On ne dormira jamais [texte imprimé] / Bruce Bégout (1967-....), Auteur . - Paris : Éditions Allia, 2017 . - 1 vol. (270 p.) ; 19 cm. ISBN : 979-10-304-0511-8 : 12 Bruce Bégout est un philosophe et écrivain français né le 21/05/1967 . Il est maître de conférences à l'université de Bordeaux.
Il a publié plusieurs ouvrages philosophiques, quatre essais aux éditions Allia (Zéropolis. L'expérience de Las Vegas, 2002 ; Lieu commun. Le motel américain, 2003 ; La Découverte du quotidien. Éléments pour une phénoménologie du monde de la vie , 2005 ; De la décence ordinaire, 2008), mais aussi un « documentaire fiction » à la manière de certains cinéastes tiré de son roman L'Éblouissement des bords de route (Éditions Verticales, 2004). Par ailleurs, il est membre du comité éditorial de la revue Inculte qu'il quitte dans le courant du mois de février de l'année 2008, et dirige la collection « Matière étrangère » aux éditions Vrin.
Ses travaux s'inscrivent dans la tradition de la phénoménologie. Spécialiste de Edmund Husserl, il se consacre à l'exploration du monde urbain, des lieux communs, mais aussi au quotidien.
Source : Wikipédia Langues : Français ( fre)
| Mots-clés : |
roman d'anticipation quête angoisse clandestins nains humour noir contes philosophiques meurtre |
| Index. décimale : |
843 Fiction française et francophone : Romans et Nouvelles |
| Résumé : |
'C’était sinistre et beau à la fois. Mais, au fond, j’aimais ma vie souterraine. J’y trouvais une sécurité et une température constante. Sous terre, j’avais l’impression de vivre dans un lieu à part dont je contrôlais tous les paramètres. Je n’étais plus exposé au monde, à ses intempéries, à ses imprévus. Dans ma chambre au quatrième sous-sol, je jouissais d’une tranquillité totale. Je ne comprenais d’ailleurs pas pourquoi les hommes avaient abandonné les habitations souterraines pour se répandre sur terre. Quelle raison avaient-ils de s’exposer ainsi ?''
À tout moment, le bizarre peut fissurer la réalité quotidienne. C’est ce que découvre le directeur de L’Hôtel, un institut médico-légal, en acceptant une étrange proposition : abriter dans sa morgue un club clandestin.
Aux frontières de la ville, dans ce lieu immense et déroutant, commence alors la lente dépravation de son institution et le récit de son propre effondrement mental. Joie, quête de divertissement, oubli et angoisse cohabitent dans la chambre froide. Les limites s’estompent entre mort et vivant, humain et animal. Quand, au dehors, le ‘‘mal jaune’’ s’abat sur la ville et se propage, les cadavres s’amoncellent à L’Hôtel. Ajoutez des meurtres et quelques lapins nains : que la fête (des morts) commence !
Avec ce roman d’anticipation sociale baroque, Bruce Bégout nous entraîne au bout d’une décomposition totale : celle des corps, des identités et du récit. Car dans ce conte philosophique macabre, c’est bien la Mort, celle que l’on nie et refoule à la frontière de la ville, qui règne en grande maîtresse |
| Note de contenu : |
rentrée littéraire Septembre 2017 |
| Sections : |
Roman |
| Genres : |
Conte Philosophique |
| Public : |
Adulte |
| Titre : |
On ne dormira jamais |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Bruce Bégout (1967-....), Auteur |
| Editeur : |
Paris : Éditions Allia |
| Année de publication : |
2017 |
| Importance : |
1 vol. (270 p.) |
| Format : |
19 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
979-10-304-0511-8 |
| Prix : |
12 |
| Note générale : |
Bruce Bégout est un philosophe et écrivain français né le 21/05/1967 . Il est maître de conférences à l'université de Bordeaux.
Il a publié plusieurs ouvrages philosophiques, quatre essais aux éditions Allia (Zéropolis. L'expérience de Las Vegas, 2002 ; Lieu commun. Le motel américain, 2003 ; La Découverte du quotidien. Éléments pour une phénoménologie du monde de la vie , 2005 ; De la décence ordinaire, 2008), mais aussi un « documentaire fiction » à la manière de certains cinéastes tiré de son roman L'Éblouissement des bords de route (Éditions Verticales, 2004). Par ailleurs, il est membre du comité éditorial de la revue Inculte qu'il quitte dans le courant du mois de février de l'année 2008, et dirige la collection « Matière étrangère » aux éditions Vrin.
Ses travaux s'inscrivent dans la tradition de la phénoménologie. Spécialiste de Edmund Husserl, il se consacre à l'exploration du monde urbain, des lieux communs, mais aussi au quotidien.
Source : Wikipédia |
| Langues : |
Français (fre) |
| Mots-clés : |
roman d'anticipation quête angoisse clandestins nains humour noir contes philosophiques meurtre |
| Index. décimale : |
843 Fiction française et francophone : Romans et Nouvelles |
| Résumé : |
'C’était sinistre et beau à la fois. Mais, au fond, j’aimais ma vie souterraine. J’y trouvais une sécurité et une température constante. Sous terre, j’avais l’impression de vivre dans un lieu à part dont je contrôlais tous les paramètres. Je n’étais plus exposé au monde, à ses intempéries, à ses imprévus. Dans ma chambre au quatrième sous-sol, je jouissais d’une tranquillité totale. Je ne comprenais d’ailleurs pas pourquoi les hommes avaient abandonné les habitations souterraines pour se répandre sur terre. Quelle raison avaient-ils de s’exposer ainsi ?''
À tout moment, le bizarre peut fissurer la réalité quotidienne. C’est ce que découvre le directeur de L’Hôtel, un institut médico-légal, en acceptant une étrange proposition : abriter dans sa morgue un club clandestin.
Aux frontières de la ville, dans ce lieu immense et déroutant, commence alors la lente dépravation de son institution et le récit de son propre effondrement mental. Joie, quête de divertissement, oubli et angoisse cohabitent dans la chambre froide. Les limites s’estompent entre mort et vivant, humain et animal. Quand, au dehors, le ‘‘mal jaune’’ s’abat sur la ville et se propage, les cadavres s’amoncellent à L’Hôtel. Ajoutez des meurtres et quelques lapins nains : que la fête (des morts) commence !
Avec ce roman d’anticipation sociale baroque, Bruce Bégout nous entraîne au bout d’une décomposition totale : celle des corps, des identités et du récit. Car dans ce conte philosophique macabre, c’est bien la Mort, celle que l’on nie et refoule à la frontière de la ville, qui règne en grande maîtresse |
| Note de contenu : |
rentrée littéraire Septembre 2017 |
| Sections : |
Roman |
| Genres : |
Conte Philosophique |
| Public : |
Adulte |
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