La Havane mon amour = La Habana mon amour [texte imprimé] / Zoe Valdés (1959-....), Auteur ; Aymeric Rollet, Traducteur . - Paris : Arthaud, DL 2016 . - 1 vol. (233 p.) ; 21 cm. ISBN : 978-2-08-138222-0 : 19 Zoé Valdés, née le 2 mai 1959 à La Havane à Cuba, est une romancière, poète et scénariste cubaine vivant en France.
Elle a fait partie de la délégation cubaine à l'UNESCO (1983-1988), puis de l'Office culturel de Cuba à Paris. Elle a aussi dirigé une revue cinématographique, Cine cubano.
En 1995, après la publication en France de son roman « Le néant quotidien » elle est contrainte à l’exil, pour insoumission au régime castriste, accompagnée de son conjoint et de sa fille. Elle réside actuellement en France.
Treize ans après avoir été élevée au grade de Chevalier des arts et des lettres en 1999, Zoé Valdès reçoit la Grande Médaille de Vermeil de la ville de Paris en mai 2012.
Source : wikipédia Langues : Français ( fre) Langues originales : Espagnol ( spa)
| Mots-clés : |
vécu initiatique enfance identité dictature douleur exil oubli imaginaire fantômes amour mer |
| Index. décimale : |
860 Littérature de langue Espagnole |
| Résumé : |
La Havane que vous découvrirez au fil de ces pages est celle que j'ai connue, celle de mes aventures, mais aussi celle de mes lectures, de mes écrivains de prédilection et de mes fantômes ? des fantômes que j'ai choisis, ou de ceux qui m'ont choisie. C'est La Havane de ma mère, et en l'absence de ma mère, La Havane est devenue ma mère, une mère lointaine et à jamais regrettée. C'est La Havane bagarreuse et bambollera (tapageuse) de mon père. La Havane particulièrement fervente et joyeuse de ma grand-mère. La Havane de ma génération, née ? année fatidique ? en 1959. La Havane de la pénurie et du désarroi, la ville de la fête et celle des sévices. La ville des évasions, des rencontres et des retrouvailles provoquées. La ville bordée par la mer, tour à tour d'or ou d'argent, [?]. La ville des infortunes, des persécutions, des crimes passés sous silence, des vols quotidiens que l'on commet pour survivre. La ville des grands amours et des orageuses déceptions, des passions, de la douleur, du souvenir, de l'oubli. [?] J'ai recréé les mystères de cette ville, ceux qui m'ont séduite, en les mêlant à des êtres et des situations de fiction, nés de l'imaginaire populaire ou de ma propre invention. |
| Note de contenu : |
rentrée littéraire 2016 |
| Sections : |
Roman |
| Genres : |
Roman initiatique/Témoignage |
| Public : |
Adulte |
| Titre : |
La Havane mon amour |
| Titre original : |
La Habana mon amour |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Zoe Valdés (1959-....), Auteur ; Aymeric Rollet, Traducteur |
| Editeur : |
Paris : Arthaud |
| Année de publication : |
DL 2016 |
| Importance : |
1 vol. (233 p.) |
| Format : |
21 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-08-138222-0 |
| Prix : |
19 |
| Note générale : |
Zoé Valdés, née le 2 mai 1959 à La Havane à Cuba, est une romancière, poète et scénariste cubaine vivant en France.
Elle a fait partie de la délégation cubaine à l'UNESCO (1983-1988), puis de l'Office culturel de Cuba à Paris. Elle a aussi dirigé une revue cinématographique, Cine cubano.
En 1995, après la publication en France de son roman « Le néant quotidien » elle est contrainte à l’exil, pour insoumission au régime castriste, accompagnée de son conjoint et de sa fille. Elle réside actuellement en France.
Treize ans après avoir été élevée au grade de Chevalier des arts et des lettres en 1999, Zoé Valdès reçoit la Grande Médaille de Vermeil de la ville de Paris en mai 2012.
Source : wikipédia |
| Langues : |
Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa) |
| Mots-clés : |
vécu initiatique enfance identité dictature douleur exil oubli imaginaire fantômes amour mer |
| Index. décimale : |
860 Littérature de langue Espagnole |
| Résumé : |
La Havane que vous découvrirez au fil de ces pages est celle que j'ai connue, celle de mes aventures, mais aussi celle de mes lectures, de mes écrivains de prédilection et de mes fantômes ? des fantômes que j'ai choisis, ou de ceux qui m'ont choisie. C'est La Havane de ma mère, et en l'absence de ma mère, La Havane est devenue ma mère, une mère lointaine et à jamais regrettée. C'est La Havane bagarreuse et bambollera (tapageuse) de mon père. La Havane particulièrement fervente et joyeuse de ma grand-mère. La Havane de ma génération, née ? année fatidique ? en 1959. La Havane de la pénurie et du désarroi, la ville de la fête et celle des sévices. La ville des évasions, des rencontres et des retrouvailles provoquées. La ville bordée par la mer, tour à tour d'or ou d'argent, [?]. La ville des infortunes, des persécutions, des crimes passés sous silence, des vols quotidiens que l'on commet pour survivre. La ville des grands amours et des orageuses déceptions, des passions, de la douleur, du souvenir, de l'oubli. [?] J'ai recréé les mystères de cette ville, ceux qui m'ont séduite, en les mêlant à des êtres et des situations de fiction, nés de l'imaginaire populaire ou de ma propre invention. |
| Note de contenu : |
rentrée littéraire 2016 |
| Sections : |
Roman |
| Genres : |
Roman initiatique/Témoignage |
| Public : |
Adulte |
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