Le dernier de la paroisse ; suivi de Une vie en rouge et bleu : roman [texte imprimé] / Jean Anglade (1915 - ...), Auteur . - Paris : Éd. France loisirs : Paris : Calmann-Lévy, impr. 2011 . - 1 vol. (658 p.) : jaquette ill. en coul. ; 21 cm. ISBN : 978-2-298-04815-5 : 23,50 Né le 18/03/1915, à Escoutoux près de Thiers dans le Puy-de-Dôme, Jean Anglade est le fils de Jean (ouvrier maçon) et de Félistine Chaleron (servante), surnommée « Célestine ». Un an après sa naissance, son père est tué pendant la Première Guerre mondiale en 1916 sur le front de la Somme.
Après des études au cours complémentaire, il va à l'école à Clermont-Ferrand et devient instituteur.
Dès 1944, il est professeur de français à l'École nationale professionnelle de Thiers (aujourd'hui Lycée Jean Zay).
Pendant 4 ans, il fera son service militaire. En 1947, il décroche une agrégation d'italien qui l'envoie à Tunis, Gap, puis à Clemont-Ferrand.
En même temps que son métier d'enseignant, il publie des romans en tout genre. Il a ainsi publié plus de 80 ouvrages consacré la plupart du temps à son pays natal. Ce qui lui vaut le surnom de "Le Pagnol auvergnat".
Jean Anglade obtient le Prix du roman populiste en 1957 pour "L'Immeuble Taub", et le Prix des libraires en 1962 pour "La Foi et la Montagne". .
Langues : Français ( fre)
| Mots-clés : |
terroir récits autobiographie campagne potager cancer traditions maladie bilan religion première guerre mondial philosophie Auvergne
roman historique ironie témoignage cerveau journaliste adoption folie psychologie |
| Index. décimale : |
843 Fiction française et francophone : Romans et Nouvelles |
| Résumé : |
Le dernier de la paroisse: Grandeur et servitude d’un curé de campagne. À 69 ans, dans les années 1970, Annet Ferrier est agriculteur et éleveur de vaches ferrandaises près d’Orléat dans le Puy-de-Dôme. Atteint d’un cancer, il se suicide laissant deux fils, Richard et Germain, pour lui succéder. Certains soupçonnent le phosphate, qu’on utilise nouvellement pour engraisser la déjà riche terre de Limagne, d’avoir causé sa maladie. Son fils Germain en est convaincu, d’autant plus qu’il est bientôt lui-même « contaminé ». La tumeur n’est pas incurable. Germain est guéri, mais condamné à la chasteté. Ne pouvant fonder une famille, Germain décide, à quarante ans sonnés, d’embrasser la carrière sacerdotale. Après le grand séminaire, il hérite d’une cure, dans un petit village au pied des monts du Forez, avec ses à-côtés : un chat, Filou, une vache, Roussette, un jardin potager et une servante très pieuse qui fait aussi office de sacristine… À travers l’évocation à la fois malicieuse et authentique du sacerdoce dans les campagnes au tournant de notre millénaire, les leçons de vie du patriarche Jean Anglade, pétri de sagesse et d’humanisme, sur les questions éternelles : Dieu existe-t-il, quel est le sens de la vie ?
Une vie en rouge et bleu: Le secret du dernier des poilus Régis Féraz (on dit Féra, non point Féraz car Régis est d’origine savoyarde et le z ne se prononce pas), est le dernier de nos poilus, le der des ders. Ancien éclusier à Clos du May sur le Canal latéral à la Loire, il n’est Bourbonnais, certains disent Bourbonnichon, que d’adoption. Qu’il le veuille ou non Régis Féraz est devenu un héros. On voudrait d’ailleurs l’honorer, recueillir de sa bouche un ultime témoignage. Mais le centenaire passe pour un peu « bredin », pour un peu fou du cerveau, car depuis des années il ne veut plus entendre parler de la Grande Guerre. Seule Léone sait de quel souvenir indicible son grand-père veut se garder. Au journaliste venu pour le rencontrer elle est prête à le révéler. Mais pour ce faire, il faut commencer par le commencement… Sans jamais se départir de cette ironie tendre qui fait notre délice, Jean Anglade nous entraîne alors sur les pas d’un enfant de la Patrie, ballotté par l’histoire et emporté dans les cruautés d’un siècle meurtri par la folie des hommes. - Vous avez raison. Tout le monde a un grain de folie. Parfois deux. Parfois trois.« Jean Anglade, conteur de toutes formes d’humanité et d’inhumanité, de toutes formes d’héroïsme et de folie, a un sens de l’épisode, du rythme, de la psychologie des relations proprement éblouissant. |
| Note de contenu : |
2 romans : Le dernier de la paroisse - Une vie en rouge et bleu [rentrée littéraire 2010] |
| Sections : |
Roman de Terroir |
| Genres : |
Autobiographie/Historique/Religion/Sociétal |
| Public : |
Adulte |
| Titre : |
Le dernier de la paroisse ; suivi de Une vie en rouge et bleu : roman |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Jean Anglade (1915 - ...), Auteur |
| Editeur : |
Paris : Éd. France loisirs |
| Année de publication : |
impr. 2011 |
| Autre Editeur : |
Paris : Calmann-Lévy |
| Importance : |
1 vol. (658 p.) |
| Présentation : |
jaquette ill. en coul. |
| Format : |
21 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-298-04815-5 |
| Prix : |
23,50 |
| Note générale : |
Né le 18/03/1915, à Escoutoux près de Thiers dans le Puy-de-Dôme, Jean Anglade est le fils de Jean (ouvrier maçon) et de Félistine Chaleron (servante), surnommée « Célestine ». Un an après sa naissance, son père est tué pendant la Première Guerre mondiale en 1916 sur le front de la Somme.
Après des études au cours complémentaire, il va à l'école à Clermont-Ferrand et devient instituteur.
Dès 1944, il est professeur de français à l'École nationale professionnelle de Thiers (aujourd'hui Lycée Jean Zay).
Pendant 4 ans, il fera son service militaire. En 1947, il décroche une agrégation d'italien qui l'envoie à Tunis, Gap, puis à Clemont-Ferrand.
En même temps que son métier d'enseignant, il publie des romans en tout genre. Il a ainsi publié plus de 80 ouvrages consacré la plupart du temps à son pays natal. Ce qui lui vaut le surnom de "Le Pagnol auvergnat".
Jean Anglade obtient le Prix du roman populiste en 1957 pour "L'Immeuble Taub", et le Prix des libraires en 1962 pour "La Foi et la Montagne". .
|
| Langues : |
Français (fre) |
| Mots-clés : |
terroir récits autobiographie campagne potager cancer traditions maladie bilan religion première guerre mondial philosophie Auvergne
roman historique ironie témoignage cerveau journaliste adoption folie psychologie |
| Index. décimale : |
843 Fiction française et francophone : Romans et Nouvelles |
| Résumé : |
Le dernier de la paroisse: Grandeur et servitude d’un curé de campagne. À 69 ans, dans les années 1970, Annet Ferrier est agriculteur et éleveur de vaches ferrandaises près d’Orléat dans le Puy-de-Dôme. Atteint d’un cancer, il se suicide laissant deux fils, Richard et Germain, pour lui succéder. Certains soupçonnent le phosphate, qu’on utilise nouvellement pour engraisser la déjà riche terre de Limagne, d’avoir causé sa maladie. Son fils Germain en est convaincu, d’autant plus qu’il est bientôt lui-même « contaminé ». La tumeur n’est pas incurable. Germain est guéri, mais condamné à la chasteté. Ne pouvant fonder une famille, Germain décide, à quarante ans sonnés, d’embrasser la carrière sacerdotale. Après le grand séminaire, il hérite d’une cure, dans un petit village au pied des monts du Forez, avec ses à-côtés : un chat, Filou, une vache, Roussette, un jardin potager et une servante très pieuse qui fait aussi office de sacristine… À travers l’évocation à la fois malicieuse et authentique du sacerdoce dans les campagnes au tournant de notre millénaire, les leçons de vie du patriarche Jean Anglade, pétri de sagesse et d’humanisme, sur les questions éternelles : Dieu existe-t-il, quel est le sens de la vie ?
Une vie en rouge et bleu: Le secret du dernier des poilus Régis Féraz (on dit Féra, non point Féraz car Régis est d’origine savoyarde et le z ne se prononce pas), est le dernier de nos poilus, le der des ders. Ancien éclusier à Clos du May sur le Canal latéral à la Loire, il n’est Bourbonnais, certains disent Bourbonnichon, que d’adoption. Qu’il le veuille ou non Régis Féraz est devenu un héros. On voudrait d’ailleurs l’honorer, recueillir de sa bouche un ultime témoignage. Mais le centenaire passe pour un peu « bredin », pour un peu fou du cerveau, car depuis des années il ne veut plus entendre parler de la Grande Guerre. Seule Léone sait de quel souvenir indicible son grand-père veut se garder. Au journaliste venu pour le rencontrer elle est prête à le révéler. Mais pour ce faire, il faut commencer par le commencement… Sans jamais se départir de cette ironie tendre qui fait notre délice, Jean Anglade nous entraîne alors sur les pas d’un enfant de la Patrie, ballotté par l’histoire et emporté dans les cruautés d’un siècle meurtri par la folie des hommes. - Vous avez raison. Tout le monde a un grain de folie. Parfois deux. Parfois trois.« Jean Anglade, conteur de toutes formes d’humanité et d’inhumanité, de toutes formes d’héroïsme et de folie, a un sens de l’épisode, du rythme, de la psychologie des relations proprement éblouissant. |
| Note de contenu : |
2 romans : Le dernier de la paroisse - Une vie en rouge et bleu [rentrée littéraire 2010] |
| Sections : |
Roman de Terroir |
| Genres : |
Autobiographie/Historique/Religion/Sociétal |
| Public : |
Adulte |
|  |