Détail de l'éditeur
Métailié
localisé à :
Paris
Collections rattachées :
|
Documents disponibles chez cet éditeur (3)
Affiner la recherche Interroger des sources externes
Un diamant brut : Vézelay-Paris, 1938-1950 [texte imprimé] / Yvette Szczupak-Thomas (1929-2003), Auteur . - Paris : Métailié, impr. 2008 . - 1 vol. (438 p.) : couv. ill. ; 22 cm.
ISBN : 978-2-86424-654-1 : 20
Les destins les moins enviables font, quand le temps est venu de les raconter, des histoires captivantes.
Celle d'Yvette Szczupak-Thomas, qui s'est éteinte en 2003 à Jérusalem, sa patrie d'adoption, avait commencé en 1929, dans un coin de Bourgogne…
Pupille de l'Assistance publique, Yvette Thomas vécut de ferme en ferme jusqu'à son adoption, en 1942, par un couple d'intellectuels parisiens : Yvonne et Christian Zervos, fondateurs avant guerre des Cahiers d'art, revue qui draina les plus grands artistes d'alors.
Du jour au lendemain, la petite paysanne se retrouva attablée aux côtés de Picasso, de Braque, d'Éluard, et de beaucoup d'autres qui l'invitaient à participer après dîner à leurs séances d'écriture automatique… Pas moins dépaysée que les deux Persans de Montesquieu débarquant dans le Paris du XVIIIe siècle, elle découvrit, interloquée, le comportement extravagant de ces gens si raffinés dans le domaine de l'art.
En 1950, Yvette épousa M. Szczupak, un collaborateur de Ben Gourion, laissant derrière elle la France et son enfance. Trente ans plus tard, elle entreprendra de mettre par écrit les souvenirs de jeunesse qu'elle gardait méticuleusement rangés dans les « tiroirs intérieurs » de sa mémoire.
Source : Astrid de Vergnette-Larminat in Le Figaro.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : récit personnel autobiographie adoption Vie artistique enfance Quartier Saint-Germain-des-Prés Index. décimale : 759.4 Histoire de la peinture française Résumé : Orpheline, confiée à l'Assistance publique de l'Yonne, Yvette a un destin tout tracé de fille de ferme plus ou moins maltraitée au gré des familles qui l'accueillent. Elle avance dans la vie "comme un chien aveugle suivant une piste, de relent en relent, au cœur de la pestilence du clapier, des remugles de la bauge, des senteurs du fumier", jusqu'à ce beau jour où elle est remarquée par un couple de Parisiens qui, séduits, décident de l'adopter. Les Zervos, éditeurs des Cahiers d'art, plus riches en amis artistes et poètes qu'en or, font entrer dans leur ronde fascinante et bohème ce jeune "diamant brut" qui ne rate pas une seconde des leçons de son ami Pablo Picasso, des belles histoires de Braque ou de celles, plus subtiles, de Paul Éluard caché avec Nusch dans le grenier des Zervos. Puis il y aura, plus tard et moins aimé, l'encombrant René Char. Bref, tout ce monde des arts, de la poésie, des engagements et des mensonges nécessaires qui animent la vie de ces années troubles. Et qui, au gré des circonstances dramatiques de l'Occupation, oscille entre Vézelay et Saint-Germain-des-Prés. La guerre terminée on revient à Paris, là on se parle, on se touche, se jalouse, on vit et couche ensemble, avec quelques sordidités par-ci par-là... Yvette s'enfuira jusqu'en Israël où elle a écrit ce livre magnifique, à l'écriture percutante et profonde portée par l'inventivité qui fait de cette biographie d'orpheline une œuvre littéraire rare, absolue révélation tant sur le monde de l'art qu'en littérature. Sections : Fonds Local & Régional Genres : Autobiographie/Art/Historique Public : Adulte
Titre : Un diamant brut : Vézelay-Paris, 1938-1950 Type de document : texte imprimé Auteurs : Yvette Szczupak-Thomas (1929-2003), Auteur Editeur : Paris : Métailié Année de publication : impr. 2008 Importance : 1 vol. (438 p.) Présentation : couv. ill. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86424-654-1 Prix : 20 Note générale : Les destins les moins enviables font, quand le temps est venu de les raconter, des histoires captivantes.
Celle d'Yvette Szczupak-Thomas, qui s'est éteinte en 2003 à Jérusalem, sa patrie d'adoption, avait commencé en 1929, dans un coin de Bourgogne…
Pupille de l'Assistance publique, Yvette Thomas vécut de ferme en ferme jusqu'à son adoption, en 1942, par un couple d'intellectuels parisiens : Yvonne et Christian Zervos, fondateurs avant guerre des Cahiers d'art, revue qui draina les plus grands artistes d'alors.
Du jour au lendemain, la petite paysanne se retrouva attablée aux côtés de Picasso, de Braque, d'Éluard, et de beaucoup d'autres qui l'invitaient à participer après dîner à leurs séances d'écriture automatique… Pas moins dépaysée que les deux Persans de Montesquieu débarquant dans le Paris du XVIIIe siècle, elle découvrit, interloquée, le comportement extravagant de ces gens si raffinés dans le domaine de l'art.
En 1950, Yvette épousa M. Szczupak, un collaborateur de Ben Gourion, laissant derrière elle la France et son enfance. Trente ans plus tard, elle entreprendra de mettre par écrit les souvenirs de jeunesse qu'elle gardait méticuleusement rangés dans les « tiroirs intérieurs » de sa mémoire.
Source : Astrid de Vergnette-Larminat in Le Figaro.
Langues : Français (fre) Mots-clés : récit personnel autobiographie adoption Vie artistique enfance Quartier Saint-Germain-des-Prés Index. décimale : 759.4 Histoire de la peinture française Résumé : Orpheline, confiée à l'Assistance publique de l'Yonne, Yvette a un destin tout tracé de fille de ferme plus ou moins maltraitée au gré des familles qui l'accueillent. Elle avance dans la vie "comme un chien aveugle suivant une piste, de relent en relent, au cœur de la pestilence du clapier, des remugles de la bauge, des senteurs du fumier", jusqu'à ce beau jour où elle est remarquée par un couple de Parisiens qui, séduits, décident de l'adopter. Les Zervos, éditeurs des Cahiers d'art, plus riches en amis artistes et poètes qu'en or, font entrer dans leur ronde fascinante et bohème ce jeune "diamant brut" qui ne rate pas une seconde des leçons de son ami Pablo Picasso, des belles histoires de Braque ou de celles, plus subtiles, de Paul Éluard caché avec Nusch dans le grenier des Zervos. Puis il y aura, plus tard et moins aimé, l'encombrant René Char. Bref, tout ce monde des arts, de la poésie, des engagements et des mensonges nécessaires qui animent la vie de ces années troubles. Et qui, au gré des circonstances dramatiques de l'Occupation, oscille entre Vézelay et Saint-Germain-des-Prés. La guerre terminée on revient à Paris, là on se parle, on se touche, se jalouse, on vit et couche ensemble, avec quelques sordidités par-ci par-là... Yvette s'enfuira jusqu'en Israël où elle a écrit ce livre magnifique, à l'écriture percutante et profonde portée par l'inventivité qui fait de cette biographie d'orpheline une œuvre littéraire rare, absolue révélation tant sur le monde de l'art qu'en littérature. Sections : Fonds Local & Régional Genres : Autobiographie/Art/Historique Public : Adulte Réservation
Réserver ce document
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité DOC-89240-08705 759.4 SZC Livre Bibliothèque de POURRAIN FONDS LOCAL & REGIONAL Disponible
Étranges rivages = Furðustrandir [texte imprimé] / Arnaldur Indriðason (1961-....), Auteur ; Éric Boury (1967-....), Traducteur . - Paris : Métailié, 2013 . - 1 vol. (298 p.) : couv. ill. en coul. ; 22 cm. - (Bibliothèque nordique (Paris. 2001), ISSN 1625-9297) .
ISBN : 978-2-86424-901-6 : 19,50
Né à Reykjavík , le 28/01/1961 , Arnaldur Indriðason est diplômé en Histoire de l’Université d'Islande en 1996. Journaliste au Morgunbladid en 1981-1982, il devient scénariste indépendant. De 1986 à 2001, il travaille comme critique de films pour le Morgunbladid.
Aujourd'hui, il est l'auteur de six romans policiers — dont plusieurs sont des best-sellers. Il vit à Reykjavik avec sa femme et ses trois enfants et est le fils de l'écrivain Indriði G. Þorsteinsson.
Arnuldur Indriðason publie son premier livre, Synir duftsins (littéralement "Fils de poussière", inédit en français) en 1997. Cette publication marque pour certains, comme Harlan Coben, le départ d'une nouvelle vague islandaise de fiction criminelle. Le romancier policier américain encense Indriðason ainsi : « la meilleure nouvelle série que j'ai lu cette année provient d'Islande. Arnaldur Indriðason est déjà un phénomène littéraire international - il est aisé de voir pourquoi : ces nouvelles sont prenantes, authentiques, hantantes et lyriques. Je ne peux attendre les publications suivantes ! ». Il fut nommé à maintes reprises écrivain le plus populaire d'Islande.
Ses livres sont publiés dans vingt-six pays.
Les nouvelles dont parle Coben mettent en scène la même équipe de détectives, dont l'abrupt Erlendur.
Arnuldur Indriðason a adapté trois de ses livres pour la radio du Icelandic National Broadcasting Service.
Arnaldur a reçu le Prix Clé de verre, un prix de littérature policière scandinave, en 2002 et 2003. Il a également gagné le Gold Dagger Award, prix littéraire britannique, en 2005 pour La Femme en vert, L’Homme du lac (Métailié, 2008), Prix polar européen du Point.
La Cité des Jarres a obtenu le prestigieux prix Clé de verre du roman noir scandinave.
Jar City (Mýrin) est un film islando-germano-danois, d'après le roman d'Arnaldur Indriðason, réalisé par Baltasar Kormákur et sorti en 2006.
Arnaldur Indridason a reçu pour son roman "Hiver Arctique" et pour la troisième fois le prix Clé de Verre du roman noir scandinave.
En 2011, il reçoit le 1er Prix Boréales-région Basse-Normandie du Polar Nordique à l’occasion de ce festival.
En 2013, il sort "Étranges rivages."
Langues : Français (fre) Langues originales : Islandais (ice)
Mots-clés : roman noir thriller deuil enfance culpabilité enquêtes disparition souvenirs meurtre policiers et polars Index. décimale : 839.69 Littérature d'Islande et des Iles Féroé Résumé : Erlendur est de retour ! Parti en vacances sur les terres de son enfance dans les régions sauvages des fjords de l'est, le commissaire est hanté par le passé. Le sien et celui des affaires restées sans réponse. Dans cette région, bien des années auparavant, se sont déroulés des événements sinistres. Un groupe de soldats anglais s'est perdu dans ces montagnes pendant une tempête. Certains ont réussi à regagner la ville, d'autres pas. Cette même nuit, au même endroit, une jeune femme a disparu et n'a jamais été retrouvée. Cette histoire excite la curiosité d'Erlendur, qui va fouiller le passé pour trouver coûte que coûte ce qui est arrivé ...
C'est un commissiare au mieux de sa forme que nous retrouvons ici !Sections : Roman Policier Genres : Thriller Public : Adulte
Titre : Étranges rivages Titre original : Furðustrandir Type de document : texte imprimé Auteurs : Arnaldur Indriðason (1961-....), Auteur ; Éric Boury (1967-....), Traducteur Editeur : Paris : Métailié Année de publication : 2013 Collection : Bibliothèque nordique (Paris. 2001), ISSN 1625-9297 Importance : 1 vol. (298 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86424-901-6 Prix : 19,50 Note générale : Né à Reykjavík , le 28/01/1961 , Arnaldur Indriðason est diplômé en Histoire de l’Université d'Islande en 1996. Journaliste au Morgunbladid en 1981-1982, il devient scénariste indépendant. De 1986 à 2001, il travaille comme critique de films pour le Morgunbladid.
Aujourd'hui, il est l'auteur de six romans policiers — dont plusieurs sont des best-sellers. Il vit à Reykjavik avec sa femme et ses trois enfants et est le fils de l'écrivain Indriði G. Þorsteinsson.
Arnuldur Indriðason publie son premier livre, Synir duftsins (littéralement "Fils de poussière", inédit en français) en 1997. Cette publication marque pour certains, comme Harlan Coben, le départ d'une nouvelle vague islandaise de fiction criminelle. Le romancier policier américain encense Indriðason ainsi : « la meilleure nouvelle série que j'ai lu cette année provient d'Islande. Arnaldur Indriðason est déjà un phénomène littéraire international - il est aisé de voir pourquoi : ces nouvelles sont prenantes, authentiques, hantantes et lyriques. Je ne peux attendre les publications suivantes ! ». Il fut nommé à maintes reprises écrivain le plus populaire d'Islande.
Ses livres sont publiés dans vingt-six pays.
Les nouvelles dont parle Coben mettent en scène la même équipe de détectives, dont l'abrupt Erlendur.
Arnuldur Indriðason a adapté trois de ses livres pour la radio du Icelandic National Broadcasting Service.
Arnaldur a reçu le Prix Clé de verre, un prix de littérature policière scandinave, en 2002 et 2003. Il a également gagné le Gold Dagger Award, prix littéraire britannique, en 2005 pour La Femme en vert, L’Homme du lac (Métailié, 2008), Prix polar européen du Point.
La Cité des Jarres a obtenu le prestigieux prix Clé de verre du roman noir scandinave.
Jar City (Mýrin) est un film islando-germano-danois, d'après le roman d'Arnaldur Indriðason, réalisé par Baltasar Kormákur et sorti en 2006.
Arnaldur Indridason a reçu pour son roman "Hiver Arctique" et pour la troisième fois le prix Clé de Verre du roman noir scandinave.
En 2011, il reçoit le 1er Prix Boréales-région Basse-Normandie du Polar Nordique à l’occasion de ce festival.
En 2013, il sort "Étranges rivages."
Langues : Français (fre) Langues originales : Islandais (ice) Mots-clés : roman noir thriller deuil enfance culpabilité enquêtes disparition souvenirs meurtre policiers et polars Index. décimale : 839.69 Littérature d'Islande et des Iles Féroé Résumé : Erlendur est de retour ! Parti en vacances sur les terres de son enfance dans les régions sauvages des fjords de l'est, le commissaire est hanté par le passé. Le sien et celui des affaires restées sans réponse. Dans cette région, bien des années auparavant, se sont déroulés des événements sinistres. Un groupe de soldats anglais s'est perdu dans ces montagnes pendant une tempête. Certains ont réussi à regagner la ville, d'autres pas. Cette même nuit, au même endroit, une jeune femme a disparu et n'a jamais été retrouvée. Cette histoire excite la curiosité d'Erlendur, qui va fouiller le passé pour trouver coûte que coûte ce qui est arrivé ...
C'est un commissiare au mieux de sa forme que nous retrouvons ici !Sections : Roman Policier Genres : Thriller Public : Adulte Réservation
Réserver ce document
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité DOC-89240-06567 RP ARN Livre Bibliothèque de POURRAIN ROMAN POLICIER Disponible
Hiver arctique = Vetrarborgin [texte imprimé] / Arnaldur Indriðason (1961-....), Auteur ; Éric Boury (1967-....), Traducteur . - Paris : Métailié, 2009 . - 1 vol. (334 p.) : couv. ill. en coul. ; 22 cm. - (Bibliothèque nordique (Paris. 2001), ISSN 1625-9297) .
ISBN : 978-2-86424-673-2 : 19
Arnaldur Indriðason est né à Reykjavík (Islande), le 28/01/1961. Il est diplômé en Histoire de l’Université d'Islande en 1996. Journaliste au Morgunbladid en 1981-1982, il devient scénariste indépendant. De 1986 à 2001, il travaille comme critique de films pour le Morgunbladid.
Aujourd'hui, il est l'auteur de six romans policiers — dont plusieurs sont des best-sellers. Il vit à Reykjavik avec sa femme et ses trois enfants et est le fils de l'écrivain Indriði G. Þorsteinsson.
Arnuldur Indriðason publie son premier livre, Synir duftsins (littéralement "Fils de poussière", inédit en français) en 1997. Cette publication marque pour certains, comme Harlan Coben, le départ d'une nouvelle vague islandaise de fiction criminelle. Le romancier policier américain encense Indriðason ainsi : "la meilleure nouvelle série que j'ai lu cette année provient d'Islande. Arnaldur Indriðason est déjà un phénomène littéraire international - il est aisé de voir pourquoi : ces nouvelles sont prenantes, authentiques, hantantes et lyriques". Il fut nommé à maintes reprises écrivain le plus populaire d'Islande. Ses livres sont publiés dans vingt-six pays.
Arnaldur a reçu le Prix Clé de verre, un prix de littérature policière scandinave, en 2002 et 2003. Il a également gagné le Gold Dagger Award, prix littéraire britannique, en 2005 pour La Femme en vert, L’Homme du lac (Métailié, 2008), Prix polar européen du Point.
La Cité des Jarres a obtenu le prestigieux prix Clé de verre du roman noir scandinave.
Arnaldur Indridason a reçu pour son roman "Hiver Arctique" et pour la troisième fois le prix Clé de Verre du roman noir scandinave.
En 2011, il reçoit le 1er Prix Boréales-région Basse-Normandie du Polar Nordique à l’occasion de ce festival.
En 2013, il sort "Étranges rivages."
Langues : Français (fre) Langues originales : Islandais (ice)
Mots-clés : racisme immigration enquêtes erlendur sveinsson disparition enfants meurtre Index. décimale : 839.69 Littérature d'Islande et des Iles Féroé Résumé : Un soir glacial de janvier à Reykjavik, le corps d’un petit garçon est retrouvé au pied d’un immeuble de banlieue. Il avait 12 ans, rêvait de forêts, ses parents avaient divorcé et sa mère venait de Thaïlande.
Erlendur et son équipe n’ont aucun indice, mais le frère aîné de la victime disparaît avec la complicité de sa mère. Erlendur va explorer tous les préjugés qu’éveille la présence croissante des immigrés dans une société fermée.
Une autre enquête mobilise Erlendur, une femme trompée, qui croyait au grand amour, a disparu, et une femme mystérieuse appelle le commissaire sur son portable pour pleurer, ce qui va permettre au commissaire de révéler ses dons de diplomate.
Par ailleurs, son fils et sa fille s’obstinent à exiger des réponses qu’il n’a aucune envie de donner.
Dans ce roman impressionnant, Indridason surprend en créant un monde à la Simenon.
Il a reçu pour ce livre et pour la troisième fois le Prix Clé de Verre du roman noir scandinave.
Sections : Roman Policier Genres : Roman noir/Suspense/Thriller Public : Adulte
Titre : Hiver arctique Titre original : Vetrarborgin Type de document : texte imprimé Auteurs : Arnaldur Indriðason (1961-....), Auteur ; Éric Boury (1967-....), Traducteur Editeur : Paris : Métailié Année de publication : 2009 Collection : Bibliothèque nordique (Paris. 2001), ISSN 1625-9297 Importance : 1 vol. (334 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86424-673-2 Prix : 19 Note générale : Arnaldur Indriðason est né à Reykjavík (Islande), le 28/01/1961. Il est diplômé en Histoire de l’Université d'Islande en 1996. Journaliste au Morgunbladid en 1981-1982, il devient scénariste indépendant. De 1986 à 2001, il travaille comme critique de films pour le Morgunbladid.
Aujourd'hui, il est l'auteur de six romans policiers — dont plusieurs sont des best-sellers. Il vit à Reykjavik avec sa femme et ses trois enfants et est le fils de l'écrivain Indriði G. Þorsteinsson.
Arnuldur Indriðason publie son premier livre, Synir duftsins (littéralement "Fils de poussière", inédit en français) en 1997. Cette publication marque pour certains, comme Harlan Coben, le départ d'une nouvelle vague islandaise de fiction criminelle. Le romancier policier américain encense Indriðason ainsi : "la meilleure nouvelle série que j'ai lu cette année provient d'Islande. Arnaldur Indriðason est déjà un phénomène littéraire international - il est aisé de voir pourquoi : ces nouvelles sont prenantes, authentiques, hantantes et lyriques". Il fut nommé à maintes reprises écrivain le plus populaire d'Islande. Ses livres sont publiés dans vingt-six pays.
Arnaldur a reçu le Prix Clé de verre, un prix de littérature policière scandinave, en 2002 et 2003. Il a également gagné le Gold Dagger Award, prix littéraire britannique, en 2005 pour La Femme en vert, L’Homme du lac (Métailié, 2008), Prix polar européen du Point.
La Cité des Jarres a obtenu le prestigieux prix Clé de verre du roman noir scandinave.
Arnaldur Indridason a reçu pour son roman "Hiver Arctique" et pour la troisième fois le prix Clé de Verre du roman noir scandinave.
En 2011, il reçoit le 1er Prix Boréales-région Basse-Normandie du Polar Nordique à l’occasion de ce festival.
En 2013, il sort "Étranges rivages."Langues : Français (fre) Langues originales : Islandais (ice) Mots-clés : racisme immigration enquêtes erlendur sveinsson disparition enfants meurtre Index. décimale : 839.69 Littérature d'Islande et des Iles Féroé Résumé : Un soir glacial de janvier à Reykjavik, le corps d’un petit garçon est retrouvé au pied d’un immeuble de banlieue. Il avait 12 ans, rêvait de forêts, ses parents avaient divorcé et sa mère venait de Thaïlande.
Erlendur et son équipe n’ont aucun indice, mais le frère aîné de la victime disparaît avec la complicité de sa mère. Erlendur va explorer tous les préjugés qu’éveille la présence croissante des immigrés dans une société fermée.
Une autre enquête mobilise Erlendur, une femme trompée, qui croyait au grand amour, a disparu, et une femme mystérieuse appelle le commissaire sur son portable pour pleurer, ce qui va permettre au commissaire de révéler ses dons de diplomate.
Par ailleurs, son fils et sa fille s’obstinent à exiger des réponses qu’il n’a aucune envie de donner.
Dans ce roman impressionnant, Indridason surprend en créant un monde à la Simenon.
Il a reçu pour ce livre et pour la troisième fois le Prix Clé de Verre du roman noir scandinave.
Sections : Roman Policier Genres : Roman noir/Suspense/Thriller Public : Adulte Réservation
Réserver ce document
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité DOC-89240-06754 RP ARN Livre Bibliothèque de POURRAIN ROMAN POLICIER Disponible


