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L'apprentissage de Duddy Kravitz = The apprenticeship of Duddy Kravitz [texte imprimé] / Mordecai Richler (1931-2001), Auteur ; Lori Saint-Martin (1959-....), Traducteur ; Paul Gagné (1961-....), Traducteur . - [Paris] : Éditions du Sous-sol, DL 2016 . - 1 vol. (409 p.) ; 22 cm. - (Feuilleton fiction, ISSN 2426-0215) .
ISBN : 978-2-36468-229-0 : 23
Né à Montréal , le 27/01/1931 , mort à Montréal , le 03/07/2001 , Mordecai Richler était un auteur et un scénariste canadien.
Né le 27 janvier 1931 sur la rue Saint-Urbain au cœur du « ghetto » juif de Montréal bordé par la Main à l'est et l'avenue du Parc à l'ouest, Mordecai Richler est le fils d'un marchand de ferraille et petit-fils de rabbin du côté maternel. Les parents de Mordecai Richler divorcent alors qu'il est âgé de 13 ans. Afin de subvenir aux besoins de la famille, sa mère gère de petites maisons de pension d'été à Sainte-Agathe-des-Monts.
Mordecai Richler s'exile en Europe à l'âge de 19 ans, d'abord en France et en Espagne, puis en Angleterre où il demeurera de 1954 à 1972. C'est à Londres qu'il publie son premier roman, The Acrobats (1954), puis son œuvre la plus célèbre, L'apprentissage de Duddy Kravitz (1959) dont l'action se déroule à Montréal et dans les Laurentides.
De retour au pays en 1972, il s'installe dans les Cantons-de-l'Est avec sa femme Florence et ses cinq enfants. Il collabore à divers journaux et enseigne à Toronto.
Comme dans l'œuvre de Gabrielle Roy ou de Michel Tremblay, les rues de Montréal deviennent des lieux littéraires inoubliables dans les romans de Mordecai Richler.
Il fut l'auteur de dix romans ; parmi lesquels Barney's Version (Le Monde de Barney) (1997), Solomon Gursky Was Here (1989), Cocksure (1968), de nombreux scénarios, des essais, des livres pour enfants comme la collection des « Jacob Two-Two », et plusieurs ouvrages d’histoires non fictionnelles. Son livre le plus récent fut On Snooker.
Source : archives.radio-canada.ca
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Mots-clés : terreur,quête,alcoolisme,yiddish,obsessions,orphelins,humour,films,médecine,canada Index. décimale : 810 Littératures américaine et canadienne de langue anglaise Résumé : La fortune de L’apprentissage de Duddy Kravitz est considérable. D’abord paru en anglais en 1959 à Toronto, Londres et Boston, puis réédité plusieurs fois avant d’être traduit en français (1960 et 1976), en hébreu (1976) et en italien, le roman a été porté à l’écran en 1974 par Ted Kotchef, avec Richard Dreyfuss dans le rôle titre. L’intrigue se déroule dans le quartier juif de Montréal, au cours des années 1940. Elle s’attache, avec humour et dans une langue souvent populaire, au destin de Duddy Kravitz, petit-fils d’immigrant et orphelin de mère, qui entend se tailler une place au soleil. Contrairement à son grand-père, simple cordonnier profondément attaché au passé culturel de son groupe, l’ambitieux Duddy n’hésite devant rien pour réaliser son rêve : posséder un lopin de terre. Car, lui a enseigné ce grand-père avec qui il entretient une relation privilégiée, « un homme qui ne possède pas de terre n’est rien ». Note de contenu : rentrée littéraire 2017 Sections : Roman Genres : Humour Public : Adulte
Titre : L'apprentissage de Duddy Kravitz Titre original : The apprenticeship of Duddy Kravitz Type de document : texte imprimé Auteurs : Mordecai Richler (1931-2001), Auteur ; Lori Saint-Martin (1959-....), Traducteur ; Paul Gagné (1961-....), Traducteur Editeur : [Paris] : Éditions du Sous-sol Année de publication : DL 2016 Collection : Feuilleton fiction, ISSN 2426-0215 Importance : 1 vol. (409 p.) Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-36468-229-0 Prix : 23 Note générale : Né à Montréal , le 27/01/1931 , mort à Montréal , le 03/07/2001 , Mordecai Richler était un auteur et un scénariste canadien.
Né le 27 janvier 1931 sur la rue Saint-Urbain au cœur du « ghetto » juif de Montréal bordé par la Main à l'est et l'avenue du Parc à l'ouest, Mordecai Richler est le fils d'un marchand de ferraille et petit-fils de rabbin du côté maternel. Les parents de Mordecai Richler divorcent alors qu'il est âgé de 13 ans. Afin de subvenir aux besoins de la famille, sa mère gère de petites maisons de pension d'été à Sainte-Agathe-des-Monts.
Mordecai Richler s'exile en Europe à l'âge de 19 ans, d'abord en France et en Espagne, puis en Angleterre où il demeurera de 1954 à 1972. C'est à Londres qu'il publie son premier roman, The Acrobats (1954), puis son œuvre la plus célèbre, L'apprentissage de Duddy Kravitz (1959) dont l'action se déroule à Montréal et dans les Laurentides.
De retour au pays en 1972, il s'installe dans les Cantons-de-l'Est avec sa femme Florence et ses cinq enfants. Il collabore à divers journaux et enseigne à Toronto.
Comme dans l'œuvre de Gabrielle Roy ou de Michel Tremblay, les rues de Montréal deviennent des lieux littéraires inoubliables dans les romans de Mordecai Richler.
Il fut l'auteur de dix romans ; parmi lesquels Barney's Version (Le Monde de Barney) (1997), Solomon Gursky Was Here (1989), Cocksure (1968), de nombreux scénarios, des essais, des livres pour enfants comme la collection des « Jacob Two-Two », et plusieurs ouvrages d’histoires non fictionnelles. Son livre le plus récent fut On Snooker.
Source : archives.radio-canada.caLangues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Mots-clés : terreur,quête,alcoolisme,yiddish,obsessions,orphelins,humour,films,médecine,canada Index. décimale : 810 Littératures américaine et canadienne de langue anglaise Résumé : La fortune de L’apprentissage de Duddy Kravitz est considérable. D’abord paru en anglais en 1959 à Toronto, Londres et Boston, puis réédité plusieurs fois avant d’être traduit en français (1960 et 1976), en hébreu (1976) et en italien, le roman a été porté à l’écran en 1974 par Ted Kotchef, avec Richard Dreyfuss dans le rôle titre. L’intrigue se déroule dans le quartier juif de Montréal, au cours des années 1940. Elle s’attache, avec humour et dans une langue souvent populaire, au destin de Duddy Kravitz, petit-fils d’immigrant et orphelin de mère, qui entend se tailler une place au soleil. Contrairement à son grand-père, simple cordonnier profondément attaché au passé culturel de son groupe, l’ambitieux Duddy n’hésite devant rien pour réaliser son rêve : posséder un lopin de terre. Car, lui a enseigné ce grand-père avec qui il entretient une relation privilégiée, « un homme qui ne possède pas de terre n’est rien ». Note de contenu : rentrée littéraire 2017 Sections : Roman Genres : Humour Public : Adulte Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité DOC-89240-04667 R RIC Livre Bibliothèque de POURRAIN ROMAN Disponible
Ce que nous avons perdu dans le feu = Las cosas que perdimos en el fuego [texte imprimé] / Mariana Enriquez (1973-....), Auteur ; Anne Plantagenet (1972-....), Traducteur . - [Paris] : Éditions du Sous-sol, DL 2017 . - 1 vol. (237 p.) ; 21 cm. - (Feuilleton fiction, ISSN 2426-0215) .
ISBN : 978-2-36468-165-1 : 19
Née à : Lanus, Buenos Aires , 1973 , Mariana Enriquez est écrivain et journaliste.
Née d'un père ingénieur et d'une mère médecin, elle a fait des études de journalisme à l’université de La Plata et dirige Radar, le supplément culturel du journal Página/12.
Elle a publié trois romans – dont le premier à 22 ans – et un recueil de nouvelles avant "Ce que nous avons perdu dans le feu" (Las cosas que perdimos en el fuego, 2016), actuellement en cours de traduction dans dix-huit pays.
Langues : Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa)
Mots-clés : fantastique nouvelles epouvante suspense drogue dictature monstre bidonville peur sentiments traumatisme fantômes social tueur en série argentine Index. décimale : 860 Littérature de langue Espagnole Résumé : Douze nouvelles. Un enfant de junkie disparaît du jour au lendemain dans un ancien quartier cossu de Buenos Aires, livré désormais à la drogue et à la violence. Des jeunes femmes se promettent dans le sang de ne jamais avoir d'amants et sont obsédées par la silhouette fugace d'une adolescente disparue. Adela, amputée d'un bras, aime se faire peur en regardant des films d'horreur jusqu'à en devenir prisonnière. Alors qu'il vient de devenir père, Pablo est hanté par la figure du Petiso Orejudo, un enfant serial killer. Un voyage confiné en voiture dans l'humidité du Nord se termine sur un malentendu. Marcela, elle, se mutile en pleine salle de classe, au grand désarroi de ses camarades. Vera, un crâne repêché dans la rue, se meut en double dénué de chair d'une femme au bord de la crise de nerfs. Paula, ancienne assistante sociale, se bat avec ses démons et ses hallucinations. Marco, lui, se cache derrière sa porte, mutique, espérant échapper à l'existence, dehors. Sous l'eau noire, des secrets bien gardés par la police sont prêts à ressurgir. Et des femmes, désespérées, s'enflamment pour protester contre la violence. L'univers de Mariana Enriquez n'est pas tendre. Sorte de Julio Cortázar féminine et féministe, elle partage avec l'auteur de Tous les feux le feu, l'art de jouer avec les codes du fantastique sans jamais y plonger. Le monstre n'est pas tapi dans les bois : nous sommes les monstres. D'une main de maître, elle dessine avec Ce que nous avons perdu dans le feu un univers romanesque qui flirte avec l'horreur mais n'y sombre pas. Mêlant petites histoires et grande Histoire, elle évoque le passé de l'Argentine – ses morts, ses fantômes – par petites touches. Dans une langue délicate et faussement simple, elle déploie une construction narrative où le suspense et l'humour s'entremêlent pour mieux nous faire rire et frissonner du même coup. Note de contenu : Rentrée littéraire 2017
12 nouvelles : L'enfant sale ; L'Hotel ; Les années intoxiquées ; La maison d'Adela ; "Pablito clavo un clavito" : une évocation du Petiso Orejudo ; Toile d'araignée ; Fin des classes ; Pas de chair sur nous ; Le patio du voisin ; Sous l'eau noire ; Vert rouge orangé ; Ce que nous avons perdu dans le feu.Sections : Nouvelles Genres : Epouvante/Fantastique/Suspense Public : Adulte
Titre : Ce que nous avons perdu dans le feu Titre original : Las cosas que perdimos en el fuego Type de document : texte imprimé Auteurs : Mariana Enriquez (1973-....), Auteur ; Anne Plantagenet (1972-....), Traducteur Editeur : [Paris] : Éditions du Sous-sol Année de publication : DL 2017 Collection : Feuilleton fiction, ISSN 2426-0215 Importance : 1 vol. (237 p.) Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-36468-165-1 Prix : 19 Note générale : Née à : Lanus, Buenos Aires , 1973 , Mariana Enriquez est écrivain et journaliste.
Née d'un père ingénieur et d'une mère médecin, elle a fait des études de journalisme à l’université de La Plata et dirige Radar, le supplément culturel du journal Página/12.
Elle a publié trois romans – dont le premier à 22 ans – et un recueil de nouvelles avant "Ce que nous avons perdu dans le feu" (Las cosas que perdimos en el fuego, 2016), actuellement en cours de traduction dans dix-huit pays.Langues : Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa) Mots-clés : fantastique nouvelles epouvante suspense drogue dictature monstre bidonville peur sentiments traumatisme fantômes social tueur en série argentine Index. décimale : 860 Littérature de langue Espagnole Résumé : Douze nouvelles. Un enfant de junkie disparaît du jour au lendemain dans un ancien quartier cossu de Buenos Aires, livré désormais à la drogue et à la violence. Des jeunes femmes se promettent dans le sang de ne jamais avoir d'amants et sont obsédées par la silhouette fugace d'une adolescente disparue. Adela, amputée d'un bras, aime se faire peur en regardant des films d'horreur jusqu'à en devenir prisonnière. Alors qu'il vient de devenir père, Pablo est hanté par la figure du Petiso Orejudo, un enfant serial killer. Un voyage confiné en voiture dans l'humidité du Nord se termine sur un malentendu. Marcela, elle, se mutile en pleine salle de classe, au grand désarroi de ses camarades. Vera, un crâne repêché dans la rue, se meut en double dénué de chair d'une femme au bord de la crise de nerfs. Paula, ancienne assistante sociale, se bat avec ses démons et ses hallucinations. Marco, lui, se cache derrière sa porte, mutique, espérant échapper à l'existence, dehors. Sous l'eau noire, des secrets bien gardés par la police sont prêts à ressurgir. Et des femmes, désespérées, s'enflamment pour protester contre la violence. L'univers de Mariana Enriquez n'est pas tendre. Sorte de Julio Cortázar féminine et féministe, elle partage avec l'auteur de Tous les feux le feu, l'art de jouer avec les codes du fantastique sans jamais y plonger. Le monstre n'est pas tapi dans les bois : nous sommes les monstres. D'une main de maître, elle dessine avec Ce que nous avons perdu dans le feu un univers romanesque qui flirte avec l'horreur mais n'y sombre pas. Mêlant petites histoires et grande Histoire, elle évoque le passé de l'Argentine – ses morts, ses fantômes – par petites touches. Dans une langue délicate et faussement simple, elle déploie une construction narrative où le suspense et l'humour s'entremêlent pour mieux nous faire rire et frissonner du même coup. Note de contenu : Rentrée littéraire 2017
12 nouvelles : L'enfant sale ; L'Hotel ; Les années intoxiquées ; La maison d'Adela ; "Pablito clavo un clavito" : une évocation du Petiso Orejudo ; Toile d'araignée ; Fin des classes ; Pas de chair sur nous ; Le patio du voisin ; Sous l'eau noire ; Vert rouge orangé ; Ce que nous avons perdu dans le feu.Sections : Nouvelles Genres : Epouvante/Fantastique/Suspense Public : Adulte Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité DOC-89240-04386 RN ENR Livre Bibliothèque de POURRAIN NOUVELLES Sorti jusqu'au 30/09/2025
À l'école de l'amour = School for love [texte imprimé] / Olivia Manning (1915-1980), Auteur ; Sylvie Schneiter, Traducteur . - [Paris] : Éditions du Sous-sol, DL 2016 . - 1 vol. (221 p.) ; 21 cm. - (Feuilleton fiction, ISSN 2426-0215) .
ISBN : 978-2-36468-095-1 : 19,50
Olivia Mary Manning née à Portsmouth en 1908 était une romancière britannique, poète, écrivain et critique.
Elle est décédée à l'île de Wight le 23 juillet 1980.
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Mots-clés : juif identité tendresse exil réfugiés orphelins humour amour seconde guerre mondiale Index. décimale : 820 Littératures Anglaise et de langue anglaise Résumé : Jérusalem en 1945 est une ville en pleine mutation : les réfugiés de la Seconde Guerre mondiale affluent dans les rues et les cafés, tandis que le mandat colonial britannique touche à sa fin et que les tensions entre Juifs et Palestiniens s’exacerbent. Felix Latimer, jeune orphelin fraîchement débarqué de Bagdad, s’y installe dans l’attente de pouvoir prendre un bateau pour l’Angleterre. Esseulé, il n’a d’autre choix que de rejoindre la pension de famille d’une certaine Mlle Bohun, une parente éloignée. Membre des « Toujours-prêts », un groupe fondamentaliste étrange, prônant la charité et l’amour, elle dirige ce lieu en tyran, bien loin de ses idéaux religieux. Un univers hostile rapidement troublé par un chat nommé Faro et une jeune veuve Mme Ellis, tous deux à la recherche de tendresse et d’amour.
À l’école de l’amour, magnifique roman d’apprentissage, se penche sur l’une de ses figures anonymes aux prises avec la grande Histoire. Quel est le sens de l’exil ? Comment grandir privée de tous ses repères ? Dans une langue dépouillée, à l’humour décapant, Olivia Manning offre le portrait attachant d’un garçon dont l’identité multiple trouve un écho dans les atermoiements d’un pays en construction.Sections : Roman Genres : Historique/Humour/Psychologie Public : Adulte
Titre : À l'école de l'amour Titre original : School for love Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivia Manning (1915-1980), Auteur ; Sylvie Schneiter, Traducteur Editeur : [Paris] : Éditions du Sous-sol Année de publication : DL 2016 Collection : Feuilleton fiction, ISSN 2426-0215 Importance : 1 vol. (221 p.) Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-36468-095-1 Prix : 19,50 Note générale : Olivia Mary Manning née à Portsmouth en 1908 était une romancière britannique, poète, écrivain et critique.
Elle est décédée à l'île de Wight le 23 juillet 1980.Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Mots-clés : juif identité tendresse exil réfugiés orphelins humour amour seconde guerre mondiale Index. décimale : 820 Littératures Anglaise et de langue anglaise Résumé : Jérusalem en 1945 est une ville en pleine mutation : les réfugiés de la Seconde Guerre mondiale affluent dans les rues et les cafés, tandis que le mandat colonial britannique touche à sa fin et que les tensions entre Juifs et Palestiniens s’exacerbent. Felix Latimer, jeune orphelin fraîchement débarqué de Bagdad, s’y installe dans l’attente de pouvoir prendre un bateau pour l’Angleterre. Esseulé, il n’a d’autre choix que de rejoindre la pension de famille d’une certaine Mlle Bohun, une parente éloignée. Membre des « Toujours-prêts », un groupe fondamentaliste étrange, prônant la charité et l’amour, elle dirige ce lieu en tyran, bien loin de ses idéaux religieux. Un univers hostile rapidement troublé par un chat nommé Faro et une jeune veuve Mme Ellis, tous deux à la recherche de tendresse et d’amour.
À l’école de l’amour, magnifique roman d’apprentissage, se penche sur l’une de ses figures anonymes aux prises avec la grande Histoire. Quel est le sens de l’exil ? Comment grandir privée de tous ses repères ? Dans une langue dépouillée, à l’humour décapant, Olivia Manning offre le portrait attachant d’un garçon dont l’identité multiple trouve un écho dans les atermoiements d’un pays en construction.Sections : Roman Genres : Historique/Humour/Psychologie Public : Adulte Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité DOC-89240-02275 R MAN Livre Bibliothèque de POURRAIN ROMAN Disponible


