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le Dilettante
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Bonneville [texte imprimé] / Laurent Saulnier, Auteur . - Paris : le Dilettante, DL 2016 . - [220 p.] : couv.ill.en.coul. ; 18 cm.
ISBN : 978-2-84263-861-0 : 17
Né à Cherbourg, Laurent Saulnier n'a qu'un seul point commun avec Clint Eastwood : il vit le jour un 31 mai.
Source : Decitre
Langues : Français (fre)
Mots-clés : roman social dramatique thriller loufoque innocence voiture folie road trip voyages santé meurtre assassin Index. décimale : 840 Littérature française et de langue française Résumé : La santé mentale du narrateur laisse pas mal à désirer. Le problème, c'est qu'il l'ignore. La nuit, il parcourt des continents imaginaires au volant d'une vieille Pontiac qui ne roule pas : quoi de mieux pour tenir à distance les malfaisants dont le monde est rempli ?
Mais le réel hélas est au moins aussi collant qu'un sparadrap, les voyages nocturnes prennent un goût de déjà-vu et le narrateur envisage de tailler la route pour de bon. Comment financer la remise en état de la voiture ? Facile : il suffit de se montrer inventif et persévérant quitte à semer quelques cadavres en chemin.
Le narrateur parle plus qu'il n'écrit, et maintient le lecteur dans sa subjectivité étroite. Bonneville est le récit tantôt loufoque, tantôt inquiétant, d'une dérive hallucinée.Note de contenu : rentrée littéraire 2016 Sections : Roman Genres : Thriller Public : Adulte
Titre : Bonneville Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Saulnier, Auteur Editeur : Paris : le Dilettante Année de publication : DL 2016 Importance : [220 p.] Présentation : couv.ill.en.coul. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84263-861-0 Prix : 17 Note générale : Né à Cherbourg, Laurent Saulnier n'a qu'un seul point commun avec Clint Eastwood : il vit le jour un 31 mai.
Source : DecitreLangues : Français (fre) Mots-clés : roman social dramatique thriller loufoque innocence voiture folie road trip voyages santé meurtre assassin Index. décimale : 840 Littérature française et de langue française Résumé : La santé mentale du narrateur laisse pas mal à désirer. Le problème, c'est qu'il l'ignore. La nuit, il parcourt des continents imaginaires au volant d'une vieille Pontiac qui ne roule pas : quoi de mieux pour tenir à distance les malfaisants dont le monde est rempli ?
Mais le réel hélas est au moins aussi collant qu'un sparadrap, les voyages nocturnes prennent un goût de déjà-vu et le narrateur envisage de tailler la route pour de bon. Comment financer la remise en état de la voiture ? Facile : il suffit de se montrer inventif et persévérant quitte à semer quelques cadavres en chemin.
Le narrateur parle plus qu'il n'écrit, et maintient le lecteur dans sa subjectivité étroite. Bonneville est le récit tantôt loufoque, tantôt inquiétant, d'une dérive hallucinée.Note de contenu : rentrée littéraire 2016 Sections : Roman Genres : Thriller Public : Adulte Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité DOC-89240-04358 R SAU Livre Bibliothèque de POURRAIN ROMAN Disponible
Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part [texte imprimé] / Anna Gavalda (1970-....), Auteur . - Paris : le Dilettante, 1999 . - 217 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm.
ISBN : 978-2-84263-025-6 : 15,09
Née à Boulogne-Billancourt le 09/12/1970 et après avoir grandi en Eure-et-Loir dans une atmosphère folklorique, Anna Gavalda est envoyée en pension, à l'âge de quatorze ans, à la suite de la séparation de ses parents. Un parcours scolaire littéraire classique : hypokhâgne suivie d’une maîtrise de lettres modernes à la Sorbonne. Anna lit beaucoup et aime écrire.
Elle exerce divers petits boulots (serveuse, caissière...) avant de décider d’envoyer sa candidature à Madame Figaro. Elle y témoigne pour un dossier sur les enfants de parents divorcés. Profitant du calme de la Seine-et-Marne, elle cumule les métiers de chroniqueuse pour le Journal du Dimanche, de professeur de français et d'assistante-vétérinaire. Elle est également mère de deux enfants.
L’aventure littéraire commence réellement en 1992, année où elle devient lauréate France Inter pour "La Plus Belle Lettre d’amour." Dans la foulée, elle rafle la mise à de nombreux concours de nouvelles et essaie de se faire publier sans succès. Finalement, Le Dilettante lui offre sa chance.
Aujourd'hui, divorcée avec deux enfants, Anna Gavalda vit à Melun, où elle est documentaliste à mi-temps dans un collège. Elle est également chroniqueuse pour le magazine Elle.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : amour solitude tristesse vie quotidienne Index. décimale : 843 Fiction française et francophone : Romans et Nouvelles Résumé : Il se passe peu de choses dans les nouvelles d'Anna Gavalda, pas d'événement exceptionnel, de rebondissement inattendu, rien que le cours ordinaire de la vie et c'est ce qui en fait le charme. L'absence de sensationnel excelle à rendre le vide de ces existences vouées à la même banalité derrière une façade sociale plus ou moins reluisante. Ainsi dans Cet homme et cette femme un couple part en week-end. Ils roulent sur l'autoroute en direction de leur maison de campagne à bord d'une voiture luxueuse. Chacun plongé dans ses pensées, garde le silence. Il ne se passe rien mais en moins de quatre pages Anna Gavalda parvient à rendre poignante la solitude de ce couple sans enfant, sans amour qui a depuis longtemps renoncé à la vie pour s'investir exclusivement dans la recherche d'un certain confort matériel. Il arrive d'ailleurs, comme dans la nouvelle qui donne son titre au livre, que celui qui se croit seul et oublié de tous ait une bonne surprise. Car le recueil d'Anna Gavalda reflète fidèlement la vie comme elle est, avec ses joies et ses peines ordinaires, c'est sans doute ce qui explique le succès extraordinaire qu'il a rencontré, inhabituel pour le premier livre d'un jeune auteur et surtout pour un recueil de nouvelles. --Gérard Meudal--
Note de contenu : Grand Prix RTL- Lire - 2000
Ce recueil comprend 11 nouvelles et Epilogue :
Petites pratiques germanopratines - I.I.G. - Cet homme et cette femme - The Opel Touch - Ambre - Permission - Le fait du jour - Catgut - Junior - Pendant des années - Clic-clac -
Sections : Nouvelles Genres : Sentimental Public : Adulte
Titre : Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part Type de document : texte imprimé Auteurs : Anna Gavalda (1970-....), Auteur Editeur : Paris : le Dilettante Année de publication : 1999 Importance : 217 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84263-025-6 Prix : 15,09 Note générale : Née à Boulogne-Billancourt le 09/12/1970 et après avoir grandi en Eure-et-Loir dans une atmosphère folklorique, Anna Gavalda est envoyée en pension, à l'âge de quatorze ans, à la suite de la séparation de ses parents. Un parcours scolaire littéraire classique : hypokhâgne suivie d’une maîtrise de lettres modernes à la Sorbonne. Anna lit beaucoup et aime écrire.
Elle exerce divers petits boulots (serveuse, caissière...) avant de décider d’envoyer sa candidature à Madame Figaro. Elle y témoigne pour un dossier sur les enfants de parents divorcés. Profitant du calme de la Seine-et-Marne, elle cumule les métiers de chroniqueuse pour le Journal du Dimanche, de professeur de français et d'assistante-vétérinaire. Elle est également mère de deux enfants.
L’aventure littéraire commence réellement en 1992, année où elle devient lauréate France Inter pour "La Plus Belle Lettre d’amour." Dans la foulée, elle rafle la mise à de nombreux concours de nouvelles et essaie de se faire publier sans succès. Finalement, Le Dilettante lui offre sa chance.
Aujourd'hui, divorcée avec deux enfants, Anna Gavalda vit à Melun, où elle est documentaliste à mi-temps dans un collège. Elle est également chroniqueuse pour le magazine Elle.Langues : Français (fre) Mots-clés : amour solitude tristesse vie quotidienne Index. décimale : 843 Fiction française et francophone : Romans et Nouvelles Résumé : Il se passe peu de choses dans les nouvelles d'Anna Gavalda, pas d'événement exceptionnel, de rebondissement inattendu, rien que le cours ordinaire de la vie et c'est ce qui en fait le charme. L'absence de sensationnel excelle à rendre le vide de ces existences vouées à la même banalité derrière une façade sociale plus ou moins reluisante. Ainsi dans Cet homme et cette femme un couple part en week-end. Ils roulent sur l'autoroute en direction de leur maison de campagne à bord d'une voiture luxueuse. Chacun plongé dans ses pensées, garde le silence. Il ne se passe rien mais en moins de quatre pages Anna Gavalda parvient à rendre poignante la solitude de ce couple sans enfant, sans amour qui a depuis longtemps renoncé à la vie pour s'investir exclusivement dans la recherche d'un certain confort matériel. Il arrive d'ailleurs, comme dans la nouvelle qui donne son titre au livre, que celui qui se croit seul et oublié de tous ait une bonne surprise. Car le recueil d'Anna Gavalda reflète fidèlement la vie comme elle est, avec ses joies et ses peines ordinaires, c'est sans doute ce qui explique le succès extraordinaire qu'il a rencontré, inhabituel pour le premier livre d'un jeune auteur et surtout pour un recueil de nouvelles. --Gérard Meudal--
Note de contenu : Grand Prix RTL- Lire - 2000
Ce recueil comprend 11 nouvelles et Epilogue :
Petites pratiques germanopratines - I.I.G. - Cet homme et cette femme - The Opel Touch - Ambre - Permission - Le fait du jour - Catgut - Junior - Pendant des années - Clic-clac -
Sections : Nouvelles Genres : Sentimental Public : Adulte Réservation
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Métamorphose d'un crabe [texte imprimé] / Sylvie Dazy (1958-....), Auteur . - Paris : le Dilettante, DL 2016 . - 1 vol. (158 p.) ; 18 cm.
ISBN : 978-2-84263-876-4 : 15
Du Creusot, la ville ancienne des mines et de la métallurgie, Sylvie Dazy s'envole très tôt pour migrer vers Lannion et le Trégor. De cette enfance tournée vers le large naît un amour inconditionnel pour la Bretagne. Mais la vie a plus d'un tour dans son sac et l'envoie, à vingt-deux ans, aux prisons de Fleury-Mérogis et de la Santé. Elle devient éducatrice, chargée de réinsertion et dit y avoir tout appris des relations humaines.
La quarantaine arrivant, elle fatigue de toujours commencer sa journée en frappant à la porte d'une maison d'arrêt, elle décide d'écrire, de frapper à la porte de maisons d'éditions et livre ce texte, inspiré de son expérience.
Source : http://www.decitre.fr
Langues : Français (fre)
Mots-clés : chroniques quotidien confessions délinquance labyrinthe solidarité univers carcéral prisons Index. décimale : 843 Fiction française et francophone : Romans et Nouvelles Résumé : Christo, jeune surveillant, est nommé pour son premier poste. Il se voit comme un ethnologue embusqué, observant personnels et détenus. Mais se perdant dans son propre labyrinthe, il tente plusieurs chemins, avant que son projet ne prenne une tournure particulière. L'histoire de l'humanité prisonnière de l'autre côté des murs. "Des briscards de la délinquance émane une odeur puissante, dont il faut s'écarter, et dans sa malignité elle fissure les murs de détention. Peu importe la réalité, la vie morne des truands. Plus forte qu'elle, toute une imagerie de manade, un monde massif. Ou bien alors une arène avec des coqs de combat. Des cornes, des serres, du pointu. Le rond est féminin". Autant prévenir, avec Métamorphose d'un crabe pas de vue sur la mer, de bar terrasse et d'ensoleillement record : on y vit gris, ça gagne petit, à la rude, sans trop d'air et avec nul sourire. Ce que nous dévoile, au fil de ce monologue fiévreux, de cette confession rêche, Sylvie Dazy, c'est la prison au quotidien, la vie et rien d'autre d'un fonctionnaire de la pénitentiaire. Les plaisirs et les jours d'un maton lambda, mais qui médite l'écriture d'un "grand livre sur la prison". Notre homme s'appelle Christo, un gars du Nord, nanti d'une absurde licence d'anglais, poussé à l'ombre de la prison de Bapaume et qui, loin du café familial, "lève l'ancre pour une exotique nature" à savoir le monde de la tôle. Car là, sans doute avec son goût de l'écoute et de son oeil d'ethnologue, il pense assouvir son goût d'un ailleurs périlleux, d'une aventure en temps réel : "Du danger parfois, du risque, des armes. De la solidarité entre hommes aussi, et de la joie, les surveillants aimaient rire fort. Le matin serait une aventure". Mais si l'aventure est là, elle prend surtout l'allure d'une ronde sans fin, rythmée par le choc des talons et le cliquetis des clés, le grondement des roulantes et les alertes soudaines : suicide, feu, émeute, une vie de déambulations dans un sempiternel corridor ponctué de remontrances, de promotions et de mutations. Ensuite viennent les hommes, surveillants et surveillés, balances et demi-chefs, faux potes et vrais dingues. "La prison est une drôle d'école, on y travaille autant à la louche qu'au pinceau délicat, c'est ce que personne ne veut comprendre".
Note de contenu : rentrée littéraire 2016 Sections : Roman Genres : Sociétal/Témoignage Public : Adulte
Titre : Métamorphose d'un crabe Type de document : texte imprimé Auteurs : Sylvie Dazy (1958-....), Auteur Editeur : Paris : le Dilettante Année de publication : DL 2016 Importance : 1 vol. (158 p.) Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84263-876-4 Prix : 15 Note générale : Du Creusot, la ville ancienne des mines et de la métallurgie, Sylvie Dazy s'envole très tôt pour migrer vers Lannion et le Trégor. De cette enfance tournée vers le large naît un amour inconditionnel pour la Bretagne. Mais la vie a plus d'un tour dans son sac et l'envoie, à vingt-deux ans, aux prisons de Fleury-Mérogis et de la Santé. Elle devient éducatrice, chargée de réinsertion et dit y avoir tout appris des relations humaines.
La quarantaine arrivant, elle fatigue de toujours commencer sa journée en frappant à la porte d'une maison d'arrêt, elle décide d'écrire, de frapper à la porte de maisons d'éditions et livre ce texte, inspiré de son expérience.
Source : http://www.decitre.frLangues : Français (fre) Mots-clés : chroniques quotidien confessions délinquance labyrinthe solidarité univers carcéral prisons Index. décimale : 843 Fiction française et francophone : Romans et Nouvelles Résumé : Christo, jeune surveillant, est nommé pour son premier poste. Il se voit comme un ethnologue embusqué, observant personnels et détenus. Mais se perdant dans son propre labyrinthe, il tente plusieurs chemins, avant que son projet ne prenne une tournure particulière. L'histoire de l'humanité prisonnière de l'autre côté des murs. "Des briscards de la délinquance émane une odeur puissante, dont il faut s'écarter, et dans sa malignité elle fissure les murs de détention. Peu importe la réalité, la vie morne des truands. Plus forte qu'elle, toute une imagerie de manade, un monde massif. Ou bien alors une arène avec des coqs de combat. Des cornes, des serres, du pointu. Le rond est féminin". Autant prévenir, avec Métamorphose d'un crabe pas de vue sur la mer, de bar terrasse et d'ensoleillement record : on y vit gris, ça gagne petit, à la rude, sans trop d'air et avec nul sourire. Ce que nous dévoile, au fil de ce monologue fiévreux, de cette confession rêche, Sylvie Dazy, c'est la prison au quotidien, la vie et rien d'autre d'un fonctionnaire de la pénitentiaire. Les plaisirs et les jours d'un maton lambda, mais qui médite l'écriture d'un "grand livre sur la prison". Notre homme s'appelle Christo, un gars du Nord, nanti d'une absurde licence d'anglais, poussé à l'ombre de la prison de Bapaume et qui, loin du café familial, "lève l'ancre pour une exotique nature" à savoir le monde de la tôle. Car là, sans doute avec son goût de l'écoute et de son oeil d'ethnologue, il pense assouvir son goût d'un ailleurs périlleux, d'une aventure en temps réel : "Du danger parfois, du risque, des armes. De la solidarité entre hommes aussi, et de la joie, les surveillants aimaient rire fort. Le matin serait une aventure". Mais si l'aventure est là, elle prend surtout l'allure d'une ronde sans fin, rythmée par le choc des talons et le cliquetis des clés, le grondement des roulantes et les alertes soudaines : suicide, feu, émeute, une vie de déambulations dans un sempiternel corridor ponctué de remontrances, de promotions et de mutations. Ensuite viennent les hommes, surveillants et surveillés, balances et demi-chefs, faux potes et vrais dingues. "La prison est une drôle d'école, on y travaille autant à la louche qu'au pinceau délicat, c'est ce que personne ne veut comprendre".
Note de contenu : rentrée littéraire 2016 Sections : Roman Genres : Sociétal/Témoignage Public : Adulte Réservation
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La soudure [texte imprimé] / Alain Guyard (1966-....), Auteur . - Paris : le Dilettante, DL 2015 . - 1 vol. (221 p.) : ill. en coul; ; 21 cm.
ISBN : 978-2-84263-821-4 : 18
Nationalité : France . Né le 10/1966
Philosophe, fils de philosophe, Alain Guyard, né en octobre 1966 au Creusot, est un écrivain français, connu également sous les noms de plume d'Alain-René Königstein, de René Witzhard, d'Un Académicien sans académie et de Lazare Vilain. Il n'a jamais quitté le fond du bus scolaire. Là où les blagues fusent et où se refont les mondes. Lui a lancé depuis longtemps, avec ses potes de Vauvert, Diogène consultant. L'intitulé volontairement pompeux cache un bistrot philo itinérant qui irrigue les maisons de quartier, les centres sociaux. Guyard y impose ses thèmes, du genre, "tous les philosophes sont des cons, même Socrate". Car le débat du soir, c'est forcément le sien. "J'en ai marre de freudo trotskistes qui ont lu Onfray, qui pensent l'avoir compris et qui saoulent tout le monde pendant des heures".
L'olibrius a l'uppercut facile. C'est ici que l'on bascule dans le tout. La philo tout terrain l'a conduit depuis sept ans à enseigner en prison. Il voulait au début "voir ce que ça faisait de donner des outils intellectuels pour que les détenus trouvent un sens à leur peine". Dans cet univers "où le mec qui vient au cours de philo, c'est a priori qu'on lui a refusé les autres ateliers" la greffe prend au-delà de ses espérances. À Tarascon, à Nîmes et dans l'atelier ciné qu'il co-anime aux Baumettes, il pose des questions dans un huis-clos souvent fait d'injonctions.
Source : http://www.laprovence.com/article/arles-7599 et http://www.diogeneconsultants.com/
Langues : Français (fre)
Mots-clés : roman noir polar mystique bourgeoisie délinquance gitans handicap argot marine Index. décimale : 843 Fiction française et francophone : Romans et Nouvelles Résumé : Tremblez faiseurs et vous indignes passeurs de momies et autres fourgueurs de momifie littéraire, le Guyard circus is back in town ! Les yeux regagnent leurs orbites en catastrophe, les pendules sont remises à l'heure au pas de charge, on retouche terre dans l'euphorie : voilà du vrai, du velu et du carné. Voilà de l'écriture ! Après l'épopée philosophico-carcérale de La Zonzon, après une montée en chaire d'anthologie pour 33 leçons de philosophie voyoutes, voilà "La Soudure" qui est, je n'apprends rien à personne, l'art de boucler son mois et de fusionner les métaux. Romance chienne pour Gitan technophile, saga en roue libre pour quelques éborgnés de la vie. J'énonce : Lui, c'est Ryan Moreau, impatient-né et dentellier-soudeur virtuose, elle, c'est Cyndie Roux, une gentille téléportée du bulbe qui vit d'amour pur et d'art métallique; autour de ces accortes tourtereaux démonétisés et sans enfant gravite une galaxie de monstres joviaux comme maître Cube, obèse avocat marron, les patibulaires frères Patrac, Kristopher, compagnon de route et de déroute, la reine Josépha, impératrice des caravanes. Et tout ce beau monde d'affiner à l'infini l'art de gagner plus en travaillant peu, si ce n'est en trafiquant de l'herbe louche ou de la poudre d'escampette, en désossant les 4X4 et en rêvant méthode, planning et dividende. Après passage par la case prison et embrasement généralisé, tout cela aurait pu mal finir, dans l'hécatombe et le déficit, si ce n'était l'appui poétique d'un capitaine lyrique aux élans homériques qui remettra à flot tout ce beau monde. Alors quoi, en définitive ? Eh bien c'est : «criard, vulgaire, agressif et disproportionné comme une femme saoule qui accouche debout (...) absolument mochetingue, mais joyeusement barbare, délicieusement obscène comme un bikini de petite fille taillé dans une escalope crue.» C'est l'auteur qui le dit, croyons-le.
Alain Guyard est philosophe forain, bonimenteur de métaphysique et décravateur de concepts. Il fait dans la pensée comme un comice agricole fait dans le bestiau un jour de foire à l'andouille.
Alain Guyard signe avec cette grandiose "Soudure" un roman noir incandescent, érudit et inspiré, hanté de personnages fumeux (des gitans désosseurs de 4 x 4, des barbus dealers, un avocat marron) et de formules découpées… au chalumeau. Philippe Blanchet, LE FIGARO MAGAZINE - Voltigeur de la philosophie, Alain Guyard commet un polar rocambolesque et truculent, où planent les ombres rigolardes de Socrate et de Ribouldingue. Frédéric Pagès, LE CANARD ENCHAÎNÉ.
Note de contenu : Dédicace de l'auteur Sections : Roman Policier Genres : Philosophie/Policier/Roman noir Public : Adulte
Titre : La soudure Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Guyard (1966-....), Auteur Editeur : Paris : le Dilettante Année de publication : DL 2015 Importance : 1 vol. (221 p.) Présentation : ill. en coul; Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84263-821-4 Prix : 18 Note générale : Nationalité : France . Né le 10/1966
Philosophe, fils de philosophe, Alain Guyard, né en octobre 1966 au Creusot, est un écrivain français, connu également sous les noms de plume d'Alain-René Königstein, de René Witzhard, d'Un Académicien sans académie et de Lazare Vilain. Il n'a jamais quitté le fond du bus scolaire. Là où les blagues fusent et où se refont les mondes. Lui a lancé depuis longtemps, avec ses potes de Vauvert, Diogène consultant. L'intitulé volontairement pompeux cache un bistrot philo itinérant qui irrigue les maisons de quartier, les centres sociaux. Guyard y impose ses thèmes, du genre, "tous les philosophes sont des cons, même Socrate". Car le débat du soir, c'est forcément le sien. "J'en ai marre de freudo trotskistes qui ont lu Onfray, qui pensent l'avoir compris et qui saoulent tout le monde pendant des heures".
L'olibrius a l'uppercut facile. C'est ici que l'on bascule dans le tout. La philo tout terrain l'a conduit depuis sept ans à enseigner en prison. Il voulait au début "voir ce que ça faisait de donner des outils intellectuels pour que les détenus trouvent un sens à leur peine". Dans cet univers "où le mec qui vient au cours de philo, c'est a priori qu'on lui a refusé les autres ateliers" la greffe prend au-delà de ses espérances. À Tarascon, à Nîmes et dans l'atelier ciné qu'il co-anime aux Baumettes, il pose des questions dans un huis-clos souvent fait d'injonctions.
Source : http://www.laprovence.com/article/arles-7599 et http://www.diogeneconsultants.com/Langues : Français (fre) Mots-clés : roman noir polar mystique bourgeoisie délinquance gitans handicap argot marine Index. décimale : 843 Fiction française et francophone : Romans et Nouvelles Résumé : Tremblez faiseurs et vous indignes passeurs de momies et autres fourgueurs de momifie littéraire, le Guyard circus is back in town ! Les yeux regagnent leurs orbites en catastrophe, les pendules sont remises à l'heure au pas de charge, on retouche terre dans l'euphorie : voilà du vrai, du velu et du carné. Voilà de l'écriture ! Après l'épopée philosophico-carcérale de La Zonzon, après une montée en chaire d'anthologie pour 33 leçons de philosophie voyoutes, voilà "La Soudure" qui est, je n'apprends rien à personne, l'art de boucler son mois et de fusionner les métaux. Romance chienne pour Gitan technophile, saga en roue libre pour quelques éborgnés de la vie. J'énonce : Lui, c'est Ryan Moreau, impatient-né et dentellier-soudeur virtuose, elle, c'est Cyndie Roux, une gentille téléportée du bulbe qui vit d'amour pur et d'art métallique; autour de ces accortes tourtereaux démonétisés et sans enfant gravite une galaxie de monstres joviaux comme maître Cube, obèse avocat marron, les patibulaires frères Patrac, Kristopher, compagnon de route et de déroute, la reine Josépha, impératrice des caravanes. Et tout ce beau monde d'affiner à l'infini l'art de gagner plus en travaillant peu, si ce n'est en trafiquant de l'herbe louche ou de la poudre d'escampette, en désossant les 4X4 et en rêvant méthode, planning et dividende. Après passage par la case prison et embrasement généralisé, tout cela aurait pu mal finir, dans l'hécatombe et le déficit, si ce n'était l'appui poétique d'un capitaine lyrique aux élans homériques qui remettra à flot tout ce beau monde. Alors quoi, en définitive ? Eh bien c'est : «criard, vulgaire, agressif et disproportionné comme une femme saoule qui accouche debout (...) absolument mochetingue, mais joyeusement barbare, délicieusement obscène comme un bikini de petite fille taillé dans une escalope crue.» C'est l'auteur qui le dit, croyons-le.
Alain Guyard est philosophe forain, bonimenteur de métaphysique et décravateur de concepts. Il fait dans la pensée comme un comice agricole fait dans le bestiau un jour de foire à l'andouille.
Alain Guyard signe avec cette grandiose "Soudure" un roman noir incandescent, érudit et inspiré, hanté de personnages fumeux (des gitans désosseurs de 4 x 4, des barbus dealers, un avocat marron) et de formules découpées… au chalumeau. Philippe Blanchet, LE FIGARO MAGAZINE - Voltigeur de la philosophie, Alain Guyard commet un polar rocambolesque et truculent, où planent les ombres rigolardes de Socrate et de Ribouldingue. Frédéric Pagès, LE CANARD ENCHAÎNÉ.
Note de contenu : Dédicace de l'auteur Sections : Roman Policier Genres : Philosophie/Policier/Roman noir Public : Adulte Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité DOC-89240-02410 RP GUY Livre Bibliothèque de POURRAIN ROMAN POLICIER Disponible
Teddy le Kosovar : roman abstrait... [texte imprimé] / Bill d' Isère (1969-....), Auteur . - Paris : le Dilettante, DL 2016 . - 1 vol. (251 p.) : couv.ill.en.coul ; 18 cm.
ISBN : 978-2-84263-889-4 : 17,50
Bill d’Isere, ou Laurent Maniller pour l’État si vil, né en 69 du siècle dernier, neuf mois après mai 68, a connu mille métiers et mille misères. Il est devenu un bricoleur de mots, par plaisir et un peu par provoc. Touche-à-tout de ce qui ne sert à rien dans un monde un peu trop mercantile, photographe, poète, auteur et traîne-savates, iconoclaste revendiqué, militant quotidien de l’humanité ordinaire, il n’oublie pas pour autant que, les jours de grand vent, les écrits s’envolent et les paroles restent.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : parodie mafia mondialisation immigration jeux de mots faits divers comédie sociale décalé humour Index. décimale : 843 Fiction française et francophone : Romans et Nouvelles Résumé : Un casse splendide commis par un type sans histoires, parfaitement inconnu des services de police qui, en réalité, ne connaissent pas grand monde et on ne s'en porte pas plus mal. Tordant un peu (beaucoup) le bras à la réalité, lui enchâssant avec une certaine gouaille un peu d'humour caustique et décalé, l'auteur nous emmène sur les traces de Michel, alias Teddy le Kosovar, le braqueur ordinaire. Note de contenu : rentrée littéraire 2017 Sections : Roman Genres : Absurde/Humour Public : Adulte
Titre : Teddy le Kosovar : roman abstrait... Type de document : texte imprimé Auteurs : Bill d' Isère (1969-....), Auteur Editeur : Paris : le Dilettante Année de publication : DL 2016 Importance : 1 vol. (251 p.) Présentation : couv.ill.en.coul Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84263-889-4 Prix : 17,50 Note générale : Bill d’Isere, ou Laurent Maniller pour l’État si vil, né en 69 du siècle dernier, neuf mois après mai 68, a connu mille métiers et mille misères. Il est devenu un bricoleur de mots, par plaisir et un peu par provoc. Touche-à-tout de ce qui ne sert à rien dans un monde un peu trop mercantile, photographe, poète, auteur et traîne-savates, iconoclaste revendiqué, militant quotidien de l’humanité ordinaire, il n’oublie pas pour autant que, les jours de grand vent, les écrits s’envolent et les paroles restent. Langues : Français (fre) Mots-clés : parodie mafia mondialisation immigration jeux de mots faits divers comédie sociale décalé humour Index. décimale : 843 Fiction française et francophone : Romans et Nouvelles Résumé : Un casse splendide commis par un type sans histoires, parfaitement inconnu des services de police qui, en réalité, ne connaissent pas grand monde et on ne s'en porte pas plus mal. Tordant un peu (beaucoup) le bras à la réalité, lui enchâssant avec une certaine gouaille un peu d'humour caustique et décalé, l'auteur nous emmène sur les traces de Michel, alias Teddy le Kosovar, le braqueur ordinaire. Note de contenu : rentrée littéraire 2017 Sections : Roman Genres : Absurde/Humour Public : Adulte Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité DOC-89240-04407 R ISE Livre Bibliothèque de POURRAIN ROMAN Disponible


