Love in a fallen city ; suivi de Ah Hsiao est triste en automne [texte imprimé] / Eileen Chang (1920-1995), Auteur ; Emmanuelle Péchenart, Traducteur . - Paris : Zulma, impr. 2014 . - 1 vol. (158 p.) : couv. ill. en coul. ; 19 cm. ISBN : 978-2-84304-692-6 : 16,50 EUR Eileen Chang, de son nom chinois Zhang Ailing est née en 1920 à Shanghai, où hormis quelques années passées à Tianqin, elle a grandi.Admise en 1938 à l'Université de Londres, elle intégra l'université de Hongkong en raison de la guerre. De retour à Shanghai trois années plus tard, elle commence une brillante carrière littéraire ; publication d'articles et de nouvelles.Mariée en 1944, elle se sépare en 1947 de son mari, part pour Hongkong en 1952, puis pour New-York en 1955, sans jamais cesser d'écrire et de traduire.En 1956 elle épouse l'écrivain Ferdinand Reyer, de trente ans son aîné qui meurt un an plus tard. Elle se consacre alors exclusivement à l'écriture et ses œuvres sont publiées à Hongkong, Taiwan et aux Etats-Unis. Sur le continent, ses romans ne sont publiés qu'en 1984.Eileen Chang a été retrouvée morte en septembre 1995 dans son appartement à Los Angeles où elle vivait seule. Dans Shanghai 1920-1940, paru en décembre 1995, sa courte nouvelle intitulée Attente est volontairement placée en dernier pour lui rendre hommage.
Eileen Chang est désormais reconnue comme une des grandes écrivains chinoises de ce siècle. Son roman, Le chant du riz a été publié chez Calman-Lévy en 1958.
Source : www.bleudechine.fr Langues : Français ( fre) Langues originales : Chinois ( chi)
| Mots-clés : |
hong kong société pouvoir villes travail occident statut social classes sociales famille mariage Shanghai (Chine) littérature chinoise années 40 |
| Index. décimale : |
895.1 Littératures Chinoise et de Taïwan |
| Résumé : |
Shanghai, 1941. Une vieille famille crispée autour de sa douairière semble avoir pour seule ambition d’arrêter le temps. Quand madame Hsü y introduit un riche héritier aux mœurs décadentes pour épouser la Septième Demoiselle, c’est bien davantage sa sœur, Pai Lio-su, la jeune et belle divorcée retournée vivre dans sa famille, qui intéresse Fan Liu-yuan. Devant l’hostilité montante du clan, Pai Lio-su quitte Shanghai pour Hongkong…
Il y a dans Love in a Fallen City un accent fitzgeraldien qui lui donne toute sa modernité. L’art achevé d’Eileen Chang entretisse, avec un sens du détail et une émotion des couleurs tout picturaux, un jeu de métaphores subtiles, des portraits acerbes de personnages prisonniers de leur rôle social, tout cela dans la grâce saisie sur le vif du sentiment intime comme il naît et s’épanouit.
Love in a Fallen City est suivi d’une nouvelle inédite, Ah Hsiao est triste en automne, probablement l’un des textes préférés de son auteur. |
| Sections : |
Roman |
| Genres : |
Sentimental |
| Public : |
Adulte |
| Titre : |
Love in a fallen city ; suivi de Ah Hsiao est triste en automne |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Eileen Chang (1920-1995), Auteur ; Emmanuelle Péchenart, Traducteur |
| Editeur : |
Paris : Zulma |
| Année de publication : |
impr. 2014 |
| Importance : |
1 vol. (158 p.) |
| Présentation : |
couv. ill. en coul. |
| Format : |
19 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-84304-692-6 |
| Prix : |
16,50 EUR |
| Note générale : |
Eileen Chang, de son nom chinois Zhang Ailing est née en 1920 à Shanghai, où hormis quelques années passées à Tianqin, elle a grandi.Admise en 1938 à l'Université de Londres, elle intégra l'université de Hongkong en raison de la guerre. De retour à Shanghai trois années plus tard, elle commence une brillante carrière littéraire ; publication d'articles et de nouvelles.Mariée en 1944, elle se sépare en 1947 de son mari, part pour Hongkong en 1952, puis pour New-York en 1955, sans jamais cesser d'écrire et de traduire.En 1956 elle épouse l'écrivain Ferdinand Reyer, de trente ans son aîné qui meurt un an plus tard. Elle se consacre alors exclusivement à l'écriture et ses œuvres sont publiées à Hongkong, Taiwan et aux Etats-Unis. Sur le continent, ses romans ne sont publiés qu'en 1984.Eileen Chang a été retrouvée morte en septembre 1995 dans son appartement à Los Angeles où elle vivait seule. Dans Shanghai 1920-1940, paru en décembre 1995, sa courte nouvelle intitulée Attente est volontairement placée en dernier pour lui rendre hommage.
Eileen Chang est désormais reconnue comme une des grandes écrivains chinoises de ce siècle. Son roman, Le chant du riz a été publié chez Calman-Lévy en 1958.
Source : www.bleudechine.fr |
| Langues : |
Français (fre) Langues originales : Chinois (chi) |
| Mots-clés : |
hong kong société pouvoir villes travail occident statut social classes sociales famille mariage Shanghai (Chine) littérature chinoise années 40 |
| Index. décimale : |
895.1 Littératures Chinoise et de Taïwan |
| Résumé : |
Shanghai, 1941. Une vieille famille crispée autour de sa douairière semble avoir pour seule ambition d’arrêter le temps. Quand madame Hsü y introduit un riche héritier aux mœurs décadentes pour épouser la Septième Demoiselle, c’est bien davantage sa sœur, Pai Lio-su, la jeune et belle divorcée retournée vivre dans sa famille, qui intéresse Fan Liu-yuan. Devant l’hostilité montante du clan, Pai Lio-su quitte Shanghai pour Hongkong…
Il y a dans Love in a Fallen City un accent fitzgeraldien qui lui donne toute sa modernité. L’art achevé d’Eileen Chang entretisse, avec un sens du détail et une émotion des couleurs tout picturaux, un jeu de métaphores subtiles, des portraits acerbes de personnages prisonniers de leur rôle social, tout cela dans la grâce saisie sur le vif du sentiment intime comme il naît et s’épanouit.
Love in a Fallen City est suivi d’une nouvelle inédite, Ah Hsiao est triste en automne, probablement l’un des textes préférés de son auteur. |
| Sections : |
Roman |
| Genres : |
Sentimental |
| Public : |
Adulte |
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