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Les mémorables = Os veismemord [texte imprimé] / Lídia Jorge (1946-....), Auteur ; Geneviève Leibrich (1935-....), Traducteur . - Paris : Éditions Métailié, 2015 . - 1 vol. (347 p.) ; 22 cm. - (Bibliothèque portugaise (Paris), ISSN 0757-9276) .
ISBN : 979-10-226-0156-6 : 20
Née à Algarve en 1946, Lídia Jorge est l'une des grandes romancières portugaises contemporaines. Issue d’une famille de paysans aisés, Lídia Jorge est envoyée au lycée de Faro, puis étudie la philologie romane à Lisbonne. En 1970, elle suit en Afrique son premier mari, officier pendant la guerre coloniale. Le Rivage des murmures (A Costa dos Murmúrios) (1988) évoque cet épisode de sa vie au Mozambique et en a fait l'une des figures majeures de la littérature portugaise moderne.
Aujourd’hui, elle enseigne la littérature à l’université de Lisbonne et partage sa vie avec un journaliste politique du quotidien Diario de Noticias, son second mari. À Lisbonne, elle milite pour le respect de l’environnement et contre les « parrains de l’immobilier » qui menacent les avenues.
Son premier roman, "La journée des prodiges", paru en 1979, elle écrit des romans dérangeants, baroques et habités dont on a dit qu’ils ont révélé le Portugal aux Portugais.
Langues : Français (fre) Langues originales : Portugais (por)
Mots-clés : mémoire démocratie dictature Lisbonne révolution des oeillets Portugal Index. décimale : 860 Littérature de langue Espagnole Résumé : La photo était là, sur l’étagère, tout en haut de la bibliothèque de son père. Un groupe d’hommes et de femmes autour d’une table de restaurant, et parmi eux, ses parents, l’éditorialiste lucide et la comédienne étrangère. Lorsque la CBS lui commande un documentaire revisitant les mythes de la révolution des Œillets, Ana Maria réalise que tous les acteurs du coup d’État qui renverse la dictature se trouvent sur cette photo. En compagnie de deux journalistes aussi jeunes qu’elle, elle les retrouve et, au fil de son enquête, découvre l’effet du passage du temps non seulement sur ces héros, mais aussi sur la société portugaise. Survivants d’un temps oublié, les personnages de la photo essaient de recréer ce qu’a été l’illusion révolutionnaire, et le difficile chemin vers la démocratie. Le regard des jeunes gens sur les protagonistes d’une histoire que personne ne veut plus entendre, réécrit cruellement leur épopée. Lídia Jorge s’intéresse à l’espace indéfini qui sépare le récit que l’Histoire dévoile, avec ses vérités difficiles à affronter et la création du mythe, le moment où la vie a été transformée en une construction de l’imaginaire ou de la volonté. Un roman exceptionnel sur la politique et le destin des rêves.
Sections : Roman Genres : Historique/Politique Public : Adulte
Titre : Les mémorables Titre original : Os veismemord Type de document : texte imprimé Auteurs : Lídia Jorge (1946-....), Auteur ; Geneviève Leibrich (1935-....), Traducteur Editeur : Paris : Éditions Métailié Année de publication : 2015 Collection : Bibliothèque portugaise (Paris), ISSN 0757-9276 Importance : 1 vol. (347 p.) Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-226-0156-6 Prix : 20 Note générale : Née à Algarve en 1946, Lídia Jorge est l'une des grandes romancières portugaises contemporaines. Issue d’une famille de paysans aisés, Lídia Jorge est envoyée au lycée de Faro, puis étudie la philologie romane à Lisbonne. En 1970, elle suit en Afrique son premier mari, officier pendant la guerre coloniale. Le Rivage des murmures (A Costa dos Murmúrios) (1988) évoque cet épisode de sa vie au Mozambique et en a fait l'une des figures majeures de la littérature portugaise moderne.
Aujourd’hui, elle enseigne la littérature à l’université de Lisbonne et partage sa vie avec un journaliste politique du quotidien Diario de Noticias, son second mari. À Lisbonne, elle milite pour le respect de l’environnement et contre les « parrains de l’immobilier » qui menacent les avenues.
Son premier roman, "La journée des prodiges", paru en 1979, elle écrit des romans dérangeants, baroques et habités dont on a dit qu’ils ont révélé le Portugal aux Portugais.Langues : Français (fre) Langues originales : Portugais (por) Mots-clés : mémoire démocratie dictature Lisbonne révolution des oeillets Portugal Index. décimale : 860 Littérature de langue Espagnole Résumé : La photo était là, sur l’étagère, tout en haut de la bibliothèque de son père. Un groupe d’hommes et de femmes autour d’une table de restaurant, et parmi eux, ses parents, l’éditorialiste lucide et la comédienne étrangère. Lorsque la CBS lui commande un documentaire revisitant les mythes de la révolution des Œillets, Ana Maria réalise que tous les acteurs du coup d’État qui renverse la dictature se trouvent sur cette photo. En compagnie de deux journalistes aussi jeunes qu’elle, elle les retrouve et, au fil de son enquête, découvre l’effet du passage du temps non seulement sur ces héros, mais aussi sur la société portugaise. Survivants d’un temps oublié, les personnages de la photo essaient de recréer ce qu’a été l’illusion révolutionnaire, et le difficile chemin vers la démocratie. Le regard des jeunes gens sur les protagonistes d’une histoire que personne ne veut plus entendre, réécrit cruellement leur épopée. Lídia Jorge s’intéresse à l’espace indéfini qui sépare le récit que l’Histoire dévoile, avec ses vérités difficiles à affronter et la création du mythe, le moment où la vie a été transformée en une construction de l’imaginaire ou de la volonté. Un roman exceptionnel sur la politique et le destin des rêves.
Sections : Roman Genres : Historique/Politique Public : Adulte Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité DOC-89240-01892 R JOR Livre Bibliothèque de POURRAIN ROMAN Disponible
Les transparents = Os transparentes [texte imprimé] / Ondjaki (1977-....), Auteur ; Danielle Schramm, Traducteur . - Paris : Éditions Métailié, 2015 . - 1 vol. (358 p.) : ill. en coul; ; 22 cm. - (Bibliothèque portugaise (Paris), ISSN 0757-9276) .
ISBN : 979-10-226-0166-5 : 21
Ondjaki est le pseudonyme de l'écrivain angolais Ndalu de Almeida, né en 1977 à Luanda (Angola). Ila obtenu une maîtrise en sociologie à l'Université de Lisbonne en 2002.
Écrivain, poète, comédien, il a publié des poèmes et des romans et a reçu en 2008 le Grande Prémio de Conto Camilo Castelo Branco, décerné par l'Association des écrivains portugais. et le prix Grinzane for Africa, alors qu'en 2010 on lui attribuait le prix Jabuti.
Source : http://www.mertin-litag.de/authors_htm/Ondjaki.htm
Langues : Français (fre) Langues originales : Portugais (por)
Mots-clés : ironie immeuble solidarité pétrole corruption guerre civile modernité Angola tradition transition Index. décimale : 896 Littératures africaines : Afrique Noire et langues non-autochtones : français, anglais, portugais… Résumé : Une source d’eau douce, ou une fuite intarissable, s’est ouverte au premier étage d’un vieil immeuble du centre de Luanda. Les habitants s’y retrouvent pour un moment de conversation et de repos. Ce sont des gens simples qui partagent leurs vies et leurs souvenirs, ce sont des personnages surprenants et complexes qui ont des désirs, des rêves, des peines. Ils racontent leurs histoires, la guerre, et pensent à l’avenir. Il y a Odonato qui a la nostalgie de la Luanda d’autrefois, il a cessé de manger pour laisser la nourriture à ses enfants et est en train de devenir transparent. Il y a Amarelinha sa fille, la brodeuse de perles, qu’aimerait approcher le jeune Marchand De Coquillages, toujours accompagné du bruit de son sac de marchandise et de l’Aveugle qui le suit. Il y a Maria Com Força, qui vend du poisson grillé, et son mari le débrouillard qui monte une salle de cinéma sur le toit de l’immeuble. Le Facteur qui distribue ses lettres de protestation et réclame une mobylette à tous les représentants d’une autorité quelconque. Et Paizinho, le jeune garçon qui cherche à la télévision sa mère dont il a été séparé par la guerre. L’immeuble abrite aussi des journalistes, des chercheurs, des contrôleurs, tous intéressés par les richesses naturelles du pays et le développement de la grande ville africaine : pétrole ou eau potable, corruption ou bien public. Toutes ces histoires tissent la toile de fond d’une Angola en cours de transition brutale entre sa culture traditionnelle et la modernité. L’écriture d’Ondjaki, entre ironie tranquille et critique intelligente, imagination poétique et habileté narrative, emporte le lecteur séduit dans cette aventure.
Note de contenu : Glossaire
"Les Transparents", obtient le Prix Transfuge du meilleur roman africain - rentrée littéraire 2015Sections : Roman Genres : Aventure/Historique/Sociétal Public : Adulte
Titre : Les transparents Titre original : Os transparentes Type de document : texte imprimé Auteurs : Ondjaki (1977-....), Auteur ; Danielle Schramm, Traducteur Editeur : Paris : Éditions Métailié Année de publication : 2015 Collection : Bibliothèque portugaise (Paris), ISSN 0757-9276 Importance : 1 vol. (358 p.) Présentation : ill. en coul; Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-226-0166-5 Prix : 21 Note générale : Ondjaki est le pseudonyme de l'écrivain angolais Ndalu de Almeida, né en 1977 à Luanda (Angola). Ila obtenu une maîtrise en sociologie à l'Université de Lisbonne en 2002.
Écrivain, poète, comédien, il a publié des poèmes et des romans et a reçu en 2008 le Grande Prémio de Conto Camilo Castelo Branco, décerné par l'Association des écrivains portugais. et le prix Grinzane for Africa, alors qu'en 2010 on lui attribuait le prix Jabuti.
Source : http://www.mertin-litag.de/authors_htm/Ondjaki.htmLangues : Français (fre) Langues originales : Portugais (por) Mots-clés : ironie immeuble solidarité pétrole corruption guerre civile modernité Angola tradition transition Index. décimale : 896 Littératures africaines : Afrique Noire et langues non-autochtones : français, anglais, portugais… Résumé : Une source d’eau douce, ou une fuite intarissable, s’est ouverte au premier étage d’un vieil immeuble du centre de Luanda. Les habitants s’y retrouvent pour un moment de conversation et de repos. Ce sont des gens simples qui partagent leurs vies et leurs souvenirs, ce sont des personnages surprenants et complexes qui ont des désirs, des rêves, des peines. Ils racontent leurs histoires, la guerre, et pensent à l’avenir. Il y a Odonato qui a la nostalgie de la Luanda d’autrefois, il a cessé de manger pour laisser la nourriture à ses enfants et est en train de devenir transparent. Il y a Amarelinha sa fille, la brodeuse de perles, qu’aimerait approcher le jeune Marchand De Coquillages, toujours accompagné du bruit de son sac de marchandise et de l’Aveugle qui le suit. Il y a Maria Com Força, qui vend du poisson grillé, et son mari le débrouillard qui monte une salle de cinéma sur le toit de l’immeuble. Le Facteur qui distribue ses lettres de protestation et réclame une mobylette à tous les représentants d’une autorité quelconque. Et Paizinho, le jeune garçon qui cherche à la télévision sa mère dont il a été séparé par la guerre. L’immeuble abrite aussi des journalistes, des chercheurs, des contrôleurs, tous intéressés par les richesses naturelles du pays et le développement de la grande ville africaine : pétrole ou eau potable, corruption ou bien public. Toutes ces histoires tissent la toile de fond d’une Angola en cours de transition brutale entre sa culture traditionnelle et la modernité. L’écriture d’Ondjaki, entre ironie tranquille et critique intelligente, imagination poétique et habileté narrative, emporte le lecteur séduit dans cette aventure.
Note de contenu : Glossaire
"Les Transparents", obtient le Prix Transfuge du meilleur roman africain - rentrée littéraire 2015Sections : Roman Genres : Aventure/Historique/Sociétal Public : Adulte Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité DOC-89240-01835 R OND Livre Bibliothèque de POURRAIN ROMAN Disponible


