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Auteur Anne Plantagenet (1972-....) |
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Bientôt viendront les jours sans toi = Tierra de campos [texte imprimé] / David Trueba (1969-....), Auteur ; Anne Plantagenet (1972-....), Traducteur . - Paris : Flammarion, DL 2018 . - 1 vol. (391 p.) ; 22 cm.
ISBN : 978-2-08-142129-5 : 21
David Trueba est un journaliste, écrivain, romancier, scénariste et réalisateur , né à Madrid , le 10/09/1969
Il est le frère du producteur et réalisateur Fernando Trueba (1955).
Il fait ses études supérieures en sciences de l'information et de la communication à l'Université complutense de Madrid.
Son premier film "La Buena vida" (1996) a obtenu un vif succès en Espagne et aux États-Unis. Il est nominé au Prix Goya du meilleur réalisateur débutant et meilleur scénario original en 1997.
Scénariste et réalisateur primé à de nombreuses reprises, il est surtout connu pour sa comédie dramatique intitulée "Il est facile de vivre les yeux fermés" (Vivir es fácil con los ojos cerrados, 2013), un film qui remporte six prix Goya à la 28e cérémonie des Goyas en 2014 dont "meilleur réalisateur" et "meilleur scénario original" pour David Treba.
David Trueba, est également un romancier très apprécié depuis la publication, en 1995, de son premier livre "Ouvert toute la nuit" (Abierto toda la noche). "Quatre amis" (Cuatro amigos), publié par Anagrama en 1999, a connu plusieurs rééditions en Espagne.
"Savoir perdre" (Saber perdre, 2008) figure dans la sélection du Prix Médicis, après avoir remporté un immense succès en Espagne (Grand prix de la critique en 2008).
"Bientôt viendront les jours sans toi" (Tierra de campos, 2017) est paru lors de la rentrée littéraire 2018.
son site : http://www.davidtrueba.com/
Source : amazon.fr
Langues : Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa)
Mots-clés : autobiographie maladie deuil tendresse nostalgie cimetière traditions amitié introspection musique voyages secrets de famille Index. décimale : 860 Littérature de langue Espagnole Résumé : Dani Mosca accompagne le cercueil de son père pour qu’il soit enterré dans son village natal, comme il le lui a promis. Ce voyage est l’occasion pour lui de revenir sur son adolescence mouvementée dans l’Espagne des années 1980, marquées par la libéralisation des mœurs et l’explosion d’une culture rock qui lui a ouvert les portes d’un nouveau monde. Un livre qui se construit comme un disque: face A, le voyage aux côtés du père, rythmé par les souvenirs d’enfance et d’adolescence; face B, l’arrivée au village et l’âge adulte. Entre ces deux grands blocs, le roman se divise en une succession d’instantanés, comme autant de chansons qui ont bâti la carrière de l’artiste.
David Trueba ne cherche pas tant à suivre le fil d’une histoire, dont nous connaissons inévitablement la fin, qu’à démêler les sentiments des personnages qui l’ont accompagné un bout de chemin: père au courage intimidant, femmes aimées au-delà de l’entendement, amis d’un jour ou pour l’éternité. Il signe un roman gorgé de vie dans lequel chaque nouvelle rencontre semble nous ramener sans cesse à la même question : même si nous n’avons pas été à la hauteur de nos idéaux, faut-il pour autant y renoncer ?
Sections : Roman Genres : Autobiographie Public : Adulte
Titre : Bientôt viendront les jours sans toi Titre original : Tierra de campos Type de document : texte imprimé Auteurs : David Trueba (1969-....), Auteur ; Anne Plantagenet (1972-....), Traducteur Editeur : Paris : Flammarion Année de publication : DL 2018 Importance : 1 vol. (391 p.) Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-08-142129-5 Prix : 21 Note générale : David Trueba est un journaliste, écrivain, romancier, scénariste et réalisateur , né à Madrid , le 10/09/1969
Il est le frère du producteur et réalisateur Fernando Trueba (1955).
Il fait ses études supérieures en sciences de l'information et de la communication à l'Université complutense de Madrid.
Son premier film "La Buena vida" (1996) a obtenu un vif succès en Espagne et aux États-Unis. Il est nominé au Prix Goya du meilleur réalisateur débutant et meilleur scénario original en 1997.
Scénariste et réalisateur primé à de nombreuses reprises, il est surtout connu pour sa comédie dramatique intitulée "Il est facile de vivre les yeux fermés" (Vivir es fácil con los ojos cerrados, 2013), un film qui remporte six prix Goya à la 28e cérémonie des Goyas en 2014 dont "meilleur réalisateur" et "meilleur scénario original" pour David Treba.
David Trueba, est également un romancier très apprécié depuis la publication, en 1995, de son premier livre "Ouvert toute la nuit" (Abierto toda la noche). "Quatre amis" (Cuatro amigos), publié par Anagrama en 1999, a connu plusieurs rééditions en Espagne.
"Savoir perdre" (Saber perdre, 2008) figure dans la sélection du Prix Médicis, après avoir remporté un immense succès en Espagne (Grand prix de la critique en 2008).
"Bientôt viendront les jours sans toi" (Tierra de campos, 2017) est paru lors de la rentrée littéraire 2018.
son site : http://www.davidtrueba.com/
Source : amazon.frLangues : Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa) Mots-clés : autobiographie maladie deuil tendresse nostalgie cimetière traditions amitié introspection musique voyages secrets de famille Index. décimale : 860 Littérature de langue Espagnole Résumé : Dani Mosca accompagne le cercueil de son père pour qu’il soit enterré dans son village natal, comme il le lui a promis. Ce voyage est l’occasion pour lui de revenir sur son adolescence mouvementée dans l’Espagne des années 1980, marquées par la libéralisation des mœurs et l’explosion d’une culture rock qui lui a ouvert les portes d’un nouveau monde. Un livre qui se construit comme un disque: face A, le voyage aux côtés du père, rythmé par les souvenirs d’enfance et d’adolescence; face B, l’arrivée au village et l’âge adulte. Entre ces deux grands blocs, le roman se divise en une succession d’instantanés, comme autant de chansons qui ont bâti la carrière de l’artiste.
David Trueba ne cherche pas tant à suivre le fil d’une histoire, dont nous connaissons inévitablement la fin, qu’à démêler les sentiments des personnages qui l’ont accompagné un bout de chemin: père au courage intimidant, femmes aimées au-delà de l’entendement, amis d’un jour ou pour l’éternité. Il signe un roman gorgé de vie dans lequel chaque nouvelle rencontre semble nous ramener sans cesse à la même question : même si nous n’avons pas été à la hauteur de nos idéaux, faut-il pour autant y renoncer ?
Sections : Roman Genres : Autobiographie Public : Adulte Réservation
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Ce que nous avons perdu dans le feu = Las cosas que perdimos en el fuego [texte imprimé] / Mariana Enriquez (1973-....), Auteur ; Anne Plantagenet (1972-....), Traducteur . - [Paris] : Éditions du Sous-sol, DL 2017 . - 1 vol. (237 p.) ; 21 cm. - (Feuilleton fiction, ISSN 2426-0215) .
ISBN : 978-2-36468-165-1 : 19
Née à : Lanus, Buenos Aires , 1973 , Mariana Enriquez est écrivain et journaliste.
Née d'un père ingénieur et d'une mère médecin, elle a fait des études de journalisme à l’université de La Plata et dirige Radar, le supplément culturel du journal Página/12.
Elle a publié trois romans – dont le premier à 22 ans – et un recueil de nouvelles avant "Ce que nous avons perdu dans le feu" (Las cosas que perdimos en el fuego, 2016), actuellement en cours de traduction dans dix-huit pays.
Langues : Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa)
Mots-clés : fantastique nouvelles epouvante suspense drogue dictature monstre bidonville peur sentiments traumatisme fantômes social tueur en série argentine Index. décimale : 860 Littérature de langue Espagnole Résumé : Douze nouvelles. Un enfant de junkie disparaît du jour au lendemain dans un ancien quartier cossu de Buenos Aires, livré désormais à la drogue et à la violence. Des jeunes femmes se promettent dans le sang de ne jamais avoir d'amants et sont obsédées par la silhouette fugace d'une adolescente disparue. Adela, amputée d'un bras, aime se faire peur en regardant des films d'horreur jusqu'à en devenir prisonnière. Alors qu'il vient de devenir père, Pablo est hanté par la figure du Petiso Orejudo, un enfant serial killer. Un voyage confiné en voiture dans l'humidité du Nord se termine sur un malentendu. Marcela, elle, se mutile en pleine salle de classe, au grand désarroi de ses camarades. Vera, un crâne repêché dans la rue, se meut en double dénué de chair d'une femme au bord de la crise de nerfs. Paula, ancienne assistante sociale, se bat avec ses démons et ses hallucinations. Marco, lui, se cache derrière sa porte, mutique, espérant échapper à l'existence, dehors. Sous l'eau noire, des secrets bien gardés par la police sont prêts à ressurgir. Et des femmes, désespérées, s'enflamment pour protester contre la violence. L'univers de Mariana Enriquez n'est pas tendre. Sorte de Julio Cortázar féminine et féministe, elle partage avec l'auteur de Tous les feux le feu, l'art de jouer avec les codes du fantastique sans jamais y plonger. Le monstre n'est pas tapi dans les bois : nous sommes les monstres. D'une main de maître, elle dessine avec Ce que nous avons perdu dans le feu un univers romanesque qui flirte avec l'horreur mais n'y sombre pas. Mêlant petites histoires et grande Histoire, elle évoque le passé de l'Argentine – ses morts, ses fantômes – par petites touches. Dans une langue délicate et faussement simple, elle déploie une construction narrative où le suspense et l'humour s'entremêlent pour mieux nous faire rire et frissonner du même coup. Note de contenu : Rentrée littéraire 2017
12 nouvelles : L'enfant sale ; L'Hotel ; Les années intoxiquées ; La maison d'Adela ; "Pablito clavo un clavito" : une évocation du Petiso Orejudo ; Toile d'araignée ; Fin des classes ; Pas de chair sur nous ; Le patio du voisin ; Sous l'eau noire ; Vert rouge orangé ; Ce que nous avons perdu dans le feu.Sections : Nouvelles Genres : Epouvante/Fantastique/Suspense Public : Adulte
Titre : Ce que nous avons perdu dans le feu Titre original : Las cosas que perdimos en el fuego Type de document : texte imprimé Auteurs : Mariana Enriquez (1973-....), Auteur ; Anne Plantagenet (1972-....), Traducteur Editeur : [Paris] : Éditions du Sous-sol Année de publication : DL 2017 Collection : Feuilleton fiction, ISSN 2426-0215 Importance : 1 vol. (237 p.) Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-36468-165-1 Prix : 19 Note générale : Née à : Lanus, Buenos Aires , 1973 , Mariana Enriquez est écrivain et journaliste.
Née d'un père ingénieur et d'une mère médecin, elle a fait des études de journalisme à l’université de La Plata et dirige Radar, le supplément culturel du journal Página/12.
Elle a publié trois romans – dont le premier à 22 ans – et un recueil de nouvelles avant "Ce que nous avons perdu dans le feu" (Las cosas que perdimos en el fuego, 2016), actuellement en cours de traduction dans dix-huit pays.Langues : Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa) Mots-clés : fantastique nouvelles epouvante suspense drogue dictature monstre bidonville peur sentiments traumatisme fantômes social tueur en série argentine Index. décimale : 860 Littérature de langue Espagnole Résumé : Douze nouvelles. Un enfant de junkie disparaît du jour au lendemain dans un ancien quartier cossu de Buenos Aires, livré désormais à la drogue et à la violence. Des jeunes femmes se promettent dans le sang de ne jamais avoir d'amants et sont obsédées par la silhouette fugace d'une adolescente disparue. Adela, amputée d'un bras, aime se faire peur en regardant des films d'horreur jusqu'à en devenir prisonnière. Alors qu'il vient de devenir père, Pablo est hanté par la figure du Petiso Orejudo, un enfant serial killer. Un voyage confiné en voiture dans l'humidité du Nord se termine sur un malentendu. Marcela, elle, se mutile en pleine salle de classe, au grand désarroi de ses camarades. Vera, un crâne repêché dans la rue, se meut en double dénué de chair d'une femme au bord de la crise de nerfs. Paula, ancienne assistante sociale, se bat avec ses démons et ses hallucinations. Marco, lui, se cache derrière sa porte, mutique, espérant échapper à l'existence, dehors. Sous l'eau noire, des secrets bien gardés par la police sont prêts à ressurgir. Et des femmes, désespérées, s'enflamment pour protester contre la violence. L'univers de Mariana Enriquez n'est pas tendre. Sorte de Julio Cortázar féminine et féministe, elle partage avec l'auteur de Tous les feux le feu, l'art de jouer avec les codes du fantastique sans jamais y plonger. Le monstre n'est pas tapi dans les bois : nous sommes les monstres. D'une main de maître, elle dessine avec Ce que nous avons perdu dans le feu un univers romanesque qui flirte avec l'horreur mais n'y sombre pas. Mêlant petites histoires et grande Histoire, elle évoque le passé de l'Argentine – ses morts, ses fantômes – par petites touches. Dans une langue délicate et faussement simple, elle déploie une construction narrative où le suspense et l'humour s'entremêlent pour mieux nous faire rire et frissonner du même coup. Note de contenu : Rentrée littéraire 2017
12 nouvelles : L'enfant sale ; L'Hotel ; Les années intoxiquées ; La maison d'Adela ; "Pablito clavo un clavito" : une évocation du Petiso Orejudo ; Toile d'araignée ; Fin des classes ; Pas de chair sur nous ; Le patio du voisin ; Sous l'eau noire ; Vert rouge orangé ; Ce que nous avons perdu dans le feu.Sections : Nouvelles Genres : Epouvante/Fantastique/Suspense Public : Adulte Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité DOC-89240-04386 RN ENR Livre Bibliothèque de POURRAIN NOUVELLES Sorti jusqu'au 30/09/2025


