La bonne vie : roman [texte imprimé] / Matthieu Mégevand (1983-....), Auteur . - Paris : Flammarion, DL 2018 . - 1 vol. (154 p.) ; 21 cm. ISBN : 978-2-08-142599-6 : 16 Matthieu Mégevand est un écrivain suisse , né à Genève , 1983
Il a grandi à Genève et vécu à Sydney, Paris et Berlin.
Titulaire d'une licence en philosophie et d'un master en histoire des religions, il a travaillé comme journaliste pour le bimestriel "Le Monde des religions" et comme chroniqueur pour la revue "Choisir".
En 2007 paraît son premier recueil de nouvelles "Jardin secret" (Éditions L'Âge d'Homme), puis un roman "Les Deux Aveugles de Jéricho" (Éditions L'Âge d'Homme) en 2011, prix de la Société littéraire de Genève 2011 et sélectionné pour le prix Senghor 2012.
En 2013 paraît "Ce qu’il reste des mots" aux éditions Fayard, une réflexion littéraire et philosophique sur le drame de Sierre (un accident de car dans lequel 28 personnes périrent dont 22 écoliers).
En 2015, il devient directeur de la maison d'édition Labor et Fides.
En 2016, il publie un nouveau récit, "Les lueurs" aux éditions l'Âge d'homme. "La bonne vie" (Flammarion), paru lors de la rentrée littéraire 2018, met en scène la vie du poète Roger Gilbert-Lecomte.
page Facebook : https://www.facebook.com/matthieu.megevand
Source : wikipedia Langues : Français ( fre)
| Mots-clés : |
récits roman biographie romancée poetique réfugiés amitié condition humaine surréalisme drogue philosophie russe années 30 |
| Index. décimale : |
843 Fiction française et francophone : Romans et Nouvelles |
| Résumé : |
Regarder à se crever les yeux, à éclater le crâne avec les yeux de derrière les yeux, de derrière la tête. » L’homme qui écrit ces lignes tentera, toute sa courte vie durant, de voir. Né à Reims en 1907 et mort à 36 ans à Paris en 1943, le poète Roger Gilbert-Lecomte – que raconte ce roman – est le fondateur avec René Daumal, Roger Vailland et Robert Meyrat de la revue Le Grand Jeu.
Au cœur de l’émulation artistique des années 1930, il côtoie André Breton, Arthur Adamov ou encore Antonin Artaud et poursuit, tout au long de sa vie, une quête existentielle et poétique acharnée, accompagnée de prises massives d’alcools et de drogues. La littérature est pour lui considérée – au même titre que diverses substances– comme un moyen de dépassement de la condition humaine.
Loin de l’image d’Épinal du poète maudit, Matthieu Mégevand met en scène la vie de Roger Gilbert-Lecomte en cherchant à approcher son point d’incandescence – c’est- à-dire le moment où l’existence ne se suffit plus, se dépasse, surchauffe, et où l’acte créateur surgit. Au final, un destin d’étoile filante et un roman à son image : éclatant, lumineux, profondément existentiel et qui défile à toute allure.
|
| Sections : |
Roman |
| Genres : |
Biographie |
| Public : |
Adulte |
| Titre : |
La bonne vie : roman |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Matthieu Mégevand (1983-....), Auteur |
| Editeur : |
Paris : Flammarion |
| Année de publication : |
DL 2018 |
| Importance : |
1 vol. (154 p.) |
| Format : |
21 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-08-142599-6 |
| Prix : |
16 |
| Note générale : |
Matthieu Mégevand est un écrivain suisse , né à Genève , 1983
Il a grandi à Genève et vécu à Sydney, Paris et Berlin.
Titulaire d'une licence en philosophie et d'un master en histoire des religions, il a travaillé comme journaliste pour le bimestriel "Le Monde des religions" et comme chroniqueur pour la revue "Choisir".
En 2007 paraît son premier recueil de nouvelles "Jardin secret" (Éditions L'Âge d'Homme), puis un roman "Les Deux Aveugles de Jéricho" (Éditions L'Âge d'Homme) en 2011, prix de la Société littéraire de Genève 2011 et sélectionné pour le prix Senghor 2012.
En 2013 paraît "Ce qu’il reste des mots" aux éditions Fayard, une réflexion littéraire et philosophique sur le drame de Sierre (un accident de car dans lequel 28 personnes périrent dont 22 écoliers).
En 2015, il devient directeur de la maison d'édition Labor et Fides.
En 2016, il publie un nouveau récit, "Les lueurs" aux éditions l'Âge d'homme. "La bonne vie" (Flammarion), paru lors de la rentrée littéraire 2018, met en scène la vie du poète Roger Gilbert-Lecomte.
page Facebook : https://www.facebook.com/matthieu.megevand
Source : wikipedia |
| Langues : |
Français (fre) |
| Mots-clés : |
récits roman biographie romancée poetique réfugiés amitié condition humaine surréalisme drogue philosophie russe années 30 |
| Index. décimale : |
843 Fiction française et francophone : Romans et Nouvelles |
| Résumé : |
Regarder à se crever les yeux, à éclater le crâne avec les yeux de derrière les yeux, de derrière la tête. » L’homme qui écrit ces lignes tentera, toute sa courte vie durant, de voir. Né à Reims en 1907 et mort à 36 ans à Paris en 1943, le poète Roger Gilbert-Lecomte – que raconte ce roman – est le fondateur avec René Daumal, Roger Vailland et Robert Meyrat de la revue Le Grand Jeu.
Au cœur de l’émulation artistique des années 1930, il côtoie André Breton, Arthur Adamov ou encore Antonin Artaud et poursuit, tout au long de sa vie, une quête existentielle et poétique acharnée, accompagnée de prises massives d’alcools et de drogues. La littérature est pour lui considérée – au même titre que diverses substances– comme un moyen de dépassement de la condition humaine.
Loin de l’image d’Épinal du poète maudit, Matthieu Mégevand met en scène la vie de Roger Gilbert-Lecomte en cherchant à approcher son point d’incandescence – c’est- à-dire le moment où l’existence ne se suffit plus, se dépasse, surchauffe, et où l’acte créateur surgit. Au final, un destin d’étoile filante et un roman à son image : éclatant, lumineux, profondément existentiel et qui défile à toute allure.
|
| Sections : |
Roman |
| Genres : |
Biographie |
| Public : |
Adulte |
|  |