en Espagne, en Italie, au Portugal et en Grèce.
Source : EveneLangues : Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa) Mots-clés : roman étranger romans policiers et polars dictature fuite méchanceté fuyard couple illicite politique militaire meurtre Index. décimale : 860 Littérature de langue Espagnole Résumé : À la sortie d’un bar, une jeune femme menace un inconnu puis retourne son revolver contre elle-même et se suicide, ça ne regarde pas la police. “Tout au plus un épisode confus. Sans danger pour les tiers.”
Mais Guyot, le journaliste, s’obstine. Il veut comprendre. Il consulte des archives. Il lit les cahiers de la victime. Il cherche. Il ne voit pas les signaux d’alarme.
Parfois, il vaut mieux laisser tomber. L’importance du passé est surestimée. Si les gens restaient tranquilles, tout irait mieux.
Les voix se multiplient. Beaucoup de coups de fil. Entre les mots, du silence. Des menaces avérées. Des crimes. L’atmosphère est opaque, l’air raréfié.
La mécanique de la violence est encore bien huilée ; les anciens maîtres du pouvoir policier des années 80 ont du mal à prendre leur retraite et veulent aussi parler de leurs sentiments.
Dans une prose concise et d’une densité extraordinaire, l’auteur de L’Autobus écrit un roman politique et métaphysique très noir, et montre les remous des âmes perverses et les alliances troubles des pouvoirs institués. Magnifique et glaçant.Note de contenu : ISSN exact : 0295-0154
rentrée littéraire 2016Sections : Roman Policier Genres : Policier/Politique Public : Adulte Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité DOC-89240-03215 RP ALM Livre Bibliothèque de POURRAIN ROMAN POLICIER Disponible PermalinkPermalinkPermalinkPermalink


