Je me souviens de l'imperméable rouge que je portais l'été de mes vingt ans [texte imprimé] / Lydia Flem (1952-....), Auteur . - Paris : Éditions du Seuil, DL 2016 . - 1 vol. (232 p.) ; 18 cm. - ( La Librairie du XXIe siècle, ISSN 1628-5255) . ISBN : 978-2-02-130766-5 : 17 Lydia Flem, née le 15 juillet 1952 à Bruxelles (Belgique), est écrivain, psychanalyste et photographe.
Auteur de romans, d'essais et d'autofictions, ses livres sont traduits en 19 langues. Son livre "La Reine Alice" a reçu le prix Simon de l'Éthique et le prix Rossel des jeunes.
Ecrivain, psychanalyste et photographe, Lydia Flem est traduite dans une vingtaine de langues.Publiée au Seuil, elle a écrit des essais sur Freud, Casanova, et l’amour à l’opéra (La voix des amants, 2002), mais elle a surtout rencontré le succès avec "Comment j'ai vidé la maison de mes parents" ou "La Reine Alice". Elle se définit volontiers comme une « conteuse », son territoire est celui de l'intime et des émotions.
Ses compositions photographiques1 ont été exposées à l'Imec , à la Biennale de Berlin, à la Maison européenne de la photographie, à la Fiac (galerie Françoise Paviot).
Membre de l'Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique, elle vit à Paris et à Bruxelles.
Langues : Français ( fre)
| Mots-clés : |
vêtement aphorismes savoir-vivre lutins 11 septembre classes sociales |
| Index. décimale : |
848 Ecrits Divers : correspondance, journaux intimes, mémoires, citations, discours, essais, entretiens... |
| Résumé : |
Les habits collent à la peau. Ils nous protègent et nous exposent. Le vêtement happe le regard social et trahit notre part d’ombre. Les hommes et les femmes ne sont pas égaux dans cette course aux apparences. Dans ce livre, Lydia Flem raconte les vêtements de ses souvenirs. Elle mêle avec malice le grave au frivole. Sur un mode ludique, elle poursuit sa quête de l’intime en adoptant une forme devenue classique depuis les "Je me souviens" de Georges Perec dans les années 1970. Cette forme, Perec l’a métamorphosée après l’avoir empruntée à l’artiste américain Joe Brainard, ami de son ami Harry Mathews. De la petite fille à l’amante, de la séductrice à la militante des droits de la femme et des LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et trans), Lydia Flem s’amuse à psychanalyser nos gestes et nos codes vestimentaires. Cette promenade personnelle croise la garde-robe de nos souvenirs collectifs, photographies de mode, stéréotypes du savoir-vivre, scènes de cinéma, mots de la littérature, images de l’histoire et de l’actualité. Comme dans ses livres précédents, Lydia Flem explore ce qui appartient à chacun et à tous, le plus singulier et le plus universel. |
| Note de contenu : |
Index et une notice sur l'auteur et ses oeuvres |
| Sections : |
Ecrits Divers |
| Genres : |
Psychologie/Sociétal |
| Public : |
Adulte |
| Titre : |
Je me souviens de l'imperméable rouge que je portais l'été de mes vingt ans |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Lydia Flem (1952-....), Auteur |
| Editeur : |
Paris : Éditions du Seuil |
| Année de publication : |
DL 2016 |
| Collection : |
La Librairie du XXIe siècle, ISSN 1628-5255 |
| Importance : |
1 vol. (232 p.) |
| Format : |
18 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-02-130766-5 |
| Prix : |
17 |
| Note générale : |
Lydia Flem, née le 15 juillet 1952 à Bruxelles (Belgique), est écrivain, psychanalyste et photographe.
Auteur de romans, d'essais et d'autofictions, ses livres sont traduits en 19 langues. Son livre "La Reine Alice" a reçu le prix Simon de l'Éthique et le prix Rossel des jeunes.
Ecrivain, psychanalyste et photographe, Lydia Flem est traduite dans une vingtaine de langues.Publiée au Seuil, elle a écrit des essais sur Freud, Casanova, et l’amour à l’opéra (La voix des amants, 2002), mais elle a surtout rencontré le succès avec "Comment j'ai vidé la maison de mes parents" ou "La Reine Alice". Elle se définit volontiers comme une « conteuse », son territoire est celui de l'intime et des émotions.
Ses compositions photographiques1 ont été exposées à l'Imec , à la Biennale de Berlin, à la Maison européenne de la photographie, à la Fiac (galerie Françoise Paviot).
Membre de l'Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique, elle vit à Paris et à Bruxelles.
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| Langues : |
Français (fre) |
| Mots-clés : |
vêtement aphorismes savoir-vivre lutins 11 septembre classes sociales |
| Index. décimale : |
848 Ecrits Divers : correspondance, journaux intimes, mémoires, citations, discours, essais, entretiens... |
| Résumé : |
Les habits collent à la peau. Ils nous protègent et nous exposent. Le vêtement happe le regard social et trahit notre part d’ombre. Les hommes et les femmes ne sont pas égaux dans cette course aux apparences. Dans ce livre, Lydia Flem raconte les vêtements de ses souvenirs. Elle mêle avec malice le grave au frivole. Sur un mode ludique, elle poursuit sa quête de l’intime en adoptant une forme devenue classique depuis les "Je me souviens" de Georges Perec dans les années 1970. Cette forme, Perec l’a métamorphosée après l’avoir empruntée à l’artiste américain Joe Brainard, ami de son ami Harry Mathews. De la petite fille à l’amante, de la séductrice à la militante des droits de la femme et des LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et trans), Lydia Flem s’amuse à psychanalyser nos gestes et nos codes vestimentaires. Cette promenade personnelle croise la garde-robe de nos souvenirs collectifs, photographies de mode, stéréotypes du savoir-vivre, scènes de cinéma, mots de la littérature, images de l’histoire et de l’actualité. Comme dans ses livres précédents, Lydia Flem explore ce qui appartient à chacun et à tous, le plus singulier et le plus universel. |
| Note de contenu : |
Index et une notice sur l'auteur et ses oeuvres |
| Sections : |
Ecrits Divers |
| Genres : |
Psychologie/Sociétal |
| Public : |
Adulte |
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